Particularly poor, in this respect, is the section headed 'Work on eco-labelling in international fora'; three brief paragraphs summarise the activities carried out by the FAO (which first tackled this issue back in 1998) and the WTO, and the information is not really up-to-date.
À cet égard, le paragraphe concernant les "travaux sur l’étiquetage écologique au sein des instances internationales", de par sa pauvreté, est particulièrement significatif: trois malheureux paragraphes résument les activités de la FAO (qui a abordé cette question dès 1998) et de l'OMC, sans même qu'une mise à jour des informations fournies.