Specifically, the Supreme Court held that since Treaty Commissioner Robinson refused to deal with the collective rights and interests of the Metis in the 1850 Robinson-Superior Treaty, the Metis' rights and interests continue to exist today and are constitutionally protected.
Plus précisément, la Cour suprême a statué que, étant donné que le commissaire aux traités Robinson avait refusé de s'occuper des droits et intérêts des Métis dans le Traité Robinson-Supérieur de 1850, les droits et intérêts des Métis subsistaient aujourd'hui et étaient protégés par la Constitution.