Toen de VN werkte aan de voorbereiding van het verdrag dat later bekend werd onder de naam ‘Verdrag inzake de Voorkoming en de Bestraffing van Genocide’, werd taalkundige en culturele genocide in één adem genoemd met fysieke genocide als ernstige misdaad tegen de menselijkheid.
Quand l’ONU a travaillé à l’élaboration de la convention qui se fit connaître plus tard sous le nom de «Convention sur la prévention et la répression du crime de génocide», le génocide linguistique et culturel a fait l’objet de discussions, en même temps que le génocide physique, comme un crime grave contre l’humanité.