Au-delà du cas de cette jeune Marocaine, accorder la nationalité française aurait, toujours selon Dounia Bouzar, fait des terres occidentales
un lieu privilégié pour le développement de cette secte interdite au Maghreb, qui endoctrine les femmes pour multiplier d'un seul coup des cellules familiales entières. « Ces groupuscules qui se disent mu
sulmans utilisent l'islam pour fabriquer des frontières mentales entre les adeptes et le reste du monde: les non-croyants, les croyants non musulmans, mais aussi les autres musulmans qui ne sont
...[+++] pas comme eux.