L'O.A. argue que « les prescriptions de l'INAMI interdisent a
u médecin-conseil d'accepter un certificat de rec
hute en invalidité après décision de re
prise fixée par le CMI, sauf s'il existe un élément nouveau »,
et que « puisque le certificat du Dr. R. reçu en date du 27 avril 2001 mentionnait clairement que la situation médical
...[+++]e était inchangée, il était impossible au médecin-conseil de reconnaître cette rechute en invalidité aussi longtemps que le Tribunal du travail n'aurait pas statué sur la requête introduite par madame R. contre la décision du CMI ».L'O.A. argue que " les prescriptions de l'INAMI interdisent a
u médecin-conseil d'accepter un certificat de rec
hute en invalidité après décision de re
prise fixée par le CMI, sauf s'il existe un élément nouveau " , e
t que " puisque le certificat du Dr. R. reçu en date du 27 avril 2001 mentionnait clairement que la situation médi
...[+++]cale était inchangée, il était impossible au médecin-conseil de reconnaître cette rechute en invalidité aussi longtemps que le Tribunal du travail n'aurait pas statué sur la requête introduite par madame R. contre la décision du CMI " .