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Note: les traductions des vidéos ont été réalisées par des volontaires qui ne sont pas tous des traducteurs professionnels, elles pourraient donc contenir des erreurs. Ces textes sont cependant intéressants pour retrouver des expressions du langage parlé par exemple.
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Traduction de «était à l'hôpital » (Français → Néerlandais) :
Et ce qui est tellement frustrant, c'est que ce n'est pas un cas unique ; ça se produit dans tout le monde en développement. 35 millions d'opérations sont tentées chaque année sans anesthésie sûre. Mon collègue, le docteur Paul Fenton, vivai
t cette réalité. Il était le responsable de l'anes
thésiologie dans un hôpital au Malawi, un CHU. Il allait travailler tous les jours dans une salle d'opération comme celle-ci, et essayait d'administrer une anesthésie et d'enseigner à d'autres comment le faire en employant le même équipement qui de
...[+++]venait si peu fiable, et absolument pas sûr, dans son hôpital. Et après une énième opération, et vous pouvez imaginer, une tragédie vraiment indicible, il a dit simplement, « C'est bon, j'abandonne. Ça suffit. Il doit y avoir mieux que ça. » Alors il s'est rendu au bout du couloir jusqu'à l'endroit où on jetait toutes ces machines qui les avaient lâchés, je pense que c'est le terme scientifique exact, et il s'est mis à bricoler. Il a pris une pièce d'ici et une autre de là, et il a essayé de fabriquer une machine qui travaillerait dans la réalité à laquelle il était confronté.
Wat zo frustrerend is: dit is geen unieke gebeurtenis. In de ontwikkelingslanden gebeuren elk jaar 35 miljoen operaties zonder veilige anesthesie. Mijn collega, Dr Paul Fenton, maakte dat mee. Hij
was hoofdanesthesioloog in een ziekenhuis in Malawi, een academisch ziekenhuis. Hij werkte elke dag in een operatiekamer als deze. Hij probeerde anesthesie te leveren, en anderen te leren dit te doen met diezelfde machine die in dit ziekenhuis zo onbetrouwbaar en, eerlijk gezegd, onveilig was. Na talloze operaties en zoals je je kan voorstellen, onuitsprekelijke tragedies, zei hij: Genoeg geweest. Ik ben het zat. Er moet iets beters komen. Hij
...[+++]ging kijken tussen al die machines die er de brui aan hadden gegeven - ik denk dat dat de wetenschappelijke term is - en hij begon daar wat te knutselen. Hij verzamelde wat onderdelen en probeerde een machine te bedenken die zou werken in de realiteit waarmee hij werd geconfronteerd.Quand la Cour Suprême a rendu son jugement, elle s'est rangée du côté de l'hôpital et de l’État du Missouri, et leur argument était celui-ci : l'hôpital devait avoir une preuve claire et convaincante de la volonté de Nancy, et la parole de ses parents n'était pas suffisante.
Toen het Hooggerechtshof tot een oordeel kwam, schaarden ze zich achter het ziekenhuis en de staat Missouri; hun argument was: het ziekenhuis had recht op duidelijk en overtuigend bewijs van wat Nancy's wensen waren en het woord van haar ouders was niet voldoende.
Mais un jour, je suis allée à l'hôpital -- ma mère était malade -- et j'ai vu l'hôpital, comment on traitait les médecins, comment ils se dévouaient pour aider les malades.
Maar op een dag ging ik naar het ziekenhuis - mijn moeder was ziek - en ik zag in het ziekenhuis hoe de dokters er werkten, en hoe ze hun best deden om de zieken te helpen.
Et donc, alors que tous les autres envoyaient des messages Blackberry à leurs parents, j'attendais littéralement à côté de ma boîte aux lettres une lettre de la maison qui me dirait comment le weekend s'était passé, ce qui était assez agaçant quand Mamie était à l'hôpital, mais j'attendais juste quelques gribouillages, quelques lettres griffonnées par ma mère.
Anderen stuurden berichtjes aan hun ouders, maar ik stond te wachten bij de brievenbus voor een brief van thuis met het relaas van het weekend. Dat was frustrerend als oma in het ziekenhuis lag. Ik wachtte op een krabbel, een slordig handgeschreven briefje van mijn moeder.
Elle était extrêmement froide et n'avait plus de pouls. De tout évidence, elle était morte, gelée. Sept heures plus tard, toujours sans pouls, elle a été ramenée à la vie, et elle est devenue radiologue en chef de l'hôpital qui l'a soignée. Quelques années plus tard -- oui, je deviens très enthousiaste devant ces choses -- quelques années plus tard, il y avait une enfant de 13 mois, elle était du Canada.
Ze was extreem koud, en had geen hartslag. Naar alle maatstaven was ze dood, bevroren. Zeven uur later, nog steeds zonder hartslag, reanimeerden ze haar, vervolgens werd ze hoofd radiologie in het ziekenhuis dat haar behandelde. Een paar jaar later -- dit soort dingen vind ik echt opwindend -- ongeveer een paar jaar later was er een 13 maanden oud meisje uit Canada.
Et son enfant va recevoir un traitement de prévention de la transmission mère-enfant du VIH, ce qui signifie que le bébé pourra naître sans le virus. C’est de la prévention au tout début de la vie. C’est une des façons d'intervenir sur la pandémie du SIDA. Et j’aimerais terminer en vous racontant l’histoire d’Avelile. Voici Avelile. Elle me suis partout où je vais. Je raconte son histoire à tout le monde, parce qu’elle représente un des millions d’orphelins du SIDA. La mère d’Avelile avait le virus du SIDA. Elle est morte d’une maladie liée au SIDA. Avelile avait le virus. Elle est née avec. Et la voici à 7 ans, ne pesant pas plus qu’un bébé d’un an. A ce stade dan
s sa vie, le SIDA s’était ...[+++] pleinement déclaré et elle était atteinte de pneumonie. Nous l’avons rencontrée dans un hôpital de l’est de Cape et nous avons passé une après-midi entière avec elle – une enfant adorable.
Haar baby krijgt later PMTCT, wat betekent dat de baby wordt geboren zonder het virus. Dat is nu preventie aan het eerste begin van het leven. Het een manier om te kijken naar de aanpak van de AIDS-pandemie. Ik wil graag eindigen met korte verhaal over Avelile. Dit is Avelile. Ze volgt me waar ik ook ga. Ik vertel haar verhaal aan iedereen omdat zij symbool staat voor de miljoenen HIV/AIDS-wezen. De moeder van Avelile had het HIV-virus. Ze stierf aan een AIDS-gerelateerde ziekte. Avelile had het virus. Ze werd geboren met het virus. Hier is ze zeven jaar oud, nauwelijks zwaarder dan een 1-jaar oude baby. Op
dit moment in haar leven lijdt ze aan volledig ont ...[+++]wikkelde AIDS en aan longontsteking. We ontmoetten haar in een ziekenhuis in Oost-Kaap en brachten de hele middag met haar door -- een heerlijk kind.Ils rient tous. (Rires) Ils sont par terre. (Rires) Ce que j'aime vraiment est qu'ils sont tous très sérieux jusqu'à ce qu'il saute dans la glace, et dès qu'il ne passe pas à travers, et qu'il ne se fait pas mal, ses amis commencent à rire. Imaginez qu'il dise : « Non, Heinrich, je crois que c'est cassé », nous n'aimerions pas voir cela. Ce serait stressant. Ou s'il se baladait en riant, avec une jambe cassée et que lui d
isaient d'aller à l'hôpital, ce ne serait pas drôle. Le fait que le rire fonctionne, fait d'une situation douloureuse, embarrassante, difficile, une situation drôle, que nous apprécions. Je pense que c'est un usage très
...[+++]intéressant, et cela arrive tout le temps. Par exemple, je me souviens d'une chose de similaire à l'enterrement de mon père. Nous ne sautions pas dans la glace en sous-vêtements. Nous ne sommes pas des Canadiens. (Rires) (Applaudissements) C'était un évènement désagréable, un parent était un peu pénible, ma mère n'allait pas bien, et je me souviens, juste avant que tout commence, avoir raconté cette histoire sur un sitcom des années 70, à ce moment, je ne savais pas pourquoi je le faisais et j'ai réalisé qu'en fait, j'essayais de trouver quelque chose qui pourrait la faire rire avec moi.
En nu lachen ze allemaal. (Gelach) Ze liggen op de grond. (Gelach) Wat ik hier heel leuk aan vind, is dat het heel serieus is, tot hij op het ijs springt. En omdat hij er niet doorheen zakt en er ook geen bloed vloeit of botten rondvliegen, beginnen zijn vrienden te lachen. Stel je voor dat ze zouden zeggen: 'Serieus, Heinrich, ik denk dat het gebroken is' dan zou het niet leuk zijn. Dat zou stressvol zijn. Of als hij lachend rond rent met een gebroken been en z'n vrienden zeggen, 'je moet naar het ziekenhuis', dan is het niet leuk. Het lachen werkt omdat het hem uit een pijnlijke, gênante, moeilijke situatie haalt en plaatst in een grappige situatie waarom we kunnen lachen. Dat is een echt interessante toepassing, die heel vaak voorkomt. I
...[+++]k kan me zoiets herinneren, van mijn vaders begrafenis. We sprongen niet in onze zwembroek op het ijs rond. We zijn geen Canadezen! (Gelach) (Applaus) Een begrafenis is altijd moeilijk. Ik had een lastig familielid, en mijn moeder had het moeilijk. Ik herinner me dat ik haar vlak voor aanvang een gebeurtenis vertelde uit een comedy uit de jaren 70! Ik dacht nog: ik heb geen idee waarom ik dit doe. Later besefte ik dat ik op zoek was naar iets -- wat dan ook -- waarmee ik haar kon laten lachen, samen met mij.A l'époque – il y a quelques années – cela coûtait 100 000 $. Aujourd'hui, c'est 10 000. L'an prochain, ce sera 1000. Dans 2 ans à peu près, 100. Voici la vitesse à laquelle cela évolue. Voici le jeune Nick, il aime Batman et il a des pistolets. Un jour,
Nick est arrivé à l'hôpital pour enfants avec un ventre comme distendu
par la famine. Ce n'était pas qu'il ne mangeait pas, c'était que, quand il mangeait, ses intestins s'ouvraient et les fèces se répandaient dans son ventre. Une centaine d'opérations plus tard, il dit à sa mère : Ma
...[+++]man, prie pour moi. J'ai tellement mal. Son pédiatre avait une expérience en génétique clinique, il n'avait aucune idée de ce qui se passait, mais il proposa de séquencer le génome de l'enfant. On trouva une seule et unique mutation dans un gène responsable du contrôle de la mort cellulaire programmée.
Toen -- een paar jaar geleden -- kostte het $100.000. Tegenwoordig is het $10.000. Volgend jaar is het $1.000. Het jaar daarna is het $100, pak me niet op een jaar. Zo snel ontwikkelt het zich. Hier is de kleine Nick -- houdt van Batman en waterpistolen. Op een bepaald moment verschijnt Nick in een kinderziekenhuis met een opgezwolle
n buik als bij een hongerslachtoffer. Het komt niet doordat hij niet eet, maar als hij eet, openen zijn darmen en lekken ontlasting in zijn maag. Dus honderd operaties later, kijkt hij zijn moeder aan en zegt: Mam, bid alsjeblief voor mij. Ik heb zoveel pijn. Zijn kinderarts heeft toevallig een achtergrond va
...[+++]n klinische genetica en hij heeft geen idee wat er aan de hand is, maar hij zegt: Laten we het genoom van deze jongen sequensen. Ze vinden een mutatie op een enkel punt in een gen dat het afsterven van cellen controleert.Et il était clair -- pas à moi, parce que rien n'était plus clair pour moi à ce moment-là -- qu'il me faudrait une hospitalisation de longue durée dans ce lieu atroce qu'on appelle un hôpital psychiatrique.
Het was duidelijk - niet voor mij, want in die tijd was niets meer duidelijk voor mij - dat ik langdurig moest worden opgenomen in zo'n afschuwelijk psychiatrisch ziekenhuis.
Mes parents m'ont inculqué l'idée que je pouvais tout réussir, qu'aucun rêve n'était hors de ma portée, et mon rêve était de jouer dans la série « Hôpital Central ». Je suis allée à la fac grâce à la discrimination positive et j'ai eu une bonne bourse pour l'ASU, l'Université d'Etat d'Arizona, parce que je remplissais chacun des quotas.
Mijn ouders versterkten de notie dat ik alles kon, dat geen droom onbereikbaar was, en mijn droom was om in de soap 'General Hospital' te spelen. Ik ging studeren met positieve discriminatie en kreeg een prachtige beurs op ASU, Arizona State Universiteit, omdat ik in elke doelgroep paste.
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était à l'hôpital ->
Date index: 2023-01-09