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Note: les traductions des vidéos ont été réalisées par des volontaires qui ne sont pas tous des traducteurs professionnels, elles pourraient donc contenir des erreurs. Ces textes sont cependant intéressants pour retrouver des expressions du langage parlé par exemple.
Vous pouvez aussi visualiser directement ces passionnantes vidéos avec les sous-titres dans la langue de votre choix !
Traduction de «vous savez travailler » (Français → Néerlandais) :
Bon, Einstein pense aussi, vous savez, travailler dans des caves et voyager dans l'espace -- tout ça, ce sont des boulots très dangereux.
Einstein vindt ook dat werken in grotten en door de ruimte reizen -- dat dat zeer gevaarlijke jobs zijn.
Je n'avais plus aucune idée de qui j'étais. Et cet ophtalmo, il n'a même pas pris la peine de tester mes yeux. Dieu non, c'était une thérapie. Et il m'a posé plusieurs questions, dont beaucoup étaient : Pourquoi? Pourquoi vous battez-vous si dur pour ne pas être vous-même? Et vous aimez ce que vous faites
, Caroline? Et vous savez quand vous travaillez dans un cabinet de conseil international, ils mettent une puce dans votre tête, et vous pensez, J'aime Accenture. J'aime Accenture. J'aime mon travail. J'aime Accenture. J'aime Accenture. J'adore mon travail. J'aime Accenture. Partir serait un échec. Et il a demandé: Vous aimez ça? Je ne po
...[+++]uvais même pas parler J'avais la gorge tellement serrée. j'étais tellement - comment puis-je lui dire?
Ik had geen idee meer wie ik was. Die oogspecialist testte mijn ogen niet eens. Nee, het was therapie. Hij stelde me een hoop vragen, waarvan de meeste waren: Waarom? Waarom vecht je zo hard om niet jezelf te zijn? Hou je van wat je doet, Caroline? Weet je, als je na
ar een wereldwijd consultancy-bedrijf gaat, dan stoppen ze een chip in je hoofd en je denkt: Ik ben gek op Accenture, ik hou van Accenture. Ik hou van mijn baan. Ik ben gek op Accenture. Ik hou van Accenture, Ik ben dol op mijn baan. Ik hou van Accenture. Weggaan zou falen zijn. Hij vroeg: Hou je ervan? Ik kon geen woord uitbrengen, ik stokte helemaal. Ik dacht: hoe moet ik h
...[+++]em dit zeggen?Vous savez quoi ? Voici un petit secret. Vous voulez travailler ? Vous voulez travailler très très dur ?
Weet je wat? Hier is een geheimpje. Wil je werken? Heel, heel, heel hard werken?
Je dis toujours que, vous savez, si vous engagez des gens uniquement parce qu'ils peuvent faire le travail, ils vont travailler pour votre argent, mais si vous engagez ceux qui partagent vos convictions, ils travailleront pour vous avec sang, sueur et larmes.
Ik zeg altijd, weet je, als je mensen aanwerft omdat ze capabel zijn, dan werken ze voor je geld, maar als je mensen aanwerft die geloven in wat jij gelooft, dan geven ze je bloed, zweet en tranen.
Vous avez travaillé pour nous mais vous savez quoi, on voudrait vous le vendre.
Jij werkt voor ons en we zullen het aan jou verkopen.
Vous savez, je pourrais passer un an sans tuer, mais passer un an sans commérer, sans convoiter, sans mentir -- vous savez, j'habite à New York, et je travaille comme journaliste, c'était donc pendant 75, 80 pourcent de la journée que je devais m'y tenir.
Je weet wel, ik kon dat jaar niet doden, maar een jaar niet roddelen, niet begeren, niet liegen -- en ik woon in New York en werk as een journalist, dus dit nam zo'n 75, 80 procent van mijn dag in.
Car lorsque je capturais les empreintes, vous savez, j'avais toujours à l'esprit cette pensée, vous savez : Est-ce uniquement lorsque l'objet touche la chose que ça laisse une empreinte ou y a-t-il un autre moyen de la capturer? Donc ce travail n'est pas grand chose mais... à cause de la distance focale de l'objectif, ça montre ce qui est de l'autre côté.
Als ik sporen vastleg, komt deze gedachte steeds naar boven: Kan het alleen als een object iets aanraakt en een spoor achterlaat, of zijn er andere manieren om een spoor vast te leggen? Dit werk laat alleen zien -- door de brandpuntsafstand van de lens, laat het alleen zien wat er aan de andere kant is.
Homme 1 : à partir du moment où il y a de l'injustice, quelqu'un doit faire un sacrifice! Femme 1 : Ce n'est pas un sacrifice, C'est une vengeance! Si vous tuez, il n'y a pas de différence entre victime et occupant. Homme 1 : si vous avions des avions, nous n'aurions pas besoin de martyrs, c'est la différence. Femme : La différence c'est que l'armée israelienne est toujours plus forte. Homme: Alors, soyons égaux devant la mort. Nous avons toujours le Paradis. Femme: Il n'y a pas de Paradis! Ca n'existe que dans votre tête! Homme: Dieu vous pardonne, dieu vous pardonne! Que dieu vous pardonne. Si vous n'étiez pas la sœur d'Abu Azzam… De toute façon, je préfèrerais encore avoir le paradis dans ma tête que vivre dans cet enfer! Dans cette vie,
...[+++] nous sommes morts de toute façon. Homme: Nous choisissons l'amertume seulement si l'alternative est encore plus amère. Femme: Et nous? Ceux qui restent? Gagnerons-nous de cette façon? Ne voyez-vous pas que ce que vous faites est en train de nous détruire? Et que vous prenez Israel comme alibi pour continuer? Homme: Donc, sans alibi, Israel arrêterait? Femme: Peut-être. Nous devons faire de cette guerre une guerre morale. homme: Et comment faire, si Israel n'a pas de morale? Femme: Fais attention! George: Ma femme Ayelet m'a appelé et m'a dit: Il y a eu un attentat suicide à Tel Aviv . Ayelet: Qu'est-ce que vous savez sur les blessés? Nous recherchons trois filles. George: Nous n'avons aucune information. Ayelet : Une est blessée ici, mais nous n'avons pas entendu parlé des trois autres. George: J'ai dit OK, c'est Bat-Chen, c'est ma fille . Etes-vous sûre qu'elle est morte? Ils ont dit que oui. Tzika: Ce jour-là, vers 6,30, je conduisais ma femme et mes filles au supermarché. Quand nous sommes arrivé là bas…. nous avons vu trois jeeps militaires israeliennes garées de l'autre côté de la rue. Quand nous avons dépassé la première jeep, ils ont ouvert le feu sur nous. Et ma fille de 12 ans Christine a été tuée dans la fusillade. Tzvi ...
Man 1: Zolang er onrechtvaardigheid bestaat, moet iemand zich opofferen! Vrouw 1: Dat is geen offer, dat is wraak! Als je doodt, is er geen verschil tussen het slachtoffer en de dader. Man 1: Als we vliegtuigen hadden, hadden we geen martelaars nodig, dat is het verschil. Vrouw: Het verschil is dat het Israëlische leger alsnog sterker is. Man: Laten we dan gelijk zijn in de dood. We hebben nog het Paradijs. Vrouw: Er is geen Paradijs! Het bestaat alleen in je hoofd! Man: Alsjeblieft zeg! Moge God je vergeven. Als jij niet Abu Azzam's dochter was geweest... Alleszins, liever een Paradijs in mijn hoofd dan een leven in deze hel! In dit leven zijn we toch dood. Man: Men kiest alleen het bittere als het alternatieve nog bitterder is. Vrouw: En
...[+++]wij dan? De achterblijvers? Winnen we zo? Zie je niet dat wat je doet ons vernietigt? En dat je Israël een alibi geeft om door te gaan? Man: Dus, zonder alibi houdt Israël ermee op? Vrouw: Misschien. We moeten er een morele oorlog van maken. Man: Hoe dan, als Israël immoreel is? Vrouw: Wees voorzichtig! George: Mijn vrouw Ayelet belde me op en zei: Er was een zelfmoordaanslag in Tel Aviv. Ayelet: Wat weet je over de slachtoffers? We zoeken drie meisjes. George: We hebben geen informatie. Ayelet: Er ligt er hier een gewonde, maar we weten niets over de andere drie. George: Ik zei: OK, dat is Bat-Chen, dat is mijn dochter. Weet U zeker dat ze dood is? Ze zeiden ja. Tzvika: Op die dag, rond 6:30, reed ik met mijn vrouw en dochters naar de supermarkt. Toen we daar aankwamen... zagen we drie Israëlische militaire jeeps geparkeerd aan de kant van de weg. Toen we de eerste jeep passeerden... openden ze het vuur op ons. Mijn 12-jarige dochter Christine werd gedood in het vuurgevecht. Tzvika: Ik ben het hoofd van alle afdelingen. George: Maar is er een leraar die verantwoordelijk is? Tzvika: Ja, ik heb assistenten. Ik heb elke dag met kinderen te maken. Tzvika: In het begin vond ik het een vreemd idee. Maar toen ik het logisch bekeek, zag ...Aussi, comme avec du papier, dans notre espace de travail nous collons des choses sur le mur pour nous en rappeler plus tard, et je peux faire la même chose ici, et vous savez, vous voyez des notes «post-it» et des choses comme ça dans le bureau des gens.
Verder kun je, net als op een echte werkplek, dingen in het zicht aan de muur prikken om ze niet te vergeten. Dat kan ik hier ook doen. Veel mensen werken op die manier, met post-its enzovoorts. Dat kan hier ook.
Etait-ce parce que j'écrivais bien ? Etait-ce parce que je m'exprimais bien ? Etait-ce parce que j'analysais très bien les données ? Etait-ce dû à mon statut de professeur que je méritais cette récompense de la société ? J'ai essayé de me convaincre que non, non, j'ai travaillé pour le changement
de politique. Vous savez, la politique publique deviendrait plus sensible aux besoins des pauvres et, donc, je pense que c'est bon. Il m'est apparu que
toutes ces années à travailler sur l'exploitation, l'exploitation par des propriétaires te
...[+++]rriens, des usuriers, des commerçants, m'ont donné l'intuition que j'étais probablement aussi un exploiteur parce qu'il n'y avait pas de ligne sur ma déclaration de revenus montrant ce revenu accumulé par le brio des gens qui avaient partagé leur savoir et leur confiance en moi. Rien ne leur avait été donné en retour, à tel point que la plupart de mon travail alors était en langue anglaise. La majorité des gens dont j'avais appris ne connaissait pas l'anglais.
Ben ik soms zo'n goed schrijver? Spreek ik soms zo goed? Analyseer ik de gegevens zo goed? Of is dit omdat ik een professor ben en daarom recht heb op deze verloning door de maatschappij? Ik begon mezelf overtuigen Nee, nee, ik werkte om de regels te wijzigen. Je weet het wel, het belei
d zal geleidelijk aan meer rekening gaan houden met de behoeften van de armen, en daarom dacht ik dat het wel in orde was. Maar dan leek het me dat al deze jaren dat mijn werk rond uitbuiting, uitbuiting door huisbazen, door kredietgevers en handelaars, mij deed realiseren dat ik waarschijnlijk ook een uitbuiter was, want in de belasting op mijn inkomen wa
...[+++]s er geen rekening mee gehouden dat deze inkomsten aangroeiden door de genialiteit van andere mensen. Diegenen die hun kennis met me gedeeld hebben, die me vertrouwden, maar die in ruil niets hadden ontvangen. En nog iets: tot dan was veel van mijn in het Engels. De meerderheid van de mensen van wie ik leerde, sprak geen Engels. datacenter (12): www.wordscope.be (v4.0.br)
vous savez travailler ->
Date index: 2024-04-07