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Note: les traductions des vidéos ont été réalisées par des volontaires qui ne sont pas tous des traducteurs professionnels, elles pourraient donc contenir des erreurs. Ces textes sont cependant intéressants pour retrouver des expressions du langage parlé par exemple.
Vous pouvez aussi visualiser directement ces passionnantes vidéos avec les sous-titres dans la langue de votre choix !
Traduction de «réelles n'est pas leur nombre de mots » (Français → Néerlandais) :
Les langues construites sont aussi appelées «con
langs ». Elles sont plus que des codes comme le latin de cuisine, et elles ne sont pas que des ramassis d'argot artificiel comme le jargon nadsat que parlent les voyous adolescents d'« Orange mécanique », où « droog », mot russe signifie ami. Ce qui fait des conlan
gs des langues bien réelles n'est pas leur nombr
e de mots. Ça peut aider, bien sûr, d' ...[+++]avoir beaucoup de mots. Le dothraki a des milliers de mots. Le na'vi a commencé avec 1500 mots.
Een kunsttaal staat voor een taal die ontworpen is. Het is meer dan geheimtaal, zoals Varkenslatijn, en het zijn niet alleen collecties van verzonnen taal zoals Nadsat-lingo, dat de jonge misdadigers in 'A Clockwork Orange' spreken, waar droog, uit het Russisch, toevallig vriend betekent. Wat kunsttalen echte talen maakt, is niet het aantal woorden dat ze tellen. Het helpt natuurlijk wel om veel woorden te hebben. Dothraki heeft duizenden woorden. Na'vi begon met 1.500 woorden.
Mais l'idée ici est que nous allons générer autant de questions que besoin jusqu'à ce que vous ayez compris le concept, jusqu'à ce que vous répondiez à 10 questions sans faute. Les vidéos de la Khan Academy sont ici. Vous avez des
indices, les étapes réelles du problème, si vous ne savez pas le résoudre. L'idée ici est plutôt très simple : 10 bonnes réponses
d'affilée, et vous passez à la suite. Mais c'est fondamentalement différent de ce qui se passe dans les classes maintenant. Dans une salle de classe traditionnelle, vous avez des
...[+++]devoirs à la maison, des devoirs, des cours, des devoirs, des cours, puis vous avez un contrôle à un instant donné. Et ce contrôle, que vous le réussissiez à 70, 80, 90, ou 95%, la classe passe au chapitre suivant. Et même pour ceux qui le réussissent à 95%, quels étaient les 5% qu'ils ne connaissaient pas ? Peut-être qu'ils ne savaient pas ce qui arrive quand on élève un nombre à la puissance nulle. Ensuite vous construisez sur ces connaissances dans le prochain chapitre. C'est comme si vous appreniez mentalement à faire du vélo, et peut-être que je vous donnerais des cours à l'avance, et que je vous donnerais ce vélo pendant deux semaines. Puis je reviens après deux semaines, et je dis : « Eh bien, voyons voir. Vous avez des problèmes avec le virage à gauche. Vous ne pouvez pas tout à fait vous arrêter. Vous êtes cycliste à 80%. » Donc je tamponne votre front d'un grand C, et ensuite je dis : « Voilà un monocycliste. » Mais aussi ridicule que cela puisse paraître, c'est exactement ce qui arrive dans nos classes en ce moment. L'idée est que vous avanciez rapidement et les bons élèves commencent à échouer soudainement en algèbre et commencent à échouer soudainement en calcul, bien qu'ils soient intelligents, bien qu'ils aient de bons professeurs. C'est généralement parce qu'ils ont des lacunes grosses comme des trous de gruyère qui continuent de s'élargir le long de leurs fondations. Notre modèle consiste à apprendre les maths comme vou ...
Het paradigma is dat we zoveel vragen gene
reren als jij nodig hebt tot je het concept snapt, tot je er 10 na elkaar goed hebt. Daar zijn de video's van de Khan Academy. Je krijgt tips, de stappen om het vraagstuk op te lossen als je niet weet hoe je het moet doen. Het paradigma is erg eenvoudig: 10 na elkaar goed, op naar de volgende. Het verschilt fundamenteel van wat
tegenwoordig in de klas gebeurt. In een traditionele klas krijg je afwisselend huiswerk, lessen, huiswerk, lessen en dan een examen - een momentopname. Of je op dat exa
...[+++]men 70 haalt of 80, 90 of 95 procent, de klas gaat door naar het volgende onderwerp. Zelfs voor de leerling die 95 procent haalde, geldt: wat was de 5 procent die hij niet kende? Misschien wist hij niet wat er gebeurt als je iets tot de nulde macht verheft. En dan bouw je daarop verder bij het volgende onderwerp. Dat is alsof je leert fietsen en ik je vooraf les geef, en je dan twee weken lang een fiets geef, en ik dan na twee weken terugkom en zeg: Even kijken. Jij hebt moeite met links afslaan. Je kan niet echt stoppen. Je bent een 80-procent-fietser. Dus zet ik een grote C-stempel op je voorhoofd en zeg ik: Hier is een eenwieler. Hoe belachelijk dat ook klinkt, dat is precies wat er gebeurt in onze klaslokalen tegenwoordig. Het idee is: als je verder doorspoelt en goede leerlingen plots problemen krijgen met algebra, en met analyse, ondanks het feit dat ze slim zijn en goede leerkrachten hebben, dan is het meestal omdat hun basis een Zwitserse kaas met gaten is. Ons model is dus: leer wiskunde zoals je alles leert, zoals je leert fietsen. Blijf op je fiets rijden. Val van die fiets.On le trouve aussi bien sur la c
ôte est que la côte ouest, et les symboles sont souvent très bien conservés, chacun de ce
s symboles a quatre bits -- c'est un mot binaire à quatre bits -- on dessine aléat
oirement ces lignes dans le sable, et ensuite o
n les compte, si le nombre est impair, on fait une marque, et s'il est pair, on
...[+++]en fait deux, Et ils le faisaient très rapidement, et je ne comprenais pas ce qu'ils voulaient en faire -- ils ne dessinaient les lignes aléatoires que quatre fois -- Je ne comprenais pas comment ils obtenaient les 12 autres symboles. Et ils ne voulaient pas me le dire. « Non, non. Je ne peux pas vous en parler », disaient-ils. Et moi de répondre : « Bon, je vous paierai, vous serez mon professeur, et je viendrai chaque jour et je vous paierai. » « Ce n'est pas une histoire d'argent. C'est une histoire de religion », disaient-ils. Et finalement, désespéré, j'ai dit : « Laissez-moi vous expliquer Georg Cantor en 1877. » Et j'ai commencé à leur expliquer pourquoi j'étais en Afrique, et ils devinrent très excités quand ils virent l'ensemble de Cantor. L'un d'eux a dit : « Venez. Je pense que je peux vous aider. » Et donc il me fit passer le rituel initiatique des prêtres bamanas.
Je vindt het op de Oostkust en op de Westkust, en de symbolen zijn vaak goed bewaard,
ze hebben elk vier bits -- het is een binair woord van vier bits -- je trekt deze lijnen willekeu
rig in het zand, en telt dan terug. Is het oneven, dan trek je één lijn, is het even, dan trek je twee lijnen. Ze deden dit heel snel en ik snapte niet waar ze heengingen -- ze deden het willekeu
rige stuk maar vier keer -- ik snapte niet waar de andere
...[+++] 12 symbolen vandaan kwamen. Ze wilden het me niet zeggen. Ze zeiden: Nee, nee, ik kan het je niet vertellen. Ik zei: Kijk, ik betaal je, je kan mijn leraar zijn en ik zal je elke dag komen betalen. Ze zeiden: Het is geen kwestie van geld. Het is een kwestie van religie. Ten einde raad zei ik: Laat me jullie Georg Cantor in 1877 uitleggen. Ik begon uit te leggen waarom ik in Afrika was, en ze werden opgewonden toen ze de Cantorverzameling zagen. Eén van hen zei: Kom hier, ik denk dat ik je kan helpen. Hij leidde me door het initiatieritueel van een Bamanapriester.Des millions de gens, souvent anonymes, peuvent te poignarder avec leurs mots, la douleur est insoutenable. Et il n'y a pas de clôture pour limiter le nombre de personnes qui peuvent vous observer et vous mettre au pilori.
Miljoenen mensen kunnen je, vaak anoniem, treffen met hun woorden, en dat is een hoop pijn, Er zijn geen grenzen die bepalen hoeveel mensen je publiek kunnen observeren en je in een publieke uitstalling kunnen plaatsen.
datacenter (12): www.wordscope.be (v4.0.br)
réelles n'est pas leur nombre de mots ->
Date index: 2023-06-05