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Note: les traductions des vidéos ont été réalisées par des volontaires qui ne sont pas tous des traducteurs professionnels, elles pourraient donc contenir des erreurs. Ces textes sont cependant intéressants pour retrouver des expressions du langage parlé par exemple.
Vous pouvez aussi visualiser directement ces passionnantes vidéos avec les sous-titres dans la langue de votre choix !
Traduction de «qu'il me gardait » (Français → Néerlandais) :
Et Darwin gardait ces cahiers copieux où il a écrit à toutes les idées qu'il avait, la moindre petite intuition.
Darwin hield er van die lijvige aantekenboeken op na waar hij ieder klein idee dat hij had in opschreef,
Il se produisait avec le cirque pendant l'été pour payer les cours, mais il le gardait secret pour protéger son personnage.
Tijdens de zomer werkte hij bij het circus om zijn collegegeld te betalen, maar hield dit geheim om zijn imago te beschermen.
Il y a de très nombreuses années, j'ai été virée d'un boulot que j'adorais, et je n'arrêtais pas de parler de mon innocence de l'injustice, de la trahison et de la tromperie, jusqu'à ce que finalement, tout comme cette femme, les gens me fuient, jusqu'à ce que je me rende finalement compte que je ne digérais pas mes sentiments, je les nourrissais.
Vele jaren daarvoor werd ik ontslagen uit een baan die me zeer lief was. Ik kon het toen alleen nog maar hebben over mijn onschuld en het onrecht, het verraad en het bedrog, totdat ook bij mij de mensen van me wegliepen. Uiteindelijk realiseerde ik me dat ik mijn gevoelens niet aan het verwerken was, ik was ze aan het voeden.
AV : Nous, ou moi ? RG : Je suis désolé. Mauvais usage du pronom. Alisa était pleinement en train de mettre au monde notre premier fils -- (AV : Merci.) -- et j'étais là avec mon gant de receveur. Mes bras ouverts. L'infirmière vient me voir avec cet enfant de toute beauté. Et je me rappelle, alors qu'elle s'approche de moi, les voix d'amis me disant, Dès l'instant où le bébé sera dans tes bras, tu sentiras un sentiment d'amour monter en toi d'une ampleur plus puissante que n'importe quelle chose que tu aies ressentie dans ta vie entière. Alors je me prépara
is au choc. Le bébé arrivait, et j'attendais que ce poids lourd d'amour m'évanoui
...[+++]sse.
AV: Wij, of ik? RG: Excuus. Verkeerd gebruik van het voornaamwoord. Alisa was zeer gul ons eerste kind aan het baren -- (AV: Dank je.) -- en daar was ik met de catchershandschoen. En ik stond met mijn armen open. De verpleegkundige kwam op me af met dat prachtige, prachtige kind. Ik herinner me, terwijl ze naderde, de stemmen van vrienden die zeiden: Zodra ze je de baby in handen geven, zal je een gevoel van liefde over je voelen komen, dat een grootteorde sterker is dan al wat je al ervaren hebt in je hele leven. Ik zette me dus schrap voor het moment. De baby kwam eraan,
en ik was klaar voor die immense hoeveelheid liefde die me van mi
...[+++]jn sokken zou blazen.Cela me rappelle la première fois que j'étais à Gombe en 1960. Je m'en souviens comme si c'était hier. La première fois que je pénétrais la végétation, les chimpanzés me fuyaient pour la plupart, même si certains se sont un peu habitués. J'aperçus cette masse sombre, juché au-dessus d'un nid à termites et j'observais attentivement avec mes lunettes. C'était un adulte mâle que j'ai surnommé David Barbe-Grise. Au passage, la science de l'époque ne me recommandait pas de nommer les chimpanzés. Ils devaient avoir des numéros, c'était plus scientifique. Passons, David Barbe-Grise et je l'ai vu de mes yeux arrachait des herbes et les utilisait pour pêcher des termites dans leur nid souterrain.
Maar het punt is dat toen ik voor het eerst in Gombe was, in 1960 -- ik kan het me erg goed en levendig herinneren, als de dag van gisteren -- de eerste keer, toen ik door de gewassen liep, vluchtten de meeste chimpansees nog steeds van me weg, hoewel een aantal wel wat geacclimatiseerd waren. Ik zag een donker figuur, voorovergebogen over een termietenheuvel, en ik tuurde door mijn verrekijker. Het was, gelukkig, een volwassen mannetje dat ik David Greybeard had genoemd -- de wetenschap van die tijd was ertegen dat ik de chimpansees namen gaf, ze moesten allemaal nummers hebben, dat was wetenschappelijker. Hoe dan ook, David Greybeard, zo zag ik, was kleine sprietjes gras aan het plukken en gebruikte ze om termieten uit hun ondergrondse ne
...[+++]st te vissen.Je me suis dit : « C'est fabuleux ! Je me demande bien pourquoi
? » Bien sûr il me fallait aller en Afrique et poser la question aux gens. J'ai donc reçu une bourse Fulbright pour voyager en Afrique pendant un an demandant aux gens pourquoi ils construisaient des fractales, ce qui est un super travail si vous l'obtenez. (Rires) Je me suis retrouvé dans cette ville, j'avais créé un petit modèle fractal de la ville juste pour voir un peu comment il se développerait -- quand j'y suis arrivé, je me suis rendu au palais du chef, et mon français n'est pas très bon ; j'ai dit quelque chose comme : « Je suis un mathématicien et j'aimerais monte
...[+++]r sur votre toit. » Il a été très sympa, et il m'y a emmené, et nous avons parlé des fractales. Il a dit : « Oh oui, bien sûr ! Nous savons ça : un rectangle dans un rectangle, nous savons tout de ça. » Il s'avère que l'insigne royal est composé d'un rectangle dans un rectangle dans un rectangle, et le chemin à travers le palais est en fait cette spirale ici.
Ik dacht: Dit is ongelooflijk! Waarom is dat zo? Dus
ging ik naar Afrika om de mensen te vragen waarom. Ik kreeg een Fulbright-beurs om een jaar lang door Afrika te reizen en mensen te vragen waarom ze fractals bouwden, wat een heerlijke baan is, als je ze kunt krijgen. (Gelach) Ik kwam dus in deze stad aan. Ik had een klein fractaal model voor de stad gemaakt om te zien hoe het zich zou ontwikkelen -- maar toen ik aankwam, bij het paleis van de chef -- mijn Frans is niet zo goed, dus ik zei iets in de trant van: Ik ben wiskundige en ik zou graag op uw dak staan. Hij reageerde prima. Hij nam me mee naar boven en we praatten over fractals
...[+++]. Hij zei: Oh ja, ja! We wisten van een rechthoek in een rechthoek, dat weten we allemaal. Blijkt dat op het koninklijk blazoen een rechthoek in een rechthoek in een rechthoek staat, en dat het pad door dat paleis deze spiraal hier is.Et donc, ce que je faisais à Esperance cette première année était tout simplement de me promener dans les rues, et après trois jours j'ai eu mon premier client, et j'ai aidé cet homme qui fumait
du poisson dans un garage, c'était un Maori, et je l'ai aidé à vendre au restaurant à Perth, à s'organiser, et puis les pêcheurs sont venu me dire, « C'est vous qui avez aidé le Maori ? Pouvez-vous nous aider ? » Et j’ai aidé ces cinq pêcheurs à travailler ensemble et à faire parvenir ces thons superbes non pas à la conserverie d’Albany à 60 centimes le kilo, mais nous avons trouvé une façon d’emmener le poisson au Japon pour en faire du sushi à
...[+++]15 dollars le kilo, et les fermiers ont venu me parler, ils m’ont dit, « Hé, vous les avez aidés. Pouvez-vous nous aider ? » En un an, j’avais 27 projets en cours, et le gouvernement est venu me voir pour me dire, « Comment faites-vous ça ? « Comment faites-vous ... ?Et j’ai répondu, « Je fais quelque chose de très, très, très difficile.
In dat eerste jaar in Esperance liep ik gewoon wat rond en binnen drie dagen had ik mijn eerste klant. Hij was een Maori di
e vis rookte in een garage. Ik hielp hem zijn vis te verkopen aan een restaurant in Perth. Daarna vroegen een paar vissers me: Heb jij die Maori geholpen? Kun jij ons ook helpen? Ik heb deze vijf vissers geholpen om hun mooie tonijn niet te verkopen aan de conservenfabriek in Albany voor 60 cent per kilo. Wij stuurden die vis naar Japan voor 15 dollar per kilo, om sushi van te maken. Daarna kwamen boeren met mij praten: Je hebt hen geholpen. Kun je ons ook helpen? Binnen een jaar had ik wel 27 projecten, en de overhe
...[+++]id kwam naar me toe, en zei: Hoe doe je dat? Ik zei: Ik doe iets heel, heel, heel moeilijks.Beaucoup de gens qui ont une paralysie cérébrale ne peuvent pas marcher, mais mes parents n'acceptaient pas qu'on leur dise « je ne peux pas ». Le mantra de mon père était, « Tu peux le faire, oui, tu peux pouvoir. » (Rires) Donc, si mes trois sœurs aînées passaient la serpillière, je passais la serpillière. Si mes trois sœurs aînées allaient à l'école publique, mes parents portaient plainte contre le système scolaire pour obtenir que j'y aille aussi, et si nous n'avions pas tous des A, on se prenait tous les coups de savate de ma mère. (Rires) Mon père m'a appris à marcher quand j'avais 5 ans en plaçant mes talons
sur ses pieds et en marchant, simplement. Une au ...[+++]tre tactique qu'il utilisait était d'agiter un billet de un dollar devant moi, et je devais l'attraper.
Veel mensen met hersenverlamming lopen niet, maar mijn ouders geloofden niet in kan niet'. Mijn vaders mantra was: Je kan het, ja, je kan kunnen. (Gelach) Dus als mijn drie oudere zussen dweilden, dweilde ik. Als mijn drie oudere zussen naar de openbare school gingen, klaagden mijn ouders het schoolsysteem aan tot ik ook ging. En als we niet allemaal tienen haalden, voelden we allemaal mijn moeders slof. (Gelach) Mijn vader leerde me lopen toen ik vijf was door mijn hielen op zijn voeten te zetten en gewoon te lopen. Bij een van zijn andere tactieken hield hij een dollarbiljet voor me en liet mij het achtervolgen.
Ce n'est qu'à notre époque que la course est devenue associée à la peur et à la douleur. Géronimo disait que Mes seuls amis sont mes jambes, je ne fais confiance qu'à mes jambes. C'est parce qu'un triathlon apache consistait à courir 75 kilomètres dans le désert, s'affronter cans un combat à mains nues, à voler un groupe de cheveaux, et à rentrer chez soi à bride abatue. Géronimo ne disait jamais ah, vous savez un truc, mes tendons d'achile, j'ai des crampes, je dois me reposer une semaine ou je dois faire des exercices différents. Je n'ai pas fait de yoga. Je ne suis pas prêt. De tout temps, les humains ont couru encore et encore. Nous sommes ici aujourd'hui. Nous avons la technologie numérique. Toute notre science vient du fait que nos an
...[+++]cêtres étaient capables de faire quelque chose extraordinaire tous les jours, qui ne nécessitait que leurs pieds nus et leurs jambes pour courir sur de longues distances. Alors comment retrouver ça? Et bien je vous soumet la première chose qui est de se débarrasser de tout l'emballage, de toutes les ventes, de tout le marketing,
Pas nu in onze tijd wordt rennen verbonden met angst en pijn. Geronimo (leider van Apache-Indianen) zei: Mijn enige vrienden zijn mijn benen. Ik vertrouw alleen mijn benen. Dat is omdat een Apache triathlon bestond uit 80 km rennen door de woestijn, meedoen aan een vuistgevecht, een paar paarden stelen en thuis het geweer trekken. Geronimo zei nooit: Hmm, weet je, mijn achillespees -- het lukt niet, ik neem deze week vrij, of Ik moet cross-trainen. Ik heb mijn yoga niet gedaa. Ik ben niet klaar. Mensen rennen en hebben altijd gerend. We zijn nu hier. We hebben onze digitale technologie. Al onze wetenschap stamt uit het feit dat onze voorvaderen in staat waren, om iets bijzonders elke dag te doen, namelijk erop vertrouwen dat hun blote voete
...[+++]n en benen lange afstanden konden afleggen. Hoe komen we daar weer terug? Ik zou zeggen dat het eerste is om alle verpakking, sales en marketing weg te gooien.J'attendais un signal sonore pour piétons. lorsqu'il se met en marche, j'étais sur le point de traverser, quand tout à coup, quelqu'un me prit par la main droite, me tira brusquement le bras pour me mettre sur le passage piéton et me trainer tout du long, en me parlant en mandarin.
Ik wachtte op een audio-voetgangerssignaal. Ik wilde net oversteken, toen ik plotseling door een of andere vent bij de hand werd gegrepen. Hij rukte aan mijn arm, trok me het zebrapad op en sleepte me de straat over, terwijl hij Chinees tegen me praatte.
datacenter (12): www.wordscope.be (v4.0.br)
qu'il me gardait ->
Date index: 2024-02-16