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Note: les traductions des vidéos ont été réalisées par des volontaires qui ne sont pas tous des traducteurs professionnels, elles pourraient donc contenir des erreurs. Ces textes sont cependant intéressants pour retrouver des expressions du langage parlé par exemple.
Vous pouvez aussi visualiser directement ces passionnantes vidéos avec les sous-titres dans la langue de votre choix !
Traduction de «pourquoi j'ai une peur mortelle » (Français → Néerlandais) :
Pourquoi j'ai une peur mortelle de m'exprimer en public - TED Talks -
Waarom ik doodsbang ben voor publiek spreken - TED Talks -
L'un d'entre eux est assez simple. Un type a dit
que sa fille avait peur la nuit et si je pouvais écri
re une chanson pour elle, sa fille. Et j'ai dit, oh oui, j'essayerai d'écrire un mantra qu'elle peut se chanter pour s'aider à s'endormir. Et c'était J'ai peur. (vidéo) ♫ Cette chanson est une chanson que je chante quand j'ai peur de quelque chose
♫ ♫ Je ne sais pas pourquoi mais ça m'aide à me rassurer ♫ ♫ Les
...[+++] mots de la chanson me font avancer ♫ ♫ Et alors je n'ai plus peur ♫ ♫ Au moins je ne suis pas nulle avec la vie ♫ ♫ Je continue à essayer malgré tout ♫ ♫ Au moins je ne suis pas nulle avec la vie ♫ ♫ Je continue à essayer malgré tout ♫ ♫ Et c'est une chanson que je chante quand j'ai peur de quelque chose ♫ D'accord, donc j'ai écrit cette chanson. Merci.
Eén ervan lag nogal voor de hand. Een man zei dat zijn dochter 's nachts bang was. Kon ik een lied schrijven voor zijn dochter? Ik zei: ja, ik zal een mantra schrijven die ze voor zichzelf kan zingen, om zichzelf te helpen inslapen. Dit was Bang . (Video) ♫ Dit is een lied dat ik zing als ik ergens bang voor ben ♫ ♫ Ik weet niet
waarom, maar het helpt me de angst te overwinnen ♫ ♫ De woorden van het lied helpen me vooruit ♫ ♫ En op één of andere manier overwin ik ze ♫ ♫ Ik ben tenminste niet beroerd in het leven ♫ ♫ Ik blijf proberen ondanks ♫ ♫ Ik ben tenminste niet beroerd in het leven ♫ ♫ Ik blijf proberen ondanks ♫ ♫ Dit is een lied
...[+++]dat ik zing als ik ergens bang van ben ♫ OK, ik heb dat lied geschreven. Dank jullie wel.(Rires) Les araignées, peut-être ? B
eaucoup de gens ont peur des araignées. Vous devriez avoir peur des araignées – elles sont terrifiantes et ont de longues jambes velues. Les araignées comme c
elle-ci, la recluse brune – c'est horrible. Si une recluse brune vous mord, vous développez une de ces horribles nécroses énormes
à la jambe et il se pourrait qu'il y en ait une là tout de suite sur le fauteuil derrière vous. Comment savoir
...[+++]? L'araignée vous tombe dessus, et vous contractez une grande panique parce que les araignées font peur. Mais vous vous demander s'il y a vraiment une recluse brune sur le fauteuil d'à côté. Je ne sais pas. Il y en a ici ? Si vous faites un peu de recherches, vous trouvez que dans le monde il y a environ 50 000 espèces différentes d'araignées et qu'à peu près deux douzaines sont venimeuses parmi ces 50 000. Si vous êtes au Canada, à cause des hivers froids, ici en Colombie-Britannique, il y a environ 720,730 espèces d'araignées et il y en a une – une seule – qui est venimeuse, et son venin n'est même pas mortel, c'est plutôt comme une méchante piqûre. Et cette araignée possède de magnifiques taches sur son dos, comme pour indiquer : je suis dangereuse, j'ai un gros symbole radioactif sur mon dos, c'est la veuve noire. Même si vous ne faites pas très attention, vous pouvez éviter de croiser une de ces araignées – elles vivent proche du sol, lorsque vous vous promenez, vous ne tomberez jamais sur une veuve noire qui va vous mordre. Elles ne tissent pas ce type de toile, elles les tissent plutôt dans des coins. On l'appelle « veuve noire » car la femelle dévore le mâle. Elle n'a que faire de vous. Alors en fait, la prochaine fois que vous rentrez dans une toile d'araignée vous n'avez pas besoin de paniquer et d'avoir une réaction primitive.
(Gelach) Misschien zijn het spinnen. Velen zijn bang voor spinnen. En angst voor spinnen is goed -- ze zijn griezelig, met lange, harige benen. De vioolspin, bijvoorbeeld, is vreselijk. Als ze je bijt, krijg je een verschrikkelijke, necrotiserende wond op je been. Misschien zit er nu een vioolspin achter je stoel. Wie weet? Dus: er valt een spin op je, en je reageert heel spastisch want spinnen zijn eng. Maar hoe weet je nu of deze spin achter je zit? Ik weet het niet. Zijn hier vioolspinnen? Als je dit opzoekt, zul je vinden dat er wereldwijd 50.000 soorten spinnen zijn, waarvan er zo'n twee dozijn giftig zijn van de 50.000. En omdat in Canada de winters zo koud zijn, heb je hier in Brits-Columbia ongeveer een 720, 730 soorten spinnen en e
...[+++]r is er eentje -- ééntje -- die giftig is. Niet eens fataal. Het is gewoon een nare beet. Daarnaast waarschuwt deze spin je met duidelijke kleuren op zijn lijf: Ik ben gevaarlijk . Het is de zwarte weduwe. Dus als je al maar een klein beetje oplet kun je haar vermijden -- en ze leeft dicht bij de grond, dus als je gewoon loopt, loop je nooit tegen haar web aan. Deze spinnenwebben vind je beneden in een hoekje. En ze wordt zwarte weduwe genoemd omdat ze het mannetje opeet; ze is niet geïnteresseerd in jou. Dus in feite, de volgende keer dat je tegen een web oploopt, hoef je niet in paniek te raken als een holbewoner.Ils demandent aux gens dans les régions impaludées du monde : « Que pensez-vous du paludisme ? » Et la réponse n'est pas : « C'est une mal
adie mortelle. On a peur d'elle. » La réponse est : « Le paludisme est un problème ordinaire de la vie. » Et ça rejoint mon expérience personnelle. Quand j'ai
dit à ma famille en Inde que j'écrivais un livre sur le paludisme, ils m'ont regardée un peu comme si je leur avais dit que j'écrivais un livre surles verrues ou quelque chose dans
le genre. Du genre, pourquoi ...[+++] veux-tu écriresur un sujet aussi ennuyeux, aussi ordinaire ? Vous voyez ? Il s'agit vraiment de la perception du risque.
Zij vragen mensen in malariagebieden: “Wat vinden jullie van malaria?” Ze zeggen niet: “Het is een levensbedreigende ziekte, we zijn er bang voor.” Maar wel: “Malaria is een probleem dat bij het leven hoort.” Dat was ook mijn persoonlijke ervaring. Toen ik mijn familie in India vertelde dat ik een boek over malaria aan het schrijven was, keken ze me aan alsof ik zei dat ik een boek over wratten of zo aan het schrijven was. “Waarom schrijf je over iets dat zo alledaags is?” “Waarom schrijf je over iets dat zo alledaags is?” Eigenlijk gaat het over het inschatten van risico's.
Alors, je vais commencer par ceci : il y a deux ans, l'organisatrice d'un événement m'a téléphoné parce que je devais don
ner une conférence. Elle m'a appelé et m'a dit : J'ai vraiment du mal à trouver comment vous décrire sur notre petit prospectus. Et je me suis dit : Et bien, où est le problème ? Et elle m'a dit : Et bien, je vous ai déjà vu parler, et je vais vous désigner comme une chercheuse,
je crois, mais j'ai peur que si je vous désigne comme c
...[+++]hercheuse, personne ne vienne, parce que tout le monde pensera que vous êtes ennuyeuse et hors sujet. (Rires) Ok. Et elle a dit : Mais ce que j'ai aimé dans votre conférence, c'est que vous êtes une conteuse d'histoires. Alors je pense que ce que je vais faire, c'est juste dire que vous êtes une conteuse. Et bien sûr, mon côté universitaire, qui manque d'assurance, a dit : Vous allez dire que je suis quoi ?! Et elle a dit : Je vais dire que vous êtes une conteuse. Et moi : Et pourquoi pas fée Carabosse ? (Rires) J'ai fait : Laissez-moi réfléchir une seconde. J'ai essayé de rassembler tout mon courage.
Ik
begin hiermee: een paar jaar geleden belde een organisator van een evenement me omdat ik een lezing zou geven. Ze belde en zei: Ik weet niet goed hoe ik over jou moet schrijven in de kleine flyer. Ik dacht: hoezo, je weet het niet? Ze antwoordde: Nou, ik zag je spreken en ik ga je een onderzoeker noemen, denk ik, maar ik ben bang dat er dan niemand komt. Ze z
ullen denken dat je saai en onbelangrijk bent. (Gelach) Oké. Ze zei: Wat ik zo leuk vond aan jouw lezing is dat je een verhalenverteller bent. Dus ik denk dat ik je gewoon een
...[+++]verhalenverteller noem. En de academische, onzekere kant van mij zegt: Je gaat me wàt noemen? Ik ga je een verhalenverteller noemen. Ik dacht: Waarom niet de toverfee? (Gelach) Ik zeg: Laat me hier even over nadenken. Ik probeerde diep van binnen de moed te vinden.Au lieu de ça, il y a eu une litanie d'optimisme ahurissant. À partir de 2004, chaque général est arrivé en disant : « J'ai hérité d'une si
tuation lamentable, mais j'ai enfin les ressources et la stratégie adéquates, qui feront de cette année, selon les termes du général Barno en 2004, « l'année décisive ». Eh bien devinez quoi? Ça n'est pas arrivé. Mais ça n'a pas empêché le général Abuzaid de dire qu'il avait la stratégi
e et les ressources pour livrer, en 2005, « l'année décisive ». Ou encore le général David Richards d'arriver en 2
...[+++]006 et de dire qu'il avait la stratégie et les ressources pour offrir « l'année écrasante ». Ou, en 2007, l'adjoint du Ministre des affaires étrangères norvégien, Espen Eide, de dire qu'il allait apporter « l'année décisive ». Ou, en 2008, le major-général Champoux d'arriver et de dire qu'il allait fournir « l'année décisive ». Ou, en 2009, mon grand ami, le général Stanley McChrystal, de dire qu'il était « en plein dans l'année décisive ». Ou, en 2010, le Ministre des affaires étrangères britannique, David Miliband, de dire que nous allions enfin obtenir « l'année décisive ». Et vous serez ravis d'entendre qu'en 2011, aujourd'hui, Guido Westerwelle, le Ministre des affaires étrangères allemand, nous garantit que nous sommes dans « l'année décisive ». (Applaudissements) Pourquoi laissons-nous tout ceci se produire ? Eh bien la réponse est, bien sûr, que si vous dépensez 125 ou 130 milliards de dollars par an dans un pays, vous vous mettez dans la poche presque tout le monde, même les organisations humanitaires, qui commencent à recevoir d'énormes quantités d'argent des gouvernements américain et européens pour construire des écoles et des cliniques, sont peu disposées à récuser l'idée que l'Afghanistan est une menace existentielle pour la sécurité mondiale. Elles sont inquiètes, en d'autres termes, que si quelqu'un pense que ce n'est pas une telle menace, Oxfam, Save the Children, ne recevront pas l'argent pour construire leurs hôpitaux ...
In plaats daarvan was er een litanie van verbijsterend optimisme. Beginnend in 2004 kwam elke generaal binnen en zei, Ik heb een ellendige situatie geërfd, maar eindelijk heb ik de juiste middelen en strategie, die zullen zorgen voor , in generaal Barno's woorden in 2004, het beslissende jaar . Raad eens? Dat was het geenszins. Maar dat belette generaal Abuzaid niet te zeggen dat hij de strategie en middelen had om in 2005 te zorgen voor het beslissende jaar . Of generaal David Richards die in 2006 zei dat hij de strategie en de middelen had om te zorgen voor het kanteljaar . Of in 2007, Espen Eide, de Noorse staatssecretaris Buitenlandse Zaken, die zei dat hij zou zorgen voor het beslissende jaar . Of in 2008, generaal-majoor Champoux die
...[+++]binnenkwam en zei dat hij zou zorgen voor het beslissende jaar Of in 2009, mijn grote vriend, generaal Stanley McChrystal, die zei dat hij tot zijn knieën in het beslissende jaar stond. Of in 2010, David Miliband, de Britse minister van Buitenlandse Zaken, die zei dat hij eindelijk zou gaan zorgen voor het beslissende jaar . En jullie zullen blij zijn te horen, nu in 2011, dat Guido Westerwelle, de Duitse minister van Buitenlandse Zaken, ons verzekert dat we aanbeland zijn in het beslissende jaar . (Applaus) Hoe kan het dat we dit allemaal laten gebeuren? Het antwoord is uiteraard dat als je 125 miljard of 130 miljard dollar per jaar uitgeeft in een land, je bijna iedereen erbij betrekt. Zelfs de hulpverleningsorganisaties -- die dan enorme hoeveelheden geld krijgen van de Amerikaanse en Europese overheden om scholen en hospitalen te bouwen -- zijn niet echt bereid om tegen te spreken dat Afghanistan een existentieel gevaar vormt voor de internationale veiligheid. Ze vrezen met andere woorden, dat als mensen geloven dat het niet zo'n probleem is -- Oxfam, Save the children -- geen geld zouden krijgen om hun scholen en hospitalen te bouwen. Ook is het erg moeilijk om een generaal met medailles op zijn borst, tegen te spreken. Het i ...J'ai coupé mes cheveux à chaque fois que je voyais Kofi Annan
, parce que j'avais peur qu'il me prenne pour un
hippie. Voilà donc pourquoi leur longueur change. (Rires) Ça ne me préoccupe plus maintenant. Donc Mary Robinson m'a dit : « C'est une idée qui est mûre. Cette journée doit être instaurée. » Kofi Annan a dit : « Ça aidera mes troupes sur le terrain. » L'Organisation de l'unité africaine à l'époque, dirigée par Salim Ahmed Salim, a dit : « Les pays africains doivent participer. » Le Dr Oscar Aria
s, prix Nobel de la ...[+++]paix, maintenant président du Costa Rica, a dit : « Je ferai tout ce que je peux. » Je suis allé voir Amr Moussa à la Ligue des États arabes.
Ik liet mijn haar
knippen, want elke keer als ik Kofi Annan ontmoette, was ik bang dat hij dacht met een hippie te doen te hebben. Zo ging dat. (Gelach) Nu trek ik me dat niet meer aan. Mary Robinson zei tegen mij: Dit is een idee waarvoor de
tijd rijp is. Hier moeten we iets mee doen. Kofi Annan zei: Dit zal mijn soldaten te velde een hart onder de riem steken. De OAE, toen onder leiding van Salim Ahmed Salim, zei: Ik moet de Afrikaanse landen erbij betrekken. Dr. Oscar Arias, winnaar van de Nobelprijs voor de vrede, nu president van
...[+++] Costa Rica, zei: Ik zal alles doen wat ik kan. Ik ontmoette Amr Moussa bij de Liga van Arabische Staten. datacenter (12): www.wordscope.be (v4.0.br)
pourquoi j'ai une peur mortelle ->
Date index: 2021-07-11