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Note: les traductions des vidéos ont été réalisées par des volontaires qui ne sont pas tous des traducteurs professionnels, elles pourraient donc contenir des erreurs. Ces textes sont cependant intéressants pour retrouver des expressions du langage parlé par exemple.
Vous pouvez aussi visualiser directement ces passionnantes vidéos avec les sous-titres dans la langue de votre choix !
Traduction de «nous c'était effrayant » (Français → Néerlandais) :
(Rires) Beverly est clairement l'une d'entre elles, et ce petit léopard, Legadema, en est une autre, et elle a ch
angé nos vies. BJ : Nous avons certainement passé beaucoup de temps avec elle -- en fait, plus de temps que sa mère passait avec elle. Quand sa mère partait chasser, nous restions pour
filmer. Quand elle était petite, la foudre a frappé un arbre à 20 p
as de nous. C'était effrayant. Nous nous sommes trouvés sous une pluie
...[+++] de feuilles d'une odeur âcre.
(Gelach) Beverly is er daar duidelijk één van, en deze kleine luipaard, Legadema, is een ander voorbeeld. Zij veranderde ons leven. BJ: Ja, we brachten heus heel veel tijd met haar door -- in feite, meer tijd dan zelfs haar eigen moeder. Als haar moeder weg ging om te jagen, bleven wij om te filmen. Al snel raakte een bliksemschicht een boom 20 passen van ons vandaan. Het was erg beangstigend. Het bedolf ons met bladeren en een penetrante geur.
Un enfant a quitté sa mère pour courir vers sa maison chercher son chien, qui apparemment était effrayé.
Een jongen rukte zich los van zijn moeder en rende zijn huis in om zijn hond te halen, die doodsbang was.
CA: Mais est-ce qu'il n'y a pas un peu de rationalité dans cette
peur, à savoir que nous sommes effrayés, car nous pensons qu'une attaque ultime est à venir? DG : Oui, bien sûr. Si nou
s étions sûrs que c'était la pire attaque que nous aurons, il pourrait y avoir davantage de bus de 30 personnes -- et no
us ne seriez pas si effrayés. Je ne cherche pas à dire -- Je vous en prie, je vais être cité quelque part comme disant le terrorism
...[+++]e ce n'est rien, nous ne devrions pas être si inquiets . Ce n'est pas ce que j'essaye de dire. Ce que je cherche à dire est que, de façon rationnelle notre souffrance par rapport aux événements futurs, aux menaces, devrait être proportionnelle à l'importance de ces menaces et des menaces à venir. Je pense que dans le cas du terrorisme, ce n'est pas le cas.
CA: Maar is er ook een reële grond voor onze angste
n, de reden dat we bang zijn, is omdat we denken dat er nog een veel grotere aanslag zal komen? DG: Ja natuurlijk: als we wisten dat dit de grootste aanslag ooit was en er nog meer bussen van 30 mensen doelwit waren -- dan zouden we wellicht niet zo bang zijn. Ik wil hier niet zeggen -- straks gaan ze me citeren met “Niets mis met terrorisme, waar maken we ons druk om.” Maar dat bedoel ik echt niet. Mijn punt is dat, rationeel gezien, onze zorgen over gebeurtenissen, bedreigingen, ongeveer in verhouding moeten zijn met de omvang van bedreigingen, nu en in de toekomst. Met terrorisme is d
...[+++]at niet het geval, volgens mij.C'est effrayant. Vous savez, je continue de parler de cette idée de raconter une histoire, et c'est comme si l'enseignement scientifique avait choisi ce que j'appelle la tyrannie de la précision, où l'on ne peut pas simplement raconter une histoire. C'est comme si la science se devait d'être un de ces cont
eurs terribles, que nous connaissons tous et qui nous donnent des détails dont tout le monde se fiche, du genre : Oh, j'ai déjeuné avec mon amie l'autre jour, elle portait ce jean très
moche. Enfin, ce n'était ...[+++] pas vraiment un jean, c'était plutôt comme un, une sorte de legging, mais, plutôt, enfin je suppose que c'est plutôt un jegging. un peu comme, mais je pensais... et vous, vous vous dites : Oh mon dieu.
Dat is afschuwelijk. Ik wil het hebben over dit idee van verhalen vertellen. Het is alsof wetenschapsonderwijs uitgaat van wat ik de tirannie van de precisie noem, waar je niet zomaar een verhaal mag vertellen. Wetenschap lijkt wel de ‘Verschrikkelijke Verhalenverteller’ geworden. Hij zadelt ons op met alle details waar niemand om geeft. Zoals als iemand die zegt: “Ik kwam gisteren mijn vriendin tegen en ze droeg zo’n lelijke jeans. Ik bedoel, het waren niet eens jeans, eerder een soort leggings, maar eigenlijk waren het ‘jeggings’.” Dan denk ik: “God!
« Ô sommeil, ô bienfaisant sommeil, doux réparateur de la nature, c
omment donc t'ai-je effrayé ? » Shakespeare encore, dans... -- je ne vais pas le dire -- la pièce écossaise. [Correction: Henry IV] (Rires) De la même époque : « Le sommeil est la chaîne dorée qui lie notre santé et notre corps. » Extrêmement prophétique, par Thomas Dekker, un autre dramaturge él
isabéthain. Mais si nous avançons de 400 ans, le ton utilisé pour parler du sommeil change quelque peu. Ceci est de Thomas Edison, au début du 20e siècle. « Le sommeil est un g
...[+++]aspillage de temps criminel et un héritage de nos jours préhistoriques. » Boum. (Rires) Et si nous avançons jusqu'aux années 80, certains d'entre vous se souviendront peut-être que Margaret Thatcher est réputée avoir dit : « Le sommeil, c’est pour les mauviettes. » Et, bien sûr, le tristement célèbre -- quel était son nom déjà ? -- le tristement célèbre Gordon Gekko dans « Wall Street » a dit, « L'argent ne dort jamais. » Que faisons-nous au 20e siècle par rapport au sommeil?
O slaap, O lieve slaap, zachte min van de natuur, hoe kon ik je verjagen? Shakespeare weer, van - ik zeg het niet - het Schotse stuk. [Correctie: Henry IV, Part 2] (Gelach) Uit de dezelfde tijd: Slaap is de gouden ketting die gezondheid en onze lichamen samenhoudt. Zeer profetisch, door Thomas
Dekker, een andere Elizabethaanse toneelschrijver. Maar als we 400 jaar vooruitgaan, verandert de toon over slaap enigszins. Dit is van Thomas Edison, begin 20e eeuw. Slaap is een criminele verspilling van tijd en een erfenis van toen we nog in holen leefden. Bang! (Gelach) Van in de jaren 80 herinneren sommigen van jullie zich misschien dit van Ma
...[+++]rgaret Thatcher: Slaap is voor watjes. En natuurlijk de beruchte - wat was zijn naam weer? - de beruchte Gordon Gekko van ‘Wall Street’: Geld slaapt nooit. Wat doen we in de 20e eeuw met slaap?Plus nous sommes effrayés, plus nous sommes vulnérables, et plus nous sommes effrayés encore.
Hoe angstiger we zijn, hoe kwetsbaarder we zijn, hoe angstiger we zijn.
Sa salle de classe tremblait parfois du bruit des bombes et des obus. Et sa mère m'a raconté : « Chaque matin, je lui disais : ' Chéri, s'il te plaît, ne va pas à l'école ! ' » Et lorsqu'il insistait, m'a-t-elle dit : « Je le serrais dans mes bras comme si c'était la dernière fois. » Mais il a dit à sa mère : « Nous sommes tous effrayés, mais notre détermination à être diplômés est plus forte que notre peur. » Mais, un jour, la famille reçut une horrible nouvelle.
Zijn klaslokaal daverde soms bij het geluid van bommen en beschietingen, en zijn moeder vertelde me: “Dagelijks vroeg ik hem 's morgens 'Schat, alsjeblieft ga niet naar school.' Maar hij stond erop, zei ze, en dan omhelsde ik hem alsof het voor het laatst was.” Maar hij zei tegen zijn moeder: “We zijn allemaal bang, maar onze vastberadenheid om af te studeren is sterker dan onze angst.” Maar op een dag kreeg de familie vreselijk nieuws.
Je me
souviens avoir été effrayé et terrifié. Et Gene, qui est allongé sur le pla
ncher, dit, Ecoute, nous devons tremper des serviettes. J'ai dit: Quoi? Il dit: «Nous devons tremper des serviettes. la fumée va nous tuer. Alors nous avons couru à la salle de bain, pris des serviettes, et les avons mises sur nos visages, et sur les visages des enfants. Puis il a dit: tu as du ruban adhésif? J'ai dit: Quoi? Il a dit, tu as du ruban adhésif? J'ai dit, Ouais, quelque part dans ma malette. Il dit: Nous devons arrêter la fumée. Il a dit: C'e
...[+++]st tout ce que nous pouvons faire, nous devons arrêter la fumée. Je veux dire, Gene - merci Dieu pour Gene. Nous avons donc mis les menus du service de chambre sur les évents du mur, nous avons mis des couvertures au bas de la porte, nous avons mis les enfants sur le rebord de la fenêtre pour essayer de prendre de l'air,
Ik herinner me dat ik zo vreselijk bang was. Gene, die op de g
rond ligt, zegt: Man, we moeten handdoeken natmaken. Ik zeg: Wat? Handdoeken natmaken. We gaan dood aan die rook. Dus renden we naar de badkamer, pakten handdoeken, en hielden ze over onze gezichten en dat van de kinderen. Toen zei hij: Heb je stoftape? Ik zei: Wat? Hij zei: Stoftape (gaffertape)? Ik zei: Ja, ergens in mijn fotokoffer. Hij zegt: We moeten de rook tegenhouden. Hij zei: Dat is alles wat we kunnen doen. De rook tegenhouden. Ik bedoel, Gene -- God zij dank dat hij er was. Dus we plakken roomservice-menu's over de roosters in de muur, we leggen dekens voor de deur,
...[+++] we zetten de kinderen op de vensterbank om lucht te krijgen.Et j'appelle ça la sécurité de notre ville. La récession nous a ébranlé et effrayé, et il y a quelque chose dans l'air ces temps-ci qui est aussi très stimulant. Il s'agit d'une prise de conscience que nous sommes la clé de notre propre reprise. Il est maintenant temps pour nous d'agir dans nos propres communautés où nous pensons et nous agissons localement.
Ik noem het plaatselijke veiligheid. De recessie deed ons wankelen en vrezen, maar er hangt nu iets in de lucht dat zoveel kracht geeft. Het is het besef dat wij de sleutel zijn tot ons eigen herstel. Het is nu tijd voor ons om in onze gemeenschappen lokaal te denken en lokaal te handelen.
Soudainement, nous, humains, une espèce arrivée il y a peu, affranchis des contrôles et des équilibres inhérents à la nature, nous avons grandi en population, en technologie, et en intelligence jusqu'à une position de puissance terrifiante. Nous manions désormais le pinceau. » Nous sommes au pouvoir. C'est effrayant.
Plotseling is de mens (een recent verschenen soort die niet meer onderworpen is aan natuurlijk-evenwichtsrestricties) enorm gestegen in populatie, technologie en intelligentie naar een verschrikkelijke machtspositie: nu hanteren wij de verfkwast. Wij hebben het voor het zeggen. Dat is beangstigend.
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nous c'était effrayant ->
Date index: 2022-08-14