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Note: les traductions des vidéos ont été réalisées par des volontaires qui ne sont pas tous des traducteurs professionnels, elles pourraient donc contenir des erreurs. Ces textes sont cependant intéressants pour retrouver des expressions du langage parlé par exemple.
Vous pouvez aussi visualiser directement ces passionnantes vidéos avec les sous-titres dans la langue de votre choix !
Traduction de «laissez-moi faire » (Français → Néerlandais) :
Laissez-moi faire du porte-à-porte auprès de la communauté internationale et voir si quelqu'un veut bien me donner des policiers ou des soldats pour faire le tri.
Ik zal bij de internationale gemeenschap aankloppen en kijken of iemand mij troepen wil leveren om die scheiding uit te voeren.
Laissez-moi faire un dernier commentaire.
Nog een laatste commentaar.
Laissez-moi faire autre chose.
Ga iets anders doen.
J'ai une course à faire. Laissez-moi faire une parenthèse ici pour vous dire -- Esther, ma mère, ne conduit pas depuis plusieurs années, au soulagement collectif de toute la ville d'Atlanta.
Ik moet een boodschap doen. Hier een kleine terzijde om je te vertellen -- Esther, mijn moeder, is enkele jaren geleden gestopt met autorijden, tot collectieve opluchting van de hele stad Atlanta.
Allez voir votre traître de frère et laissez-moi faire ce que j'ai à faire.
Ga naar je broer, de verrader en laat mij dit regelen.
Ces deux mêmes groupes sont très affectés par un phénomène plus récent, mais laissez-moi faire une digression.
Dezelfde twee groepen zijn ook getroffen door een meer recent fenomeen, maar daar kom ik op terug.
C'est un universitaire futé qui nous joue un petit tour ici. Mais laissez-moi faire ceci.
Een slimme academicus haalt hier een beetje trucjes uit. Maar laat me dit doen.
Ce que j'essaie donc de vous montrer ici, ce sont les données d'une classe pilote à Los Altos, où ils ont pris deux classes de CM2 et deux classes de 4ème et ont complétement éventré leur vieux programme de maths. Ces enfants n'utilisent pas de manuels, ils ne reçoivent pas de cours à schéma unique. Ils travaillent avec la Khan Academy, ils utilisent ce logiciel, pour à peu près la moitié de leurs cours de maths. Je vous assure que nous ne voyons pas ça comme une formation complète en maths. Son intérêt est -- et c'est ce qui se passe à Los Altos -- de libérer du temps. Ça montre où sont les blocages et les facilités, ce qui rend sûr que vous maîtriser les systèmes d'équations, et ça libère du temps pour les simulations, les jeux, les mécan
...[+++]ismes, la construction de robots, pour estimer la hauteur d'une colline en se basant sur son ombre. L'idée est donc que l'enseignant entre dans la classe chaque jour, chaque élève travaille à son propre rythme -- et c'est un réel tableau de bord de l'école du district de Los Altos -- et ils observent ce tableau. Chaque ligne est un élève. Chaque colonne est un des concepts. Le vert indique que l'élève est déjà compétent. Le bleu indique qu'il travaille dessus -- pas besoin de s'inquiéter. Le rouge indique qu'il est bloqué. Ce que fait l'enseignant, c'est littéralement dire : « Laissez-moi intervenir sur ces enfants dans le rouge. » Ou encore mieux : « Laissez-moi prendre un des élèves dans le vert qui est déjà compétent dans ce concept pour en faire la première ligne offensive et devenir véritablement le tuteur de son camarade. » (Applaudissements) Je viens d'une réalité basée sur les données, donc nous ne voulons pas que l'enseignant intervienne en ayant à poser des questions bizarres : « Oh, qu'est-ce que tu ne comprends pas ? » ou « Qu'est-ce que tu comprends ? » et tout le reste. Donc notre idée est de vraiment munir les enseignants d'autant de données que possible -- de réelles données qui, dans presque tout autre domaine, so ...
Wat ik jullie hier toon, zijn gegevens van een pilootschool in het schooldistrict Los Altos. Ze namen twee klassen van de 10-jarigen en twee van 12-jarigen en beenden hun oude wiskundecurriculum helemaal uit. Deze kinderen gebruiken geen handboeken. Ze krijgen geen eenheidsworst -lessen. Ze doen Khan Academy. Ze gebruiken de software voor ongeveer de helft van de wiskundeles. Laat me duidelijk zijn: we zien dit niet als de volledige wiskundeles. Het effect hiervan is -- en dat gebeurt in Los Altos -- dat er tijd vrijkomt. Dit is blokkeren en aanpaken, zorgen dat je een stelsel van vergelijkingen kan afwerken. Dat maakt tijd vrij voor simulaties, games, mechanica, robots bouwen, schatten hoe hoog die heuvel is op basis van zijn schaduw. Het
...[+++]paradigma is dat de leerkracht elke dag binnenkomt, dat elk kind op zijn eigen tempo werkt -- en dit is een live dashboard van het schooldistrict Los Altos -- en dat ze dit dashboard bekijken. Elke rij is een student. Elke kolom is een van die concepten. Groen betekent dat de leerling het al onder de knie heeft. Blauw betekent dat ze eraan werken -- komt in orde. Rood betekent dat ze vastzitten. En wat de leraar doet is letterlijk alleen maar zeggen: Laat me ingrijpen op de rode kinderen. Of nog beter Laat me een van de groene kinderen roepen, die dat concept al onder de knie hebben, om de eerste aanvalslinie te vormen en hun klasgenoten te coachen. (Applaus) Ik kom uit een omgeving die erg op data is gericht. We willen niet dat de leerkracht tussenbeide moet komen en het kind rare vragen moet stellen, als: Dus wat begrijp je niet? of Wat begrijp je wel? enzovoort. Ons paradigma is dat we de leerkrachten met zoveel mogelijk gegevens wapenen. Echte gegevens, zoals dat in ongeveer elk ander domein wordt verwacht, of het nu financiën, marketing of productie is. De leerkrachten kunnen vaststellen wat er fout gaat met de leerlingen. Zo kunnen ze hun interactie zo productief mogelijk maken.Et voici la biologie - la biologie, avec sa question fondamentale, qui est encore sans réponse, qui est essentiellement: Si il y a une vie sur d'autres planètes, devons-nous nous attendre à ce qu'elle ressemble à l
a vie sur Terre? Et laissez-moi vous dire tout de suite ici, quand je dis vie, je ne veux pas dire «dolce vita», la belle vie, la vie humaine. Je veux dire la vie sur Terre, passé et présent, des microbes à nous les humains dans sa riche diversité moléculaire la façon dont nous comprenons maintenant la vie sur Terre comme un ensemble de molécules et de réactions chimiques - et nous appelons ça , collectivement, la biochimie, la
...[+++] vie en tant que processus chimique, en tant que phénomène chimique. La question est donc: est-ce un phénomène chimique universel, ou est-ce quelque chose qui dépend de la planète? Est-ce comme la gravité, qui est la même partout dans l'univers, ou il y aurait toutes sortes de différentes biochimies partout où nous les trouverons? Nous avons besoin de savoir ce que nous recherchons lorsque nous essayons de faire cela. Et c'est une question fondamentale, dont nous ne connaissons pas la réponse, mais nous pouvons essayer - et nous essayons - d'y répondre en laboratoire. Nous n'avons pas besoin d'aller dans l'espace pour répondre à cette question. Et oui, c'est ce que nous essayons de faire. Et c'est ce que beaucoup de gens maintenant essayent de faire.
En hier komt de biologie op de proppen- biologie, met zijn fundamentele vraag, die nog steeds onbeantwoord is, en die in wezen is: Als er leven is op andere planeten, we verwachten dan dat he
t net als het leven op aarde zal zijn? En laat ik u meteen even vertellen, als ik zeg het leven, ik bedoel niet dolce vita het goede leven, het menselijk leven. Ik bedoel het leven zoals het was en is op aarde, van microben tot mensen in zijn rijke moleculaire diversiteit de manier waarop we nu leven op aarde begrijpen als een verzameling van moleculen en chemische reacties - en dat noemen we biochemie, leven als een chemisch proces, als een chemisch
...[+++] fenomeen. De vraag is dus: is dat chemische verschijnsel universeel, of is het iets dat afhankelijk is van de planeet? Is het zoals de zwaartekracht, die overal dezelfde is in de kosmos, of zouden er allerlei verschillende soorten biochemie zijn waar we ze ook vinden? Wij moeten weten wat we zoeken wanneer wij dat proberen te doen. En dat is een heel fundamentele vraag waar we het antwoord niet op weten, maar die we kunnen proberen - en we proberen - te beantwoorden in het lab. We hoeven niet de ruimte in om deze vraag te beantwoorden. Dat is wat wij proberen te doen. En dat is wat veel mensen nu proberen te doen.On le trouve aussi bien sur la côte est que la côte ouest, et les symboles sont souvent très bien conservés, chacun de ces symboles a quatre bits -- c'est un mot binaire à quatre bits -- on dessine aléatoirement ces lignes dans le sable, et ensuite on les compte, si le nombre est impair, on fait une marque, et s'il est pair, on en fait deux, Et ils le faisaient très rapidement, et je ne comprenais pas ce
qu'ils voulaient en faire -- ils ne dessinaient les lignes aléatoires que quatre fois -- Je ne comprenais pas comment ils obtenaient les 12 autres symboles. Et ils ne voulaient pas me le dire. « Non, non. Je ne peux pas vous en parler »,
...[+++] disaient-ils. Et moi de répondre : « Bon, je vous paierai, vous serez mon professeur, et je viendrai chaque jour et je vous paierai. » « Ce n'est pas une histoire d'argent. C'est une histoire de religion », disaient-ils. Et finalement, désespéré, j'ai dit : « Laissez-moi vous expliquer Georg Cantor en 1877. » Et j'ai commencé à leur expliquer pourquoi j'étais en Afrique, et ils devinrent très excités quand ils virent l'ensemble de Cantor. L'un d'eux a dit : « Venez. Je pense que je peux vous aider. » Et donc il me fit passer le rituel initiatique des prêtres bamanas.
Je vindt het op de Oostkust en op de Westkust, en de symbolen zijn vaak goed bewaard, ze hebben elk vier bits -- het is een binair woord van vier bits -- je trekt deze lijnen willekeurig in het zand, en telt dan terug. Is het oneven, dan trek je één lijn, is het even, dan trek je twee lijnen. Ze deden dit heel snel en ik snapte niet waar ze heengingen -- ze deden het willekeurige stuk maar vier keer -- ik snapte niet waar de andere 12 symbolen vandaan kwamen. Ze wilden het me niet zeggen. Ze zeiden: Nee, nee, ik kan het je niet vertellen. Ik zei: Kijk, ik betaal je, je kan mijn leraar zijn en ik zal je elke dag komen betalen. Ze zeiden: Het is geen kwestie van geld. Het is een kwestie van religie. Ten einde raad zei
ik: Laat m ...[+++]e jullie Georg Cantor in 1877 uitleggen. Ik begon uit te leggen waarom ik in Afrika was, en ze werden opgewonden toen ze de Cantorverzameling zagen. Eén van hen zei: Kom hier, ik denk dat ik je kan helpen. Hij leidde me door het initiatieritueel van een Bamanapriester. datacenter (12): www.wordscope.be (v4.0.br)
laissez-moi faire ->
Date index: 2024-02-24