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Note: les traductions des vidéos ont été réalisées par des volontaires qui ne sont pas tous des traducteurs professionnels, elles pourraient donc contenir des erreurs. Ces textes sont cependant intéressants pour retrouver des expressions du langage parlé par exemple.
Vous pouvez aussi visualiser directement ces passionnantes vidéos avec les sous-titres dans la langue de votre choix !
Traduction de «l'école verte son école hors » (Français → Néerlandais) :
Rejoignez John Hardy dans sa visite de l'école verte, son école hors norme à Bali qui apprend aux enfants comment construire, jardiner, créer (et aller à la fac). La pièce centrale du campus est le cœur de l'école en forme de spirale, et certainement le plus grand édifice bâti en Bambou.
Ga mee met John Hardy op een ronde door de Groene School, zijn school in Bali waar kinderen leren te bouwen, tuinieren, creëren (en op de universiteit te komen). Het middelpunt van de campus is het spiraalvormige Hart van School, misschien wel het grootste vrijstaande bamboegebouw te wereld.
Elle m'a dit que les femmes géraient des écoles souterraines dans ses communautés en Afghanistan et que son organisation, l'Institut Afghan d'Apprentissage, avait créé une école au Pakistan.
Ze vertelde me dat vrouwen ondergronds scholen runden in haar gemeenschappen in Afghanistan en dat haar organisatie, het Afghan Institute for Learning gestart was met een school in Pakistan.
Ce que j'essaie donc de v
ous montrer ici, ce sont les données d'une classe pilote à Los Altos, où ils ont pris deux classes de CM2 et deux classes de 4ème et ont complétement éventré leur vieux programme de maths. Ces enfants n'utilisent pas de manuels, ils
ne reçoivent pas de cours à schéma unique. Ils travaillent avec la Khan Academy, ils utilisent ce logiciel, pour à peu près la moitié de leurs cours de maths. Je vous assure que nous ne voyons pas ça comme une formation complète en maths. Son intérêt est -- et c'est ce qui se passe
...[+++] à Los Altos -- de libérer du temps. Ça montre où sont les blocages et les facilités, ce qui rend sûr que vous maîtriser les systèmes d'équations, et ça libère du temps pour les simulations, les jeux, les mécanismes, la construction de robots, pour estimer la hauteur d'une colline en se basant sur son ombre. L'idée est donc que l'enseignant entre dans la classe chaque jour, chaque élève travaille à son propre rythme -- et c'est un réel tableau de bord de l'école du district de Los Altos -- et ils observent ce tableau. Chaque ligne est un élève. Chaque colonne est un des concepts. Le vert indique que l'élève est déjà compétent. Le bleu indique qu'il travaille dessus -- pas besoin de s'inquiéter. Le rouge indique qu'il est bloqué. Ce que fait l'enseignant, c'est littéralement dire : « Laissez-moi intervenir sur ces enfants dans le rouge. » Ou encore mieux : « Laissez-moi prendre un des élèves dans le vert qui est déjà compétent dans ce concept pour en faire la première ligne offensive et devenir véritablement le tuteur de son camarade. » (Applaudissements) Je viens d'une réalité basée sur les données, donc nous ne voulons pas que l'enseignant intervienne en ayant à poser des questions bizarres : « Oh, qu'est-ce que tu ne comprends pas ? » ou « Qu'est-ce que tu comprends ? » et tout le reste. Donc notre idée est de vraiment munir les enseignants d'autant de données que possible -- de réelles données qui, dans presque tout autre domaine, so ...
W
at ik jullie hier toon, zijn gegevens van een pilootschool in het schooldistrict Los Altos. Ze namen twee klassen van de 10-jarigen en twee van 12-jarigen en beenden hun oude wiskundecurriculum helemaal uit. Deze kinderen gebruiken geen handboeken. Ze krijgen geen eenheidsworst -lessen. Ze doen Khan Academy. Ze gebruiken de software voor ongeveer de helft van de wiskundeles. Laat me duidelijk zijn: we zien dit niet als de volledige wiskundeles. Het effect hiervan is -- en dat gebeurt in Los Altos -- dat er tijd vrijkomt. Dit is blokkeren en aanpaken, zorgen dat je een stelsel van vergelijkingen kan afwerken. Dat maakt tijd vrij voor sim
...[+++]ulaties, games, mechanica, robots bouwen, schatten hoe hoog die heuvel is op basis van zijn schaduw. Het paradigma is dat de leerkracht elke dag binnenkomt, dat elk kind op zijn eigen tempo werkt -- en dit is een live dashboard van het schooldistrict Los Altos -- en dat ze dit dashboard bekijken. Elke rij is een student. Elke kolom is een van die concepten. Groen betekent dat de leerling het al onder de knie heeft. Blauw betekent dat ze eraan werken -- komt in orde. Rood betekent dat ze vastzitten. En wat de leraar doet is letterlijk alleen maar zeggen: Laat me ingrijpen op de rode kinderen. Of nog beter Laat me een van de groene kinderen roepen, die dat concept al onder de knie hebben, om de eerste aanvalslinie te vormen en hun klasgenoten te coachen. (Applaus) Ik kom uit een omgeving die erg op data is gericht. We willen niet dat de leerkracht tussenbeide moet komen en het kind rare vragen moet stellen, als: Dus wat begrijp je niet? of Wat begrijp je wel? enzovoort. Ons paradigma is dat we de leerkrachten met zoveel mogelijk gegevens wapenen. Echte gegevens, zoals dat in ongeveer elk ander domein wordt verwacht, of het nu financiën, marketing of productie is. De leerkrachten kunnen vaststellen wat er fout gaat met de leerlingen. Zo kunnen ze hun interactie zo productief mogelijk maken.Imaginez un pays où les filles doivent se fa
ufiler discrètement hors de chez elles pour aller à l'école, au péril de leur vi
e si elles se font prendre en train d'étudier. C'était ça l'Afghanistan sous le régime Ta
liban, et ce danger persiste encore pour une part aujourd'hui. Shabana Basij-Rasikh dirige à 22 ans une école pour filles en Afghanistan.
...[+++]Elle célèbre ici la force d'une décision familiale et de la foi des membres d'une famille en ses filles - et elle nous raconte l'histoire du courage d'un père qui a tenu tête malgré les menaces de mort qu'il a reçues. (Filmé dans le cadre de TEDxWomen)
Stel je een land voor waar meisjes naar school moeten sluipen met dodelijke gevolgen als ze gepakt worden. Dit was Afghanistan onder de Taliban en sporen van dat gevaar bestaan nog steeds vandaag de dag. De 22-jarige Shabana Basij-Rasikh runt een school voor meisjes in Afghanistan. Ze looft de kracht van een familie om te geloven in hun dochters - en vertelt het verhaal van een dappere vader die daarvoor opkwam, tegen de lokale bedreigingen in. (Gefilmd op TEDxWomen)
L'une d'elle a fini chez les pare
nts de Béatrice. Et cette chèvre a eu des jumeaux. Les jumeaux ont commencé à produire du lait. Ils ont vendu du lait pour de l'argent. L'argent a commencé à s'accumuler, et bientôt les parents ont dit, «Vous savez, nous avons assez d'argent. En
voyons Béatrice à l'école. Ainsi, à neuf ans, Béa
trice a commencé en cours préparatoire - après tout, elle n'avait jamais été à l'école - avec les enfants de
...[+++] six ans. Peu importe, elle était ravie d'être à l'école. Elle s'est retrouvée immédiatement tête de classe. Elle est restée en tête de sa classe de l'école élémentaire, en passant par le collège, puis au lycée, elle a obtenu brillamment les examens nationaux, de sorte qu'elle est devenue la première personne dans son village, à jamais venir aux États-Unis avec une bourse d'études. Il y a 2 ans. elle a obtenu son diplôme de l'université du Connecticut.
Eén ervan kwam terecht bij de ouders van Beatrice. Die geit kreeg een tweeling. De tweeling begon melk te produceren. Ze verkochten de melk voor cash. De cashvoorraad werd groter, en al snel zeiden de ouders: Weet je, we hebben genoeg geld. Laten we Beatrice naar sch
ool sturen. En dus, toen ze negen jaar was, star
tte Beatrice in het eerste leerjaar -- ze had immers nooit school gelopen -- samen met een zesjarige. Dat maakte niet uit, ze was in de wolken dat ze op school was. Ze steeg pijlsnel naar de top van de klas. Ze bleef aan de t
...[+++]op van de klas tijdens de lagere school, de middenschool, en in het secundair onderwijs. Ze haalde een briljante score op de nationale examens, zodat ze de eerste persoon van haar dorp werd die ooit naar de Verenigde Staten kwam met een studiebeurs. Twee jaar geleden studeerde ze af aan Connecticut College.Il m'a invite dans son bureau et m'a demandee Tu veux faire quoi toi plus tard? Je veux etre un avocat Et il m'a dit mais
pourquoi? On a pas besoin d'autre avocats aux USA Et il a essaye de me convaincre du contraire Mais finalement a dit ok, j'y connais r
ien pour rentrer en ecole de droit Je suis docteur es Sciences Politiques Mais tu sais quoi, trouve ce dont tu as besoin comment est-ce que je peux t'aider Il m'a demande a quelle ecole je voulais aller Et moi a l'epoque - J'etais a University of Pittsburgh - l'universite c'e
tait le pa ...[+++]radis sur terre compare a ce que j'aurais pu avoir au Kenya Donc je me dis ben je vais postuler a l'universite de Pittsburgh pour le droit Et il me demande pourquoi, tu sais t'es brillante tout ca fonctionne bien pour toi, tu peux faire ce que tu veux Et je lui ai dis ben c'est ici, c'est pas cher et puis j'aime bien Pittsburgh Enfin un peu la raison la plus stupide jamais entendue pour choisir une ecole Donc il m'a prise sous son aile, il m'a encouragee
Hij riep me en vroeg: Wat wil je later worden? Ik zei: Advocaat. Hij zei: We hebben genoeg advocaten in de VS. Hij zei: We hebben genoeg advocaten in de VS. Hij probeerde mij van gedachten te veranderen. Hij wist niets over de inschrijving voor een rechtenstudie, hij is Dr. in staatswetenschappen. Maar hij wilde mij helpen. Maar hij wilde mij helpen. Waar wil je studeren? Ik volgde een bacheloropleiding aan de Universiteit in Pittsburgh. Ik volgde een bacheloropleiding aan de Universitei
t in Pittsburgh. Ik vond de universiteit hemels, vergeleken met Kenia. Ik zei: Ik ga m'n doctoraal rechten hier in Pittsburgh doen. Hij zei: Wat? Je bent
...[+++] zo slim, jij kan meer bereiken. Ik zei: Ik ben hier, het is goedkoop en ik vind het leuk in Pittsburgh. De domste reden die ik ooit hoorde, voor waar je gaat studeren. Hij nam me onder zijn vleugels, en stimuleerde mij.Elle a 19 ans, son rêve est d'aller à la fac pour être en mesure de les faire vivre. Elle est très athlétique. Il se passe une chose : elle fait une demande de bourse, une bourse d'études complète. Elle l'obtient. Son rêve d'aller à l'école, son désir d'être instruite, est enfin là. Elle va à l'école le premier jour.
Ze is 19. Haar droom is naar de universiteit te gaan om hen te kunnen onderhouden. Ze is zeer atletisch. Een van de dingen die gebeuren, is dat zij een studiebeurs aanvraagt. Een sport-studiebeurs. Die krijgt ze. Haar droom van naar school gaan en een opleiding krijgen, is eindelijk daar. Ze gaat naar school op de eerste dag.
L'idée d'un nouveau genre d'école, qui bouscule beaucoup de la conception conventionnelle que nous avons de la raison d'être de l'école et de son fonctionnement.
Het is een idee voor een nieuw type school, dat een hoop van onze conventionele ideeën over de functie en werking van scholen, volledig overhoop gooit.
Au lieu de ça, il y a eu une litanie d'optimisme ahurissant. À partir de 2004, chaque général est arrivé en disant : « J'ai hérité d'une situation lamentable, mais j'ai enfin les ressources et la stratégie adéqu
ates, qui feront de cette année, selon les termes du général Barno en 2004, « l'année décisive ». Eh bien devinez quoi? Ça n'est pas arrivé. Mais ça n'a pas empêché le général Abuzaid de dire qu'il avait la stratégie et les ressources pour livrer, en 2005, « l'année décisive ». Ou encore le général David Richards d'arriver en 2006 et de dire qu'il avait la stratégie et les ressources pour offrir « l'année écrasante ». Ou, en 2007,
...[+++] l'adjoint du Ministre des affaires étrangères norvégien, Espen Eide, de dire qu'il allait apporter « l'année décisive ». Ou, en 2008, le major-général Champoux d'arriver et de dire qu'il allait fournir « l'année décisive ». Ou, en 2009, mon grand ami, le général Stanley McChrystal, de dire qu'il était « en plein dans l'année décisive ». Ou, en 2010, le Ministre des affaires étrangères britannique, David Miliband, de dire que nous allions enfin obtenir « l'année décisive ». Et vous serez ravis d'entendre qu'en 2011, aujourd'hui, Guido Westerwelle, le Ministre des affaires étrangères allemand, nous garantit que nous sommes dans « l'année décisive ». (Applaudissements) Pourquoi laissons-nous tout ceci se produire ? Eh bien la réponse est, bien sûr, que si vous dépensez 125 ou 130 milliards de dollars par an dans un pays, vous vous mettez dans la poche presque tout le monde, même les organisations humanitaires, qui commencent à recevoir d'énormes quantités d'argent des gouvernements américain et européens pour construire des écoles et des cliniques, sont peu disposées à récuser l'idée que l'Afghanistan est une menace existentielle pour la sécurité mondiale. Elles sont inquiètes, en d'autres termes, que si quelqu'un pense que ce n'est pas une telle menace, Oxfam, Save the Children, ne recevront pas l'argent pour construire leurs hôpitaux ...
In plaats daarvan was er een litanie van verbijsterend optimisme. Beginnend in 2004 kwam elke generaal binnen en zei, Ik heb een ellendige situatie geërfd, maar eindelijk heb ik de juiste middelen en strategie, die zullen zorgen voor , in generaal Barno's woorden in 2004, het beslissende jaar . Raad eens? Dat was het geenszins. Maar dat belette generaal Abuzaid niet te zeggen dat hij de strategie en middelen had om in 2005 te zorgen voor het beslissende jaar . Of generaal David Richards die in 2006 zei dat hij de strategie en de middelen had om te zorgen voor het kanteljaar . Of in 2007, Espen Eide, de Noorse staatssecretaris Buitenlandse Zaken, die zei dat hij zou zorgen voor het beslissende jaar . Of in 2008, generaal-majoor Champoux die
...[+++]binnenkwam en zei dat hij zou zorgen voor het beslissende jaar Of in 2009, mijn grote vriend, generaal Stanley McChrystal, die zei dat hij tot zijn knieën in het beslissende jaar stond. Of in 2010, David Miliband, de Britse minister van Buitenlandse Zaken, die zei dat hij eindelijk zou gaan zorgen voor het beslissende jaar . En jullie zullen blij zijn te horen, nu in 2011, dat Guido Westerwelle, de Duitse minister van Buitenlandse Zaken, ons verzekert dat we aanbeland zijn in het beslissende jaar . (Applaus) Hoe kan het dat we dit allemaal laten gebeuren? Het antwoord is uiteraard dat als je 125 miljard of 130 miljard dollar per jaar uitgeeft in een land, je bijna iedereen erbij betrekt. Zelfs de hulpverleningsorganisaties -- die dan enorme hoeveelheden geld krijgen van de Amerikaanse en Europese overheden om scholen en hospitalen te bouwen -- zijn niet echt bereid om tegen te spreken dat Afghanistan een existentieel gevaar vormt voor de internationale veiligheid. Ze vrezen met andere woorden, dat als mensen geloven dat het niet zo'n probleem is -- Oxfam, Save the children -- geen geld zouden krijgen om hun scholen en hospitalen te bouwen. Ook is het erg moeilijk om een generaal met medailles op zijn borst, tegen te spreken. Het i ...Stacy fait de son mieux, mais elle est aussi de la troisième génération; on ne lui a jamais appris à cuisiner à la maison ou à l’école. La famille est obèse. Là c’est Justin, il a 12 ans. Il pèse 160 kilos. On le tyranise à l’école, bon sang.
Stacy doet haar best, maar ze is ook een derde-generatie. Er is haar nooit geleerd te koken thuis of op school. De familie is zwaarlijvig. Justin, hier, 12 jaar oud. Hij weegt 158 kilogram. Hij wordt gepest, in Godsnaam.
datacenter (12): www.wordscope.be (v4.0.br)
l'école verte son école hors ->
Date index: 2023-01-30