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Note: les traductions des vidéos ont été réalisées par des volontaires qui ne sont pas tous des traducteurs professionnels, elles pourraient donc contenir des erreurs. Ces textes sont cependant intéressants pour retrouver des expressions du langage parlé par exemple.
Vous pouvez aussi visualiser directement ces passionnantes vidéos avec les sous-titres dans la langue de votre choix !
Traduction de «l'école très » (Français → Néerlandais) :
J’ai été dans cette école très chrétienne, instruit par des bonnes sœurs, des pères, des frères, des sœurs.
Ik ging naar een keurige christelijke school met nonnen, paters, broeders, zusters.
Une fois, ils ont surpris un fan chez lui, et ils ont aidé dans la cuisine, ils ont aidé à faire la vaisselle, et ont aussi aidé les enfants à se préparer pour l'école, très spontanément.
Ze hielpen in de keuken, ze deden de afwas en hielpen spontaan met het huiswerk.
Sa mère est morte en lui donnant naissance, et personne n'avait la moindre idée de qui était son père. Pendant deux semaines, elle est devenue ma compagne, elle dormait avec moi. Je lui ai acheté des vêtements d'occasion et lui a acheté sa première poupée. La nuit avant mon départ, elle est venue dans la chambre et a dit: «Leymah, ne me laisse pas ici. Je veux venir avec toi. Je souhaite aller à l'école. Très pauvre, pas d'argent, vivant avec mes parents, J'ai de nouveau répondu: «Non» Deux mois plus tard, ces deux villages sont tombés dans une autre guerre.
Haar moeder stierf toen ze haar baarde, en niemand wist wie haar vader was. Twee weken lang was ze mijn gezelschap, sliep bij me. Ik kocht tweedehands kleren en een pop voor haar. De avond voordat ik vertrok, kwam ze de kamer binnen en zei: Leymah, laat me hier niet achter. Ik wil met je meegaan. Ik wil naar school gaan. Ik was straatarm, had geen geld, woonde bij mijn ouders. Ik zei weer : Nee. Twee maanden later bevonden beide dorpen zich in een nieuwe oorlog.
Et c'est important de reconnaitre que les femmes ont toujour
s besoin d'aide à l'école, que les salaires sont toujours significativement inférieurs, même lorsque cela est contrôlé, et que les filles n'ont pas arrêté de lutter en maths et en sciences pendant des années. Tout cela est vrai. Rien de cela nous dispense de faire attention aux besoins de l'alphabétisation de nos garçons entre trois et 13 ans. Et alors nous devrions le faire. En fait, ce qu'on devrait faire c'est prendre une page de leur programme, parce que les initiatives et programmes qui ont été mis en place pour les femmes en sciences, ingénierie et mathématiques sont fantasti
ques. Elle ...[+++]s ont été très efficaces pour les filles dans ce genre de situations. Et nous devons penser à la façon qui nous permettrait de faire la même chose pour les garçons en jeune âge. Même chez ceux plus âgés, on se rend compte qu'il y a toujours un problème. Quand on observe les universités, 60 pour cent des licences sont attribuées aux femmes de nos jours, ce qui représente un changement conséquent. Et en fait, l'administration au sein de l'université n'est pas très à l'aise à l'idée de savoir que nous approchons des 70 pour cent de population féminine dans les universités. Cela rend l'administration universitaire très nerveuse, parce que les filles ne veulent pas fréquenter des écoles où il n'y a pas de garçons.
En het is belangrijk dat we erkennen dat vrouwen no
g steeds hulp nodig hebben op school, dat salarissen nog steeds een stuk lager zijn, zelfs als ze gecorrigeerd worden naar het soort baan, en dat meisjes al jaren blijven worstelen met wiskunde en wetenschap. Dat klopt allemaal. Niets daarvan weerhoudt ons om aandacht te schenken aan de geletterdheid van onze jongens tussen drie en 13 jaar. Dat moeten we dus doen. Wat we in feite zouden moeten doen is een pagina te nemen uit hun draaiboek, want de initiatieven en programma's die opgestart zijn voor vrouwen in wetenschap en techniek en wiskunde zijn fantastisch. Die hebben veel goeds geda
...[+++]an voor meisjes in die situatie. En we moeten nadenken over hoe we dat ook voor jongens voor elkaar krijgen in hun jonge jaren. Zelfs als ze ouder zijn, zien we dat er nog steeds een probleem bestaat. Als we kijken naar de universiteiten gaan 60 procent van de bachelordiploma's nu naar vrouwen , wat een veelzeggende verschuiving is. In feite voelen universiteitsbestuurders zich wat ongemakkelijk bij het idee dat we dichtbij de 70 procent vrouwen op universiteiten komen. Dat maakt universiteitsbestuurders erg zenuwachtig, want meisjes willen niet naar scholen waar geen jongens zijn.Ils ont l'habitude de se voir comme des soutiens de famille, et ils ont l'air d'être incapables de construire les réseaux sociaux qui leur permettraient d'intégrer l'enseignement supérieur. Pour une raison mystérieuse, les hommes n'arrivent pas à reprendre des études. Et ce qui est encore plus ennuyeux, c'est ce qui se passe avec les jeunes garçons. Cela fait environ une dizaine d'années que l'on fait des recherches sur ce que certains appellent la crise des garçons. La crise des garçons, c
'est l'idée que les très jeunes garçons, sans que l'on sache pourquoi, réussis
sent moins bien à l'école ...[+++] que les très jeunes filles. Il y a des théories à ce sujet. Est-ce parce que l'enseignement est trop verbal, et que les petites filles sont plus douées dans ce domaine que les petits garçons ? Ou bien est-ce que l'on demande trop aux enfants de rester assis sans bouger, ce qui place les garçons en situation d'échec dès le départ ? Certains disent que c'est parce que les garçons commencent à abandonner l'école dès la 4ème. Je suis en train d'écrire un livre à ce sujet, je fais encore des recherches, alors je n'ai pas la réponse. Mais en attendant, je vais faire appel à un expert international en éducation, ma fille de 10 ans, Noah, pour vous parler de la raison pour laquelle les garçons de sa classe réussissent moins bien.
Vroeger zagen ze zichzelf als kostwinners, maar nu lijken ze niet in staat de sociale netwerken op te bouwen die ze zouden helpen hun studie af te maken. Om een of andere reden gaan mannen simpelweg niet terug naar school. Wat nog veel verontrustender is, is wat er speelt onder jonge jongens. We hebben ongeveer tien jaar aan onderzoek over wat men wel de 'jongenscrisis' noemt. Die jongenscrisis is het idee dat zeer jonge jongens, om wat voor reden dan ook, het slechter doen op school dan
zeer jonge meisjes. Mensen hebben daar theorieën over. Komt het doordat de lessen teveel op taal zijn gericht, en dat meisjes daar beter in zijn dan jon
...[+++]getjes? Of gaan we te ver in onze eis dat kinderen stil moeten zitten, zodat jongetjes zich vanaf het begin mislukt voelen? Sommigen zeggen dat het komt doordat jongens in de tweede klas schoolverlaters worden. Omdat ik bezig ben met een boek over dit onderwerp, doe ik nog onderzoek, dus ik heb geen antwoord klaar. Maar ondertussen ga ik een beroep doen op een wereldwijde onderwijsspecialist, namelijk mijn tienjarige dochter Noah, om jullie te vertellen waarom de jongens in haar klas het slechter doen.Au lieu de ça, il y a eu une litanie d'optimisme ahurissant. À partir de 2004, chaque général est arrivé en disant : « J'ai hérité d'une situation lamentable, mais j'ai enfin les ressources et la stratégie adéquates, qui feront de cet
te année, selon les termes du général Barno en 2004, « l'année décisive ». Eh bien devinez quoi? Ça n'est pas arrivé. Mais ça n'a pas empêché le général Abuzaid de dire qu'il avait la stratégie et les ressources pour livrer, en 2005, « l'année décisive ». Ou encore le général David Richards d'arriver en 2006 et de dire qu'il avait la stratégie et les ressources pour offrir « l'année écrasante ». Ou, en 2007,
...[+++] l'adjoint du Ministre des affaires étrangères norvégien, Espen Eide, de dire qu'il allait apporter « l'année décisive ». Ou, en 2008, le major-général Champoux d'arriver et de dire qu'il allait fournir « l'année décisive ». Ou, en 2009, mon grand ami, le général Stanley McChrystal, de dire qu'il était « en plein dans l'année décisive ». Ou, en 2010, le Ministre des affaires étrangères britannique, David Miliband, de dire que nous allions enfin obtenir « l'année décisive ». Et vous serez ravis d'entendre qu'en 2011, aujourd'hui, Guido Westerwelle, le Ministre des affaires étrangères allemand, nous garantit que nous sommes dans « l'année décisive ». (Applaudissements) Pourquoi laissons-nous tout ceci se produire ? Eh bien la réponse est, bien sûr, que si vous dépensez 125 ou 130 milliards de dollars par an dans un pays, vous vous mettez dans la poche presque tout le monde, même les organisations humanitaires, qui commencent à recevoir d'énormes quantités d'argent des gouvernements américain et européens pour construire des écoles et des cliniques, sont peu disposées à récuser l'idée que l'Afghanistan est une menace existentielle pour la sécurité mondiale. Elles sont inquiètes, en d'autres termes, que si quelqu'un pense que ce n'est pas une telle menace, Oxfam, Save the Children, ne recevront pas l'argent pour construire leurs hôpitaux ...
In plaats daarvan was er een litanie van verbijsterend optimisme. Beginnend in 2004 kwam elke generaal binnen en zei, Ik heb een ellendige situatie geërfd, maar eindelijk heb ik de juiste middelen en strategie, die zullen zorgen voor , in generaal Barno's woorden in 2004, het beslissende jaar . Raad eens? Dat was het geenszins. Maar dat belette generaal Abuzaid niet te zeggen dat hij de strategie en middelen had om in 2005 te zorgen voor het beslissende jaar . Of generaal David Richards die in 2006 zei dat hij de strategie en de middelen had om te zorgen voor het kanteljaar . Of in 2007, Espen Eide, de Noorse staatssecretaris Buitenlandse Zaken, die zei dat hij zou zorgen voor het beslissende jaar . Of in 2008, generaal-majoor Champoux die
...[+++]binnenkwam en zei dat hij zou zorgen voor het beslissende jaar Of in 2009, mijn grote vriend, generaal Stanley McChrystal, die zei dat hij tot zijn knieën in het beslissende jaar stond. Of in 2010, David Miliband, de Britse minister van Buitenlandse Zaken, die zei dat hij eindelijk zou gaan zorgen voor het beslissende jaar . En jullie zullen blij zijn te horen, nu in 2011, dat Guido Westerwelle, de Duitse minister van Buitenlandse Zaken, ons verzekert dat we aanbeland zijn in het beslissende jaar . (Applaus) Hoe kan het dat we dit allemaal laten gebeuren? Het antwoord is uiteraard dat als je 125 miljard of 130 miljard dollar per jaar uitgeeft in een land, je bijna iedereen erbij betrekt. Zelfs de hulpverleningsorganisaties -- die dan enorme hoeveelheden geld krijgen van de Amerikaanse en Europese overheden om scholen en hospitalen te bouwen -- zijn niet echt bereid om tegen te spreken dat Afghanistan een existentieel gevaar vormt voor de internationale veiligheid. Ze vrezen met andere woorden, dat als mensen geloven dat het niet zo'n probleem is -- Oxfam, Save the children -- geen geld zouden krijgen om hun scholen en hospitalen te bouwen. Ook is het erg moeilijk om een generaal met medailles op zijn borst, tegen te spreken. Het i ...Ils ont certaines caractéristiques
communes. Ils sont très personnalisés. Ils proposent un soutien très important aux enseignants, des liens étroits avec la communauté et un programme vaste et diversifié, et souvent des programmes qui impliquent les él
èves en dehors de l'école aussi bien qu’à l'intérieur de l'école. Et ces programmes fonctionnent. Ce qui m’intéresse, c’est pourquoi on les appelle «éducation alternative». Vous le savez, vous ? Et toutes les preuves partout dans le monde sont que, si on faisait tous ça, il n'y aurait pa
...[+++]s besoin d’éducation alternative.
Ze hebben gemeenschappelijke kenmerken. Ze zijn geïndividualiseerd. Ze bieden veel steun aan leerkrachten, hechte banden met de gemeenschap, een breed, divers leerplan, en vaak programma's waarbij scholieren betrokken worden zowel buiten als binnen school. En het werkt. Wat ik interessant vind, is dat dit 'alternatief onderwijs' wordt genoemd. Weet je wel? Wereldwijd zien we het bewijs dat er, als we dat allemaal deden, geen behoefte zou zijn aan het alternatief.
Il s'avère que Dai Manju était la meilleure élève de sa classe. Elle continuait encore à faire le trajet de deux he
ures pour aller à l'école et essayait d'attraper toutes les bribes d'informations qui filtraient par les portes. Nous avons écrit à son sujet dans le New York Times. Nous avons reçu un déluge de dons - surtout des chèques de 13 dollars, parce que les lecteurs du
New York Times sont très généreux en très petites quantités. (Rires) Mais alors, nous avons reçu un transfert d'argent de 10 000 dollars - un vrai chic type. Nous
...[+++] avons confié l'argent à cet homme-là, le directeur de l'école.
Maar Dai Manju was de beste leerlinge van haar klas. Ze maakte nog steeds de tocht van twee uur naar het schoolhuis en probeerde elk stukje informatie te pakken te krijgen dat door de deuren sijpelde. We schreven over haar in de New York Times. We kregen een stortvloed aan schenkingen, vooral cheques van 13 dollar, want lezers van de New York Times zijn heel gul met kleine bedragen. (Gelach) Maar toen kregen we een overschrijving van 10.000 dollar -- echt een leuke kerel. We gaven het geld aan die man daar, het schoolhoofd.
I
l y a une école étonnante dans le nord du Queensland appelée Jaringan. Et elles ont tous le même genre de fonctionnalités, hautem
ent collaboratives, très personnalisées, une technologie souvent omniprésente. L'apprentissage qui commence à partir de questions et des problèmes et des projets, pas de la connaissance et du programme. Alors nous avons certainement besoin de plus de cela. Mais parce que beaucoup des problèmes dans l'éducation ne sont pas seulement à l'école, ils sont en famille et dans la communauté, ce que qu'il vous faut aussi, certainement,
...[+++] est plus sur le côté droit. Vous avez besoin d'efforts visant à compléter les écoles.
Er is een verbazingwekkende school in Noord Queensland genaamd Jaringan. Ze hebben allemaal dezelfde soort kenmerken: zeer op samenwerken gericht, zeer gepersonaliseerd, met vaak doordringende technologie. Het leren start vanuit vragen en problemen en projecten, niet vanuit kennis en een curriculum. Daar hebben we dus zeker meer van nodig. Omdat zovele van de knelpunten in het onderwijs niet alleen met de school te maken hebben maar met de familie en de gemeenschap heb je met zekerheid ook meer van de rechterkant nodig. Je hebt inspanningen nodig om scholen aan te vullen.
Les systèmes très performants ont aidé les enseignants et les directeurs d'écoles à considérer l'enseignant voisin, l'école voisine.
De hoogpresterende systemen hebben leraren en schoolhoofden geholpen om te kijken naar de volgende leraar en de volgende school.
datacenter (12): www.wordscope.be (v4.0.br)
l'école très ->
Date index: 2023-10-08