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Note: les traductions des vidéos ont été réalisées par des volontaires qui ne sont pas tous des traducteurs professionnels, elles pourraient donc contenir des erreurs. Ces textes sont cependant intéressants pour retrouver des expressions du langage parlé par exemple.
Vous pouvez aussi visualiser directement ces passionnantes vidéos avec les sous-titres dans la langue de votre choix !
Traduction de «l'on peur faire » (Français → Néerlandais) :
(Applaudissements) BG : Si on regarde la situation globale, pas seulement l'Europe, je sais que l'on peur faire une longue liste de pays qui ne sont pas à la hauteur, mais le contraire m’intéresse plus — y-a-t-il quelqu'un qui fait les choses bien ?
(Applaus) BG: Als je kijkt naar de wereld, dus niet alleen naar Europa, weet ik dat je een lange lijst van landen kunt maken die er niet echt voor gaan, maar ik ben meer geïnteresseerd in het andere deel - is er iemand die het juiste doet?
Non pas que j'aie peur maintenant, mais j'ai appris à
faire semblant. J'ai appris à être flexible. En fait, j'ai développé des outils intéressants pour m'aider à surmonter cette peur. Laissez-moi vous expliquer. Dans les années 1950 et 1960, quand j'étais petite, les petites filles étaient censées être aimables, sérieuses belles, douces, et tendres. Nous étions censées correspondre à des rôles qui étaient plutôt flous. Ce que nous étions censées faire n'était vraiment pas très clair. (Rires) Nous étions entourées de beaucoup de modèles. Nous avions nos mères, nos tantes, nos
...[+++]cousines, nos sœurs, et, bien sûr, les médias omniprésents qui nous bombardaient d'images et de formules, nous disant comment nous tenir.
Niet
dat ik nu niet bang meer ben, maar ik heb leren doen alsof. Ik heb geleerd flexibel te zijn. Ik heb een paar interessante tools ontwikkeld om me te helpen met deze angst. Laat me dit even uitleggen. In de jaren '50 en '60, toen ik opgroeide, moesten kleine meisjes lief en bedachtzaam zijn, en mooi en vriendelijk en zacht. En we moesten onze plaats vinden in rollen die nogal vaag waren. Niet bepaald duidelijke verwachtingen. (Gelach) Er waren vele rolmodellen overal rondom ons. We hadden onze moeders, tantes, nichten, zussen, en natuurlijk de alomtege
...[+++]nwoordige media die ons bombardeerden met beelden en woorden die ons voorschreven hoe we moesten zijn.(Rires) Les araignées, peut-être ? B
eaucoup de gens ont peur des araignées. Vous devriez avoir peur de
s araignées – elles sont terrifiantes et ont de longues jambes velues. Les araignées comme celle-ci, la recluse brune – c'est horrible. Si une recluse brune vous mord, vous développez une de ces horribles nécroses énormes à la jambe et il se pourrait qu'il y en ait une là tout de suite sur le fauteuil derrière vous. Comment savoir ? L'araignée vous tombe dessus, et vous contractez une grande panique parce que les araignées font peur.
...[+++]Mais vous vous demander s'il y a vraiment une recluse brune sur le fauteuil d'à côté. Je ne sais pas. Il y en a ici ? Si vous faites un peu de recherches, vous trouvez que dans le monde il y a environ 50 000 espèces différentes d'araignées et qu'à peu près deux douzaines sont venimeuses parmi ces 50 000. Si vous êtes au Canada, à cause des hivers froids, ici en Colombie-Britannique, il y a environ 720,730 espèces d'araignées et il y en a une – une seule – qui est venimeuse, et son venin n'est même pas mortel, c'est plutôt comme une méchante piqûre. Et cette araignée possède de magnifiques taches sur son dos, comme pour indiquer : je suis dangereuse, j'ai un gros symbole radioactif sur mon dos, c'est la veuve noire. Même si vous ne faites pas très attention, vous pouvez éviter de croiser une de ces araignées – elles vivent proche du sol, lorsque vous vous promenez, vous ne tomberez jamais sur une veuve noire qui va vous mordre. Elles ne tissent pas ce type de toile, elles les tissent plutôt dans des coins. On l'appelle « veuve noire » car la femelle dévore le mâle. Elle n'a que faire de vous. Alors en fait, la prochaine fois que vous rentrez dans une toile d'araignée vous n'avez pas besoin de paniquer et d'avoir une réaction primitive.
(Gelach) Misschien zijn het spinnen. Velen zijn bang voor spinnen. En angst voor spinnen is goed -- ze zijn griezelig, met lange, harige benen. De vioolspin, bijvoorbeeld, is vreselijk. Als ze je bijt, krijg je een verschrikkeli
jke, necrotiserende wond op je been. Misschien zit er nu een vioolspin achter je stoel. Wie weet? Dus: er valt een spin op je, en je reageert heel spastisch want spinnen zijn eng. Maar hoe weet je nu of deze spin achter je zit? Ik weet het niet. Zijn hier vioolspinnen? Als je dit opzoekt, zul je vinden dat er wereldwijd 50.000 soorten spinnen zijn, waarvan er zo'n twee dozijn giftig zijn van de 50.000. En omdat in
...[+++] Canada de winters zo koud zijn, heb je hier in Brits-Columbia ongeveer een 720, 730 soorten spinnen en er is er eentje -- ééntje -- die giftig is. Niet eens fataal. Het is gewoon een nare beet. Daarnaast waarschuwt deze spin je met duidelijke kleuren op zijn lijf: Ik ben gevaarlijk . Het is de zwarte weduwe. Dus als je al maar een klein beetje oplet kun je haar vermijden -- en ze leeft dicht bij de grond, dus als je gewoon loopt, loop je nooit tegen haar web aan. Deze spinnenwebben vind je beneden in een hoekje. En ze wordt zwarte weduwe genoemd omdat ze het mannetje opeet; ze is niet geïnteresseerd in jou. Dus in feite, de volgende keer dat je tegen een web oploopt, hoef je niet in paniek te raken als een holbewoner.C'est le centre-ville de The Pines, sur Fire Island, État de New York. C'est une station balnéaire. Nous avons proposé un bâtiment audacieux, différent de tous les autres auxquels la ville était ha
bituée. Nous avions peur que notre client ait peur, que la ville a
it peur, nous avons donc créé des photomontages que nous avons mis sur Facebook et sur Instagram, et nous av
ons laissé les gens faire. Ils les ont partagés, commentés, liké
...[+++]s , détestés.
Dit is het centrum van de
plaats the Pines in Fire Island in de staat New York. Het is een vakantiekolonie. We stelden een gedurfd gebouw voor dat anders was dan alle vormen waaraan de gemeenschap gewend wa
s. We waren bang en onze klant was bang en de gemeenschap was bang, dus we maakten een stel fotorealistische visualisaties die we op Facebook zetten en op Instagram en we lieten mensen doen wat ze doen: delen, comm
entaar leveren, het leuk vinden of niet. ...[+++]Il était la personne qui m'a permis de faire confiance de nouveau aux hommes, de ne plus avoir peur des hommes noirs qui crient, de ne plus avoir peur des hommes en général, de ne plus avoir peur de mon propre père.
Hij had me weer vertrouwen gegeven in mensen, om niet bang meer te zijn van schreeuwende zwarte mannen, om niet bang te zijn voor mannen in het algemeen, om niet bang van mijn eigen vader.
Nous devons encourager les gens à ne pas avoir peur des opportunités qui peuvent leur faire peur.
We moeten mensen aanmoedigen om niet bang te zijn van de kansen die hen angst aanjagen.
Mais, la peur c'est mieux que l'apathie. Parce que la peur, au moins, nous fait faire quelque chose.
Maar angst is beter dan apathie... want door angst gaan we iets doen.
Imaginez que vous soyez un marin naufragé à la dérive dans le Pacifique immense. Vous pouvez choisir une des trois directions et vous sauver vous-même ainsi vos compagnons de bord - mais chaque choix comporte aussi une conséquence terrible. Comment choisissez-vous? En racontant l'histoire du baleinier Essex, la romancière Karen Thompson Walker montre comment la peur nourrit l'imagination, en nous obligeant à imaginer les futurs possibles et comment y faire face.
Stel je voor dat je een schipbreukeling bent op drift in de enorme Stille Oceaan. Je kunt kiezen uit drie richtingen om jezelf en je scheepsmaten te redden, maar elke keuze houdt beangstigende consequenties in. Wat kies je? Door het verhaal van de walvisboot Essex te vertellen, laat romanschrijfster Karen Thompson Walker zien hoe angst onze verbeelding drijft, omdat hij ons dwingt ons de mogelijke versies van de toekomst voor te stellen en te bedenken hoe we ermee moeten omgaan.
Et à cause de cette peur, nous avons tendance à faire deux choses : Nous nous replions dans le déni : « Ce n'est pas moi, ça n'a rien à voir avec moi, ça ne m'arrivera jamais. » Ou nous décidons ce que nous allons faire pour prévenir la démence, et ça ne nous arrivera jamais parce que nous allons faire tout ce qu'il faut et elle ne s'emparera pas de nous.
Omwille van die angst zijn we geneigd om één van twee dingen te doen. We ontkennen: Niet ik, het heeft niets met mij te maken. Het gaat mij nooit overkomen. Of we beslissen om dementie te voorkomen. Het zal ons nooit overkomen omdat we al het juiste zullen doen. Het zal ons niet krijgen.
Ce n'est qu'à notre époque que la course est de
venue associée à la peur et à la douleur. Géronimo disait
que Mes seuls amis sont mes jambes, je ne fais confiance qu'à mes jambes. C'est parce qu'un triathlon apache consistait à courir 75 kilomètres dans le désert, s'affronter cans un combat à mains nues, à voler un groupe de cheveaux, et à rentrer chez soi à bride abatue. Géronimo ne disait jamais ah, vous savez un truc, mes tendons d'achile, j'ai des crampes, je dois me reposer une
semaine ou je dois ...[+++]faire des exercices différents. Je n'ai pas fait de yoga. Je ne suis pas prêt. De tout temps, les humains ont couru encore et encore. Nous sommes ici aujourd'hui. Nous avons la technologie numérique. Toute notre science vient du fait que nos ancêtres étaient capables de faire quelque chose extraordinaire tous les jours, qui ne nécessitait que leurs pieds nus et leurs jambes pour courir sur de longues distances. Alors comment retrouver ça? Et bien je vous soumet la première chose qui est de se débarrasser de tout l'emballage, de toutes les ventes, de tout le marketing,
Pas nu in onze tijd wordt rennen verbonden met angst en pijn. Geronimo (leider van Apache-Indianen) zei: Mijn enige vrienden zijn mijn benen. Ik vertrouw alleen mijn benen. Dat is omdat een Apache triathlon bestond uit 80 km rennen door de woestijn, meedoen aan ee
n vuistgevecht, een paar paarden stelen en thuis het geweer trekken. Geronimo zei nooit: Hmm, weet je, mijn achillespees -- het lukt niet, ik neem deze week vrij, of Ik moet cross-trainen. Ik heb mijn yoga niet gedaa. Ik ben niet klaar. Mensen rennen en hebben altijd gerend. We zijn nu hier. We h
...[+++]ebben onze digitale technologie. Al onze wetenschap stamt uit het feit dat onze voorvaderen in staat waren, om iets bijzonders elke dag te doen, namelijk erop vertrouwen dat hun blote voeten en benen lange afstanden konden afleggen. Hoe komen we daar weer terug? Ik zou zeggen dat het eerste is om alle verpakking, sales en marketing weg te gooien. datacenter (12): www.wordscope.be (v4.0.br)
l'on peur faire ->
Date index: 2023-05-13