Boost Your Productivity!Translate documents (Ms-Word, Ms-Excel, ...) faster and better thanks to artificial intelligence!
Note: les traductions des vidéos ont été réalisées par des volontaires qui ne sont pas tous des traducteurs professionnels, elles pourraient donc contenir des erreurs. Ces textes sont cependant intéressants pour retrouver des expressions du langage parlé par exemple.
Vous pouvez aussi visualiser directement ces passionnantes vidéos avec les sous-titres dans la langue de votre choix !
Traduction de «l'histoire comme une conversation philosophique » (Français → Néerlandais) :
3000 av J-C à 332 av J-C. C'est une periode que les historiens aiment appeller Pxtain de longue . Et je vous [générique] [générique] Donc il y a eu plein d'approche différentes pour étudier l'Histoire. Vous pouvez voir l'Histoire comme une conversation philosophique de plusieurs millénaire ou bien comme une succesion de confrontation entre de grands hommes ou encore, vous pouvez voir l'histoire comme une lentille braqué sur des population d'ordinaire negligées, comme les femmes, les populations d'indigènes, et les esclaves.
3000 v.C. tot 332 v.C. Dat is een super lange periode! Er zijn veel manieren om geschiedenis te benaderen. Je kunt het zien als een duizendjarige discussie over filosofie of als gevechten tussen belangrijke mannen. Je kunt geschiedenis ook zien door de lens van verwaarloosde beschavingen, zoals vrouwen of slaven.
Enfin, si quelqu'un vous dit que chercher des microbes aliens n'est pas cool parce que vous ne pouvez pas avoir de conversation philosophique avec eux, laissez-moi vous montrer pourquoi et comment leur montrer leur erreur.
Tenslotte, als iemand beweert dat het niet hip is om naar buitenaardse microben te zoeken, omdat je geen filosofische discussie met ze kan voeren, wil ik laten zien hoe je hen kunt tegenspreken.
Il n'y a pas de lumière naturelle dans cette caverne, les murs sont humides et sombres. Tout ce que les habitants peuvent voir, ce sont les ombres de choses que la lumière d'un feu projette sur le mur. Les habitants de la caverne sont fascinés par ces reflets d'animaux, de plantes et de gens. Par ailleurs, ils supposent que ces ombres sont réelles et qu'en prêtant beaucoup d'attention à elles, on comprend la vie et on y réussit. Et, bien sûr, ils ne comprennent pas que ce ne sont que de simples ombres qu'ils regardent. Ils discutent avec enthousiasme d'objets fantomatiques et sont très fiers de leur sophistication et de leur sagesse. Et puis un jour, un peu par hasard, quelqu'un découvre un moyen de sortir de la caverne, au grand air. D'abo
...[+++]rd, c'est tout simplement écrasant. Il est ébloui par l'éclat du soleil, dans lequel tout est éclairé convenablement pour la première fois. Peu à peu, ses yeux s'accommodent et il découvre les formes véritables de toutes ces choses qu'il n'avait connu jusqu'alors que comme des ombres. Il voit des fleurs réelles, la couleur des oiseaux, les nuances dans l'écorce des arbres, il observe les étoiles et saisit combien l'univers est vaste et sublime. Comme Platon l'exprime en termes solennels: Il n'avait vu jusqu'alors que de simples fantômes ; il est plus proche maintenant de la véritable nature des choses. Par compassion, cet homme qui vient d'être éclairé décide de quitter le monde ensoleillé d'en-haut et retourne dans la caverne pour essayer d'aider ses compagnons qui sont toujours enbourbés dans la confusion et l'erreur. Parce qu'il s'est habitué à la clarté du monde d'en-haut, il ne voit presque rien sous terre, il trébuche tout le long du couloir humide et il est désorienté, il n'impressionne absolument pas les autres. Quand, en retour, il n'est pas impressionné par eux et qu'il s'obstine à expliquer ce qu'est le soleil ou ce qu'est un vrai arbre, les habitants de la caverne le raillent de façon acerbe, puis se mettent en colère ...
Er is geen natuurlijk licht in de grot, de muren zijn donker en vochtig Het en
ige dat de bewoners kunnen zien zijn schaduwen van dingen die op een muur worden gezet en belicht worden door een vuur. De gevangenen raken gefascineerd door deze schaduwen van dieren, planten en mensen. Bovendien nemen ze aan dat de schaduwen echt zijn en dat als je goed oplet je het leven begrijpt en succesvol wordt. En ze hebben natuurlijk niet door dat ze maar naar schaduwen kijken. Ze praten enthousiast over de schaduwdingen en worden trots op hun wijsheid. Dan op een dag ontdekt iemand zomaar een weg uit de grot naar de vrije wereld. Op het begin in het o
...[+++]verweldigend. Hij is verblind door het schitterende zonlicht waarin alles voor het eerst fatsoenlijk wordt belicht. Langzaam wennen zijn ogen aan het licht en ziet hij het echte uiterlijk van alle dingen die hij alleen maar kende als schaduwen. Hij ziet echt bloemen, de kleuren van vogels, de nuances in boomschors. Hij observeert sterren en ziet de grootheid en de sublieme staat van het universum. Zoals Plato het sober zegt: Uit medeleven besluit de verlichte man uit het zonlicht terug naar de donkere grot te gaan om zijn vrienden te helpen die nog steeds in de illusie leven. Omdat hij is gewend aan de heldere buitenwereld kan hij ondergronds bijna niks zien. Hij struikelt door de vochtige gangen en raakt verward. Voor de anderen lijkt hij volkomen oninteressant. Als hij niet geïnteresseerd is in hen en wil uitleggen wat de zon is of hoe een boom er uitziet worden de gevangenen sarcastisch, boos, en willen hem uiteindelijk vermoorden. De grotmythe is een verhaal over het leven van alle verlichte mensen. De gevangenen zijn mensen voor filosofie, de zon is het licht van de rede, de vervreemding van de teruggekeerde filosoof is wat allen die waarheid brengen kunnen verwachten als ze hun kennis naar de mensen brengen die niet van nadenken houden. Volgens Plato leven we allemaal een groot deel van ons leven in de schaduw. Veel van de ding ...Il y a eu pas mal de coups de feu, pas
mal de discussions philosophiques avec les membres du gang. Au matin, le chef du gang est arrivé. Il a considéré Sudhir, est arrivé à la conclusion qu’il n’était pas une menace et ils l’ont laissé partir. Sudhir rentre chez lui. Il prend une douche, fait la sieste. Vous et moi, sans doute, face à cette situation, nous nous serions dit bon, je vais plutôt écrire mon mémoire sur les Grateful Dead. Je les ai suivis pendant ces trois derniers mois. (Rires) Sudhir, lui, y est retourné directement, s’est rendu dans les logements sociaux. Est monté à l’étage, le second étage, et a dit : « Salut les gars. J
...[+++]’ai passé un très bon moment à traîner avec vous, cette nuit. Je me demande si je pourrais recommencer ce soir. » Et voilà comment a commencé ce qui est devenu une belle relation qui a fait de Sudhir un résident non permanent du logement social pendant dix ans, à traîner dans des planques à crack, aller en prison avec les membres du gang, avoir les vitres de sa voiture explosées à coup d’armes à feu, avoir des descentes de police dans son appartement avec confiscation de ses disques durs... À peu près tout ce qu’on peut imaginer. Au final, l’histoire s’est bien terminée pour Sudhir, qui est devenu un des sociologues les plus respectés du pays. Et surtout pour moi, qui, assis à mon bureau avec ma feuille Excel ouverte, attendais que Sudhir vienne et me livre les dernières données obtenues du gang. Sans doute une des relations entre co-auteurs des plus inégales... (Rires) ... mais je suis heureux d’en avoir été le bénéficiaire.
Er werd veel geschoten, en hij hield veel filosofische discussies met de bendeleden. Tegen de ochtend kwam de bendeleider langs. Hij keek naar Sudhir, besloot dat hij geen gevaar was, en ze lieten hem naar huis gaan. Dus Sudhir ging naar huis, nam een douche, deed een dutje. En jij en ik zouden in zo'n situatie waarschijnlijk denken, ik denk dat ik mijn thesis maar over The Grateful Dead ga schrijven. Ik ben ze de afgelopen drie maanden achterna gereisd. (Zaal lacht) Maar Sudhir ging terug naar het woonproject, ging naar de tweede verdieping en zei: Hey
jongens, ik heb het gister zo met jullie naar mijn zin gehad dat ik mij afvroeg of we
...[+++] dat vannacht nog een keer konden overdoen. En dat was het begin van, naar wat bleek, een mooie vriendschap waarbij Sudhir tien jaar lang zo nu en dan in het woonproject woonde: hij verbleef vaak in crackhuizen, ging naar de gevangenis met de bendeleden, de ramen van zijn auto werden kapot geschoten, de politie brak in in zijn appartement en stal zijn computerschijven, noem maar op. Uiteindelijk had het verhaal een goed einde voor Sudhir, die één van de meest gerespecteerde sociologen van het land werd. En vooral voor mij, zittende in mijn kantoor met Excelspreadsheets geopend, wachtende op Sudhir die mij de laatste data kwam brengen die hij van de bende had gekregen. Het was één van de meest ongelijke co-schrijverschappen ooit (Zaal lacht) maar ik was blij dat ik er de vruchten van kon plukken.Terry, s'il te plaît, j'essaie de faire cuire un oeuf. Laisse-moi tranquille. (Rires) En fait, vous savez cette vieille histoire philosophique, si un arbre tombe dans la forêt et personne ne l'entend
“Terry, alsjeblieft, ik probeer hier een ei te bakken. (Gelach) Laat me nou even.” (Gelach) Ken je die oude filosofische uitspraak: als een boom valt in een bos en niemand hoort het,
Il est venu me voir et m'a dit, « Merci pour avoir commencé Movember. » Et j'ai dit, « Merci de faire Movember. » Je l'ai regardé et je lui ai dit, « Je suis plutôt sûr que vous ne pouvez pas vous faire pousser une moustache. » (Rires) Et je lui ai demandé,
« Quelle est votre histoire Movember ? » Il m'a répondu, « J'ai fait pousser la pire moustache qui soit. » (Rires) « Mais je suis rentré chez moi pour le diner de Thanksgiving et
assez rapidement la conversation autour de la table a viré sur ce qui était en train de se passer. » (R
...[+++]ires) « Nous avons parlé -- Je leur ai parlé de Movember, et ensuite, mon père s'est approché, et à 26 ans pour la première fois, j'ai eu une conversation avec mon père sur la santé masculine. J'ai eu une conversation avec mon père sur le cancer de la prostate et j'ai appris que mon grand-père avait eu le cancer de la prostate et j'ai pu partager avec mon père qu'il avait deux fois plus de possibilités d'attraper la maladie, il ne le savais pas, et il n'avait pas passé de test de dépistage. » Alors, cet homme passera maintenant un test de dépistage.
Hij zei: Bedankt dat je met Movember bent begonnen. Ik zei: Bedankt dat je Movember doet. Ik keek hem aan, zo van: Jij kan vast geen snor laten staan. (Gelach) Ik zei: Wat is jouw Movemberverhaal? Hij zei: Ik liet de slechtste snor ooit staan. (Gelach) Maar ik ging naar huis voor Thanksgiving en het gespre
k aan tafel ging al snel over wat er verdorie aan de hand was. (Gelach) Ik praatte met hen over Movember. Daarna kwam mijn papa op me af, en op mijn 26ste had ik voor de allereerste keer een gesprek met mijn papa over de gezondheid van mannen. Het ging over prostaatkanker. Ik vernam dat mijn grootvader prostaatkanker had en ik kon met p
...[+++]apa delen dat hij twee keer zoveel kans had op die ziekte, wat hij niet wist, en hij was niet gescreend. Die man laat zich nu screenen op prostaatkanker.J'étais tellement inspiré. J'ai créé ma
propre version de l'histoire de l'Inde J'ai inclus des histoires de ma grand-mère. Elle travaillait pour le central téléphonique, et elle surp
renait vraiment les conversations entre Nehru et Edwina Mountbatten. Et elle entendait toutes sortes de choses qu'elle n'aurait pas dû entendre. Mais bon, j'a
i inclus des choses comme ça. C'est ma version de l'histoire de l'
Inde ...[+++].
Ik was zo geïnspireerd dat ik mijn eigen versie van de Indiase geschiedenis heb gemaakt. Ik was zo geïnspireerd dat ik mijn eigen versie van de Indiase geschiedenis heb gemaakt. Ik was zo geïnspireerd dat ik mijn eigen versie van de Indiase geschiedenis heb gemaakt. Ik verwerkte verhalen van mijn oma die voor de telefooncentrale werkte Ik verwerkte verhalen van mijn oma die voor de telefooncentrale werkte Ik verwerkte verhalen van mijn oma die voor de telefooncentrale werkte Ik verwerkte verhalen van mijn oma die voor de telefooncentrale werkte en gesprekken tussen Nehru en Edwina Mountbatten te horen kreeg. en gesprekken tussen Nehru en Edwina Mountbatten te horen kreeg. Ze hoorde van alles wat ze niet had mogen horen. Ze hoorde van alles
...[+++]wat ze niet had mogen horen. Ze hoorde van alles wat ze niet had mogen horen. Dat stopte ik in mijn versie van de Indiase geschiedenis. Dat stopte ik in mijn versie van de Indiase geschiedenis.Artiste conceptuel et membre de TED, Sanford Biggers utilise peinture, sculpture, vidéo et performance artistique pour engager des conversations complexes à propos de l'histoire et du traumatisme de l'Amérique noire. Rejoignez-le pour voir comme il détaille deux œuvres fascinantes et la motivation qui porte son art. « Seulement plus de dialogue sur l'Histoire et l'ethnie peut nous faire évoluer en tant qu'individus et société, » dit-il.
Conceptueel kunstenaar en TED Fellow Sanford Biggers gebruikt schilderijen, beeldhouwwerk, video en performancekunst om uitdagende gesprekken uit te lokken over de geschiedenis en het trauma van zwart Amerika. Luister naar zijn uitleg over twee van zijn kunstwerken en de motivatie achter het maken van zijn werk. Alleen door het voeren van een meer doordachte dialoog over geschiedenis en ras, kunnen we ons als individu en als samenleving ontwikkelen , zegt Biggers.
tel que nous le connaissions au XXème siècle. Et voici ce qui a changé. Cette chose qui ressemble à un paon éclaté sur un pare-brise c'est la carte d'Internet de Bill Cheswick. Il trace les arêtes des réseaux individue
ls et leur donne un code de couleur. L'Internet est le p
remier média dans l'histoire qui possède un support natif pou
r les groupes et la conversation en même temps. Là où le téléphone nous fournissait le schéma un à u
...[+++]n .
Dat was het medialandschap... in de twintigste eeuw. En zo is het veranderd. Dit lijkt op een pauw die tegen een raam is gevlogen... maar het is Bill Cheswick's beeld van internet. Hij omrandt de individuele netwerken... en geeft ze een kleurcode. Internet is het eerste medium in de geschiedenis... dat ondersteuning biedt voor groepen... en tegelijk ook voor gesprekken.
J'en ai donc conclu que moi aussi j'avais transigé, comme mes amis, dans ces conversations, où nous racontions des histoires en nous inventant des excuses, plutôt qu'en acceptant notre responsabilité.
Ik oordeelde dat ik water bij de wijn had gedaan net als mijn vrienden in die discussies, waar we verhalen vertelden in contexten die we goedpraatten, in plaats van er verantwoordelijkheid voor te nemen.
datacenter (12): www.wordscope.be (v4.0.br)
l'histoire comme une conversation philosophique ->
Date index: 2023-05-08