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Note: les traductions des vidéos ont été réalisées par des volontaires qui ne sont pas tous des traducteurs professionnels, elles pourraient donc contenir des erreurs. Ces textes sont cependant intéressants pour retrouver des expressions du langage parlé par exemple.
Vous pouvez aussi visualiser directement ces passionnantes vidéos avec les sous-titres dans la langue de votre choix !
Traduction de «je raconte-nous » (Français → Néerlandais) :
Et son enfant va recevoir un traitement de prévention de la transmission mère-enfant du VIH, ce qui signifie que le bébé pourra naître sans le virus. C’est de la prévention au tout début de la vie. C’est une des façons d'intervenir sur la pandémie du SIDA. Et j’aimera
is terminer en vous racontant l’histoire d’Avelile. Voici Avelile. Elle me suis partout où je vais. Je raconte son histoire à tout le monde, parce qu’elle représente un des millions d’orphelins du SIDA. La mère d’Avelile avait le virus du SIDA. Elle est morte d’une maladie liée au SIDA. Avelile avait le virus. Elle est née avec. Et la voici à 7 ans, ne pesant pas plus qu’un
...[+++]bébé d’un an. A ce stade dans sa vie, le SIDA s’était pleinement déclaré et elle était atteinte de pneumonie. Nous l’avons rencontrée dans un hôpital de l’est de Cape et nous avons passé une après-midi entière avec elle – une enfant adorable.
Haar baby krijgt later PMTCT, wat betekent dat de baby wordt geboren zonder het virus. Dat is nu preventie aan het eerste begin van het leven. Het een manier om te kijken naar de aanpak van de AIDS-pandemie. Ik wil graag eindigen met korte verh
aal over Avelile. Dit is Avelile. Ze volgt me waar ik ook ga. Ik vertel haar verhaal aan iedereen omdat zij symbool staat voor de miljoenen HIV/AIDS-wezen. De moeder van Avelile had het HIV-virus. Ze stierf aan een AIDS-gerelateerde ziekte. Avelile had het virus. Ze werd geboren met het virus. Hier is ze zeven jaar oud, nauwelijks zwaarder dan een 1-jaar oude baby. Op dit moment in haar leven lijdt
...[+++] ze aan volledig ontwikkelde AIDS en aan longontsteking. We ontmoetten haar in een ziekenhuis in Oost-Kaap en brachten de hele middag met haar door -- een heerlijk kind.Nous nous racontons des histoires. Alors, je vais aller plus loin, et dire, je raconte une histoire, et donc j'existe. J'existe parce qu'il y a des histoires, et s'il n'y a pas d'histoire, nous n'existons pas. Nous créons des histoires pour définir notre existence.
We vertellen onszelf verhalen. Ik ga nog een stap verder en zeg: ik vertel een verhaal, en dus besta ik. Ik besta omdat er verhalen zijn, en als er geen verhalen zijn, bestaan we niet. Wij creëren verhalen om ons bestaan te definiëren.
(Rires) (Applaudissements) JE: Raconte-nous un petit peu ce que tu fais.
(Gelach) (Applaus) JE: Vertel ons een beetje over wat je nu doet.
On s’est dit, plutôt que de faire sortir le texte complet, nous allons faire sortir des statistiques sur les livres. Prenez par exemple, « Une étincelle de bonheur ». Quatre mots ; on l’appelle quadri-gramme. Nous allons vous dire combien de fois un quadri-gramme en particulier est apparu dans les livres en 1801, 1802, 1803, jusqu’à 2008. Cela nous donne une série temporelle sur la fréquence avec laquelle cette phrase en particulier a été utilisée dans le temps. Nous le faisons pour tous les mots et les phrases qui apparaissent dans ces livres, ce qui nous donne un tableau de deux milliards
de lignes qui nous raconte les changements cul ...[+++]turels. ELA : Donc ces deux milliards de lignes, nous les appelons les deux milliards d’n-grammes. Qu’est ce qu’ils nous disent? L’n-gramme individuel mesure les tendances culturelles. Prenons un exemple. Supposez que je sois épanoui, et demain matin je veux vous raconter comme j’étais bien. Je pourrai donc dire, « Yesterday, I throve. » [Hier j’étais épanoui] Sinon, je pourrai dire, « Yesterday, I thrived.» Laquelle devrais-je utiliser ?
We zeiden, in plaats van de hele tekst uitgeven, gaan we statistieken uitgeven over de boeken. Neem bijvoorbeeld A gleam of happiness . Vier woorden; we noemen dat een four-gram. We gaan laten zien hoe vaak een specifiek four-gram verscheen in boeken in 1801, 1802, 1803, tot en met 2008. Dat levert een tijdverloop op van hoe frequent deze specifieke zin gebruikt werd. We doen dat met alle woorden en zinnen die in die boeken voorkomen, wat een lijst van
twee miljard zinnen oplevert die laat zien hoe onze cultuur veranderd is. ELA: Die 2 miljard zinnen noemen we 2 miljard n-grams. Wat vertellen ze ons? De individuele n-grams meten culture
...[+++]le trends. Ik zal een voorbeeld geven. Stel dat ik geluk ervaar, en morgen vertel ik je daarover. Dan kan ik zeggen: Gisteren ervoer ik geluk. Of: Gisteren ervaarde ik geluk. Wat moet ik gebruiken?Nous voulons tous secrètement notre doudou et notre ours en peluche. Nous voulons nous
pelotonner et dire, Raconte-la moi, Raconte-la moi. Vas-y, chérie, Raconte-la moi. Mais dans le Sud, nous aimons une bonne histoire. Les gens se sont écartés, je veux dire, ils ont quitté la file, ils ont ouvert leur coffre, sorti des chaises de jardin et desboissons fraîches. On prend des paris Je suis avec la petite dame. Bon sang! (Rires) Et elle me dirige avec de légers mouvements de salsa. Elle est -- après tout -- cubaine. Je pense, J'accélère ou freine. J'accélère ou freine. Comme si tu n'avais jamais pensé à ça dans ta vie? N'est-ce pas? Bien s
...[+++]ûr.
We willen stiekem allemaal ons dekentje en ons beertje. We willen lekker gaan liggen en zeggen: Vertel het me. Komaan, schat, vertel het me. Maar in het Zuiden houden we van een goed verhaal. Mensen zijn opzij gaan staan. Ze zijn uit de wachtrij gekomen, koffers opengedaan, klapstoeltjes bovengehaald en drankjes. Er wordt gewed. Ik ben voor de kleine dame. Verdomme! (Gelach) En ze leidt me naar mijn plaats met een lichte salsabeweging. Vergeet niet, ze is Cubaans. Ik denk: Versnellen. Remmen. Versnellen. Remmen. Heb je dat nooit gedacht in je leven? Ja?
Chaque fois que rentre chez moi, je fais face aux habituelles causes d'irritation pour la plupart des Nigérians: notre infrastructure en échec, notre gouvernement en échec. Mais je vois aussi la ténacité incroyable des gens qui s'épanouissent malgré le gouvernement, plutôt que grâce au gouvernement. Chaque été, j'anime des ateliers d'écriture à Lagos. Et je trouve formidable le nombre de personnes qui s'inscrivent, le nombre de personnes qui ont
hâte d'écrire, pour raconter des histoires. Avec mon éditeur nigérian, nous venons de lancer une ONG qui s'appelle Farafina Trust. Et nous avons de beaux rêves de construire des bibliothèques et
...[+++]de rénover celles qui existent déjà. Nous allons fournir des livres aux écoles gouvernementales qui n'ont rien dans leurs bibliothèques. Nous voudrions aussi organiser plein d'ateliers de lecture et d'écriture, pour toutes les personnes qui ont envie de raconter nos nombreuses histoires.
Telkens ik thuis ben, word ik geconfronteerd met de gebruikelijke oorzaken van irritatie voor de meeste Nigerianen: onze gebrekkige infrastructuur, onze mislukte regering. Maar ook met de ongelofelijke veerkracht van de mensen die opbloeien ondanks de overheid, eerder dan dankzij. Elke zomer geef ik schrijfworkshops in Lagos. Het is ongelofelijk hoeveel mensen zich ervoor opgeven, hoeveel mensen popelen om t
e schrijven, om verhalen te vertellen. Mijn Nigeriaanse uitgever en ik hebben net een stichting opgezet die Farafina Trust heet. We hebben grootse plannen om bibliotheken te bouwen en bestaande bibliotheken te renoveren, en boeken te
...[+++]voorzien voor openbare scholen die niks in hun bibliotheken hebben staan, en ook heel veel workshops te organiseren, over lezen en schrijven, voor alle mensen die hongerig zijn om onze vele verhalen te vertellen.C'est effrayant. Vous savez, je continue de parl
er de cette idée de raconter une histoire, et c'est comme si l'enseignement scientifique avait choisi ce que j'appelle la tyrannie de la précision, où l'on ne peut pas simplement raconter une histoire. C'est comme si la science se devait d'être un de ces conteurs terribles, que nous connaissons tous et qui nous donnent des détails dont tout le monde se fiche, du genre : Oh, j'ai déjeuné avec mon amie l'autre jour, elle portait ce jean très moche. Enfin, ce n'était pas vraiment un jean, c'était plutôt comme un, une sorte de legging, mais, plutôt, enfin je suppose que c'est plutôt un jegging.
...[+++] un peu comme, mais je pensais... et vous, vous vous dites : Oh mon dieu.
Dat is afschuwelijk. Ik wil het hebben over dit idee van verhalen vertellen. Het is alsof wetenschapsonderwijs uitgaat van wat ik de tirannie van de precisie noem, waar je niet zomaar een verhaal mag vertellen. Wetenschap lijkt wel de ‘Verschrikkelijke Verhalenverteller’ geworden. Hij zadelt ons op met alle details waar niemand om geeft. Zoals als iemand die zegt: “Ik kwam gisteren mijn vriendin tegen en ze droeg zo’n lelijke jeans. Ik bedoel, het waren niet eens jeans, eerder een soort leggings, maar eigenlijk waren het ‘jeggings’.” Dan denk ik: “God!
Ils rient tous. (Rires) Ils sont par terre. (Rires) Ce que j'aime vraiment est qu'ils sont tous très sérieux jusqu'à ce qu'il saute dans la glace, et dès qu'il ne passe pas à travers, et qu'il ne se fait pas mal, ses amis commencent à rire. Imaginez qu'il dise : « Non, Heinrich, je crois que c'est cassé », nous n'aimerions pas voir cela. Ce serait stressant. Ou s'il se baladait en riant, avec une jambe cassée et que lui disaient d'aller à l'hôpital, ce ne serait pas drôle. Le fait que le rire fonctionne, fait d'une situation douloureuse, embarrassante, difficile, une situation drôle, que nous apprécions. Je pense que c'est un usage très intéressant, et cela arrive tout le temps. Par exemple, je me souviens d'une chose de similaire à l'enter
...[+++]rement de mon père. Nous ne sautions pas dans la glace en sous-vêtements. Nous ne sommes pas des Canadiens. (Rires) (Applaudissements) C'était un évènement désagréable, un parent était un peu pénible, ma mère n'allait pas bien, et je me souviens, juste avant que tout commence, avoir raconté cette histoire sur un sitcom des années 70, à ce moment, je ne savais pas pourquoi je le faisais et j'ai réalisé qu'en fait, j'essayais de trouver quelque chose qui pourrait la faire rire avec moi.
En nu lachen ze allemaal. (Gelach) Ze liggen op de grond. (Gelach) Wat ik hier heel leuk aan vind, is dat het heel serieus is, tot hij op het ijs springt. En omdat hij er niet doorheen zakt en er ook geen bloed vloeit of botten rondvliegen, beginnen zijn vrienden te lachen. Stel je voor dat ze zouden zeggen: 'Serieus, Heinrich, ik denk dat het gebroken is' dan zou het niet leuk zijn. Dat zou stressvol zijn. Of als hij lachend rond rent met een gebroken been en z'n vrienden zeggen, 'je moet naar het ziekenhuis', dan is het niet leuk. Het lachen werkt omdat het hem uit een pijnlijke, gênante, moeilijke situatie haalt en plaatst in een grappige situatie waarom we kunnen lachen. Dat is een echt interessante toepassing, die heel vaak voorkomt. I
...[+++]k kan me zoiets herinneren, van mijn vaders begrafenis. We sprongen niet in onze zwembroek op het ijs rond. We zijn geen Canadezen! (Gelach) (Applaus) Een begrafenis is altijd moeilijk. Ik had een lastig familielid, en mijn moeder had het moeilijk. Ik herinner me dat ik haar vlak voor aanvang een gebeurtenis vertelde uit een comedy uit de jaren 70! Ik dacht nog: ik heb geen idee waarom ik dit doe. Later besefte ik dat ik op zoek was naar iets -- wat dan ook -- waarmee ik haar kon laten lachen, samen met mij.Et je vais vous raconter une histoire, qui est très embarrassante pour moi, mais que je trouve importante. J'ai fait une allocution à Facebook il n'y a pas longtemps devant une centaine d'employés. Et deux heures plus tard, il y avait cette jeune femme qui travaille là assise devant mon petit bureau, et elle voulait me parler. J'ai dit d'accord, et elle s'est assise et nous avons parlé. Et elle a dit, J'ai appris quelque chose aujourd'hui. J'ai appris que je dois gardé la main levée. j'ai dit, Que voulez-vous dire? elle a dit, Et bien, vous faites cette allocution, et vous dites que vous allez prendre encore deux questions. Et je levais la main comme beaucoup d'autre gens, et vous avez pris deux questions de plus. Et j'ai baissé la main, et
...[+++] j'ai remarqué que toutes les femmes baissaient la main. Et puis vous avez pris encore deux questions, seulement celles des hommes. Et j'ai pensé en moi-même, ho, si c'est moi -- qui ça intéresse, évidemment -- qui fais cette allocution -- pendant cette allocution, je ne suis même pas capable de remarquer que les mains des hommes sont encore levées, et que les mains des femmes sont encore levées, que valons-nous comme directeurs de nos compagnies et de nos organismes quand il s'agit de voir que les hommes recherchent les opportunités plus que les femmes ne le font? Nous devons faire que les femmes s'asseyent à la table. (Applaudissements) Message numéro deux : faites de votre partenaire un vrai partenaire. J'ai acquis la conviction que nous avons plus progressé dans le monde du travail que nous ne l'avons fait dans nos foyers. Les données le montrent très clairement.
Zodadelijk vertel ik een verhaal dat erg gênant is voor mijzelf, maar ik vind het belangrijk. Niet zo lang geleden gaf ik een toespraak bij Facebook voor ongeveer 100 medewerkers. Een paar uur later was er een jonge vrouw die er werkt, ze zit voor mijn bureautje en wil met me praten. Ik zeg OK, ze gaat zitten, we praten. Ze zei: Ik heb vandaag iets geleerd. Ik heb geleerd dat ik mijn hand omhoog moet houden. Ik zei: Wat bedoel je? Ze zei: Wel, je gaf een toespraak en je zei dat je nog twee vragen zou beantwoorden. Ik had net als vele mensen mijn hand opgestoken, en je behandelde 2 vragen. Ik liet mijn hand zakken, en ik zag alle vrouwen hetzelfde doen, en toen beantwoordde je nog meer vragen, alleen van mannen. Ik bedacht voor mezelf: wow,
...[+++]als ik het ben -- die dit belangrijk vind -- die deze toespraak geef -- en ik merk tijdens de toespraak niet eens dat de handen van de mannen nog opgestoken zijn, dat de handen van de vrouwen nog opgestoken zijn, hoe goed zijn we dan als leiders van ons bedrijf en onze organisatie in opmerken dat de mannen meer opportuniteiten nastreven dan vrouwen? We moeten vrouwen een plaats aan de tafel laten innemen. (Applaus) Boodschap nummer twee: maak van je partner een echte partner. Ik ben ervan overtuigd dat we meer vooruit zijn gegaan op de arbeidsmarkt dan thuis. De data tonen dit zeer duidelijk.Maintenant, quand j'ai commencé à parler à des sociétés et je leur ai dit que nous voulions raconter cette histoire, et ils ont dit: «Non, nous voulons que vous racontiez une histoire. Nous voulons que vous racontiez une histoire, mais nous voulons juste raconter notre histoire. Vous voyez, quand j'étais enfant et que mon père m’attrapait en train de mentir - il me jetait le regard qu'il m'a souvent jeté -- il disait, Mon fils, il y a trois côtés à chaque histoire.
Toen ik begon te praten met bedrijven en hen vertelde dat we dit verhaal wilden vertellen, zeiden ze: Nee, we willen dat jij een verhaal vertelt. Wij willen dat jij een verhaal vertelt, maar wij willen gewoon ons verhaal vertellen. Toen ik een kind was en mijn vader betrapte op een leugen - daar geeft hij mij de blik die hij me vaak gaf - hij zei: Zoon, er zijn drie kanten aan elk verhaal.
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Date index: 2023-12-12