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Note: les traductions des vidéos ont été réalisées par des volontaires qui ne sont pas tous des traducteurs professionnels, elles pourraient donc contenir des erreurs. Ces textes sont cependant intéressants pour retrouver des expressions du langage parlé par exemple.
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Traduction de «j'ai peur dis-leur de partir » (Français → Néerlandais) :
« La gravité me tir
e vers le bas. J'ai peur. Dis-leur de partir.» Quand j'étais jeune, j'ai été dans un hôpital psychiatrique à trois reprises pendant de longues périodes. Mes médecins m'ont diagnostiquée schizophréniqu
e chronique, et ont fait un pronostic de « cas grave ». C'est-à-dire que, au mieux, je devais vivre dans une institution, et travailler à des tâches de second ordre. Heureusement, je n'ai pas réellement appliqué ce pronostic grave. Au lieu de ça, je suis professeur de Droit, de
...[+++]Psychologie et de Psychiatrie à l'USC Gould School of Law, j'ai beaucoup d'amis proches et j'ai un mari que j'adore, Will, qui est ici avec nous aujourd'hui.
Zwaartekracht trekt me de dieperik in. Ik ben bang. Stuur ze weg. Als jonge vrouw was ik in de psychiatrie opgenomen, tot drie keer toe, voor lange periodes. Mijn dokters stelden de diagnose van chronische schizofrenie, met de prognose ernstig . De verwachting was dat ik in het beste geval in een gesloten inrichting zou zitten en klussen zou doen. Gelukkig heb ik die ernstige prognose niet uitgevoerd. Integendeel. Ik ben hoogleraar Rechten, Psychologie en Psychiatrie aan de USC Gould School of Law, ik heb vele goede vrienden en een dierbare echtgenoot, Will, die hier vandaag bij ons is.
J'ai peur de leur pouvoir en termes d'imagination, en termes de technologie, en termes de concept.
Ik ben onder de indruk van hun kracht wat betreft verbeelding, technologie, wat betreft opzet.
Au lieu de ça, il y a eu une litanie d'opti
misme ahurissant. À partir de 2004, chaque général est arrivé en disant : « J'ai hérité d'une si
tuation lamentable, mais j'ai enfin les ressources et la stratégie adéquates, qui feront de cette année, selon les termes du général Barno en 2004, « l'année décisive ». Eh bien devinez quoi? Ça n'est pas arrivé. Mais ça n'a pas empêché le général Abuzaid de dire qu'il avait la stratégi
e et les ressources pour livrer, e ...[+++]n 2005, « l'année décisive ». Ou encore le général David Richards d'arriver en 2006 et de dire qu'il avait la stratégie et les ressources pour offrir « l'année écrasante ». Ou, en 2007, l'adjoint du Ministre des affaires étrangères norvégien, Espen Eide, de dire qu'il allait apporter « l'année décisive ». Ou, en 2008, le major-général Champoux d'arriver et de dire qu'il allait fournir « l'année décisive ». Ou, en 2009, mon grand ami, le général Stanley McChrystal, de dire qu'il était « en plein dans l'année décisive ». Ou, en 2010, le Ministre des affaires étrangères britannique, David Miliband, de dire que nous allions enfin obtenir « l'année décisive ». Et vous serez ravis d'entendre qu'en 2011, aujourd'hui, Guido Westerwelle, le Ministre des affaires étrangères allemand, nous garantit que nous sommes dans « l'année décisive ». (Applaudissements) Pourquoi laissons-nous tout ceci se produire ? Eh bien la réponse est, bien sûr, que si vous dépensez 125 ou 130 milliards de dollars par an dans un pays, vous vous mettez dans la poche presque tout le monde, même les organisations humanitaires, qui commencent à recevoir d'énormes quantités d'argent des gouvernements américain et européens pour construire des écoles et des cliniques, sont peu disposées à récuser l'idée que l'Afghanistan est une menace existentielle pour la sécurité mondiale. Elles sont inquiètes, en d'autres termes, que si quelqu'un pense que ce n'est pas une telle menace, Oxfam, Save the Children, ne recevront pas l'argent pour construire leurs hôpitaux ...
In plaats daarvan was er een litanie van verbijsterend optimisme. Beginnend in 2004 kwam elke generaal binnen en zei, Ik heb een ellendige
situatie geërfd, maar eindelijk heb ik de juiste middelen en strategie, die zullen zorgen voor , in generaal Barno's woorden in 2004, het beslissende jaar . Raad eens? Dat was het geenszins. Maar dat belette generaal Abuzaid niet te zeggen dat hij de strategie en middelen had om in 2005 te zorgen voor het beslissende jaar . Of generaal David Richards die in 2006 zei dat hij de strategie en de middelen had om te zorgen voor het kanteljaar . Of in 2007, Espen Eide, de Noorse staatssecretaris Buitenlands
...[+++]e Zaken, die zei dat hij zou zorgen voor het beslissende jaar . Of in 2008, generaal-majoor Champoux die binnenkwam en zei dat hij zou zorgen voor het beslissende jaar Of in 2009, mijn grote vriend, generaal Stanley McChrystal, die zei dat hij tot zijn knieën in het beslissende jaar stond. Of in 2010, David Miliband, de Britse minister van Buitenlandse Zaken, die zei dat hij eindelijk zou gaan zorgen voor het beslissende jaar . En jullie zullen blij zijn te horen, nu in 2011, dat Guido Westerwelle, de Duitse minister van Buitenlandse Zaken, ons verzekert dat we aanbeland zijn in het beslissende jaar . (Applaus) Hoe kan het dat we dit allemaal laten gebeuren? Het antwoord is uiteraard dat als je 125 miljard of 130 miljard dollar per jaar uitgeeft in een land, je bijna iedereen erbij betrekt. Zelfs de hulpverleningsorganisaties -- die dan enorme hoeveelheden geld krijgen van de Amerikaanse en Europese overheden om scholen en hospitalen te bouwen -- zijn niet echt bereid om tegen te spreken dat Afghanistan een existentieel gevaar vormt voor de internationale veiligheid. Ze vrezen met andere woorden, dat als mensen geloven dat het niet zo'n probleem is -- Oxfam, Save the children -- geen geld zouden krijgen om hun scholen en hospitalen te bouwen. Ook is het erg moeilijk om een generaal met medailles op zijn borst, tegen te spreken. Het i ...J'ai lu récemment une étude sur les entrepreneurs prospères, et l'auteur a constaté que ces gens partageaient une habitude qu'il a appelé « la paranoïa productive », ce qui signifie que ces gens, au lieu de rejeter leurs peurs, les lisaient attentivement, les étudiaient et puis traduisaient ces peurs dans la préparation et l'action.
In een recente studie over succesvolle ondernemers zei de auteur dat deze mensen een bepaalde gewoonte gemeen hadden. Hij noemde dat ‘productieve paranoia’. In plaats van hun angsten te negeren, gingen deze mensen ze aandachtig lezen, ze bestuderen en ze vertalen in voorbereiding en actie.
C’est les femelles, je pense, qui pondent les œufs. Et ensuite les mâles les fertilisent. Et ensuite ils deviennent des têtards et des grenouilles. » Et elle dit, « Quoi ? Il y a que les femelles qui ont des œufs ? » Et je lui dis, «Bien sûr. » Et elle enchaine « Qu’est ce que fertiliser ? » Je lui dis donc quelque chose du genre, « C’est cet ingrédient en pl
us dont on a besoin pour créer une nouvelle g
renouille à partir de maman et papa grenouille » Et elle me dit, « Oh, est-ce que c’est valable également pour les humains ? » Et j’ai
...[+++] pensé, « ça y est, nous y voilà. » Je ne pensais pas que ça arriverait si rapidement, à huit ans. J’essayais de me rappeler tous les manuels, Et tout ce dont je me souvenais était, « Réponds uniquement à la question que l’on te pose. Ne donne pas d’autres informations. » J’ai donc dit « Oui » Et elle me dit, « Où, est-ce que les femmes pondent leurs œufs ? » Et je lui réponds, « Et bien, c’est bien que tu le demandes. On a évolué pour avoir notre propre étang.
Volgens mij leggen de vrouwtjes de eieren en daarna bevruchten de mannetjes ze. Zo worden het kikkervisjes en kikkers. Ze zei: Wat? Hebben alleen vrouwtjes eieren? Ja, zei ik. Waarop zij vraagt: Wat is bevruchten? Ik mompel: Oh, dat is een extra'tje dat nodig is om een n
ieuwe kikker te maken van moeder- en vader-kikker. Ze merkt op: Oh, dus dat gaat ook zo bij mensen? Ik besefte: Goed, daar gaan we. Ik verwachtte het niet zo snel, ze was acht. Ik probeerde me alle handboeken te herinneren en het enige dat ik nog wist: Antwoord enkel op de gestelde vraag. Geef niet méér informatie. Ik antwoordde dus: Ja. Zij: Waar ... euh waar leggen mens
...[+++]envrouwtjes, dan hun eieren? Ik zei: Tja, grappig dat je dat vraagt. We zijn zo geëvolueerd dat we onze eigen vijver hebben.Ce n'est qu'à notre époque que la course est de
venue associée à la peur et à la douleur. Géronimo d
isait que Mes seuls amis sont mes jambes, je ne fais confiance qu'
à mes jambes. C'est parce qu'un triathlon apache consistait à courir 75 kilomètres dans le désert, s'affronter cans un combat à mains nues, à voler un groupe de cheveaux, et à rentrer chez soi à bride abatue. Géronimo ne disait jamais ah, vous savez un truc, mes tendons
...[+++] d'achile, j'ai des crampes, je dois me reposer une semaine ou je dois faire des exercices différents. Je n'ai pas fait de yoga. Je ne suis pas prêt. De tout temps, les humains ont couru encore et encore. Nous sommes ici aujourd'hui. Nous avons la technologie numérique. Toute notre science vient du fait que nos ancêtres étaient capables de faire quelque chose extraordinaire tous les jours, qui ne nécessitait que leurs pieds nus et leurs jambes pour courir sur de longues distances. Alors comment retrouver ça? Et bien je vous soumet la première chose qui est de se débarrasser de tout l'emballage, de toutes les ventes, de tout le marketing,
Pas nu in onze tijd wordt rennen verbonden met angst en pijn. Geronimo (leider van Apache-Indianen) zei: Mijn enige vrienden zijn mijn benen. Ik vertrouw alleen mijn benen. Dat is omdat een Apache triathlon bestond uit 80 km rennen door de woestijn, meedoen aan ee
n vuistgevecht, een paar paarden stelen en thuis het geweer trekken. Geronimo zei nooit: Hmm, weet je, mijn achillespees -- het lukt niet, ik neem deze week vrij, of Ik moet cross-trainen. Ik heb mijn yoga niet gedaa. Ik ben niet klaar. Mensen rennen en hebben altijd gerend. We zijn nu hier. We hebben onze digitale technologie. Al onze w
...[+++]etenschap stamt uit het feit dat onze voorvaderen in staat waren, om iets bijzonders elke dag te doen, namelijk erop vertrouwen dat hun blote voeten en benen lange afstanden konden afleggen. Hoe komen we daar weer terug? Ik zou zeggen dat het eerste is om alle verpakking, sales en marketing weg te gooien.Homme 1 : à partir du moment où il y a de l'injustice, quelqu'un doit faire un sacrifice! Femme 1 : Ce n'est pas un sacrifice, C'est une vengeance! Si vous tuez, il n'y a pas de différence entre victime et occupant. Homme 1 : si vous avions des avions, nous n'aurions pas besoin de martyrs, c'est la différence. Femme : La différence c'est que l'armée israelienne est toujours plus forte. Homme: Alors, soyons égaux devant la mort. Nous avons toujours le Paradis. Femme: Il n'y a pas de Paradis! Ca n'existe que dans
votre tête! Homme: Dieu vous pardonne, dieu ...[+++] vous pardonne! Que dieu vous pardonne. Si vous n'étiez pas la sœur d'Abu Azzam… De toute façon, je préfèrerais encore avoir le paradis dans ma tête que vivre dans cet enfer! Dans cette vie, nous sommes morts de toute façon. Homme: Nous choisissons l'amertume seulement si l'alternative est encore plus amère. Femme: Et nous? Ceux qui restent? Gagnerons-nous de cette façon? Ne voyez-vous pas que ce que vous faites est en train de nous détruire? Et que vous prenez Israel comme alibi pour continuer? Homme: Donc, sans alibi, Israel arrêterait? Femme: Peut-être. Nous devons faire de cette guerre une guerre morale. homme: Et comment faire, si Israel n'a pas de morale? Femme: Fais attention! George: Ma femme Ayelet m'a appelé et m'a dit: Il y a eu un attentat suicide à Tel Aviv . Ayelet: Qu'est-ce que vous savez sur les blessés? Nous recherchons trois filles. George: Nous n'avons aucune information. Ayelet : Une est blessée ici, mais nous n'avons pas entendu parlé des trois autres. George: J'ai dit OK, c'est Bat-Chen, c'est ma fille . Etes-vous sûre qu'elle est morte? Ils ont dit que oui. Tzika: Ce jour-là, vers 6,30, je conduisais ma femme et mes filles au supermarché. Quand nous sommes arrivé là bas…. nous avons vu trois jeeps militaires israeliennes garées de l'autre côté de la rue. Quand nous avons dépassé la première jeep, ils ont ouvert le feu sur nous. Et ma fille de 12 ans Christine a été tuée dans la fusillade. Tzvi ...
Man 1: Zolang er onrechtvaardigheid bestaat, moet iemand zich opofferen! Vrouw 1: Dat is geen offer, dat is wraak! Als je doodt, is er geen verschil tussen het slachtoffer en de dader. Man 1: Als we vliegtuigen hadden, hadden we geen martelaars nodig, dat is het verschil. Vrouw: Het verschil is dat het Israëlische leger alsnog sterker is. Man: Laten we dan gelijk zijn in de dood. We hebben nog het Paradijs. Vrouw: Er is geen Paradijs! Het bestaat alleen in je hoofd! Man: Alsjeblieft zeg! Moge God je vergeven. Als jij niet Abu Azzam's dochter was geweest... Alleszins, liever een Paradijs in mijn hoofd dan een leven in deze hel! In dit leven zijn we toch dood. Man: Men kiest alleen het bittere als het alternatieve nog bitterder is. Vrouw: En
...[+++]wij dan? De achterblijvers? Winnen we zo? Zie je niet dat wat je doet ons vernietigt? En dat je Israël een alibi geeft om door te gaan? Man: Dus, zonder alibi houdt Israël ermee op? Vrouw: Misschien. We moeten er een morele oorlog van maken. Man: Hoe dan, als Israël immoreel is? Vrouw: Wees voorzichtig! George: Mijn vrouw Ayelet belde me op en zei: Er was een zelfmoordaanslag in Tel Aviv. Ayelet: Wat weet je over de slachtoffers? We zoeken drie meisjes. George: We hebben geen informatie. Ayelet: Er ligt er hier een gewonde, maar we weten niets over de andere drie. George: Ik zei: OK, dat is Bat-Chen, dat is mijn dochter. Weet U zeker dat ze dood is? Ze zeiden ja. Tzvika: Op die dag, rond 6:30, reed ik met mijn vrouw en dochters naar de supermarkt. Toen we daar aankwamen... zagen we drie Israëlische militaire jeeps geparkeerd aan de kant van de weg. Toen we de eerste jeep passeerden... openden ze het vuur op ons. Mijn 12-jarige dochter Christine werd gedood in het vuurgevecht. Tzvika: Ik ben het hoofd van alle afdelingen. George: Maar is er een leraar die verantwoordelijk is? Tzvika: Ja, ik heb assistenten. Ik heb elke dag met kinderen te maken. Tzvika: In het begin vond ik het een vreemd idee. Maar toen ik het logisch bekeek, zag ...Dans mon cas : J'ai investi. J'ai reçu des dizaines de millions de dollars grâce à des pitchs sous PowerPoint. J'ai investi des dizaines de millions de dollars. C'est tout, ça devrait vous ame
ner à votre but. Ça peut jouer, et tout le monde peut dire que c'est contre-intuitif. Ça peut être une histoi
re, une expérience. Mais vous devez attirer leur attention émotionnelle, centrée sur vous, dès les première
s secondes. Puis, à partir ...[+++] de là, vous devez leur faire suivre une trajectoire très claire, stable, croissante. Du début à la fin.
In mijn geval: Ik heb tientallen miljoenen opgehaald met Powerpointpitches. Ik heb tientallen miljoenen geïnvesteerd. Dat is het -- dat zou je moeten pakken. Dit kan een feit zijn, iets contra-intuïtiefs, het kan een verhaal of een ervaring zijn. Maar je moet hun emotionele aandacht op jou richten binnen die eerste paar seconden. Van daar af, moet je ze dan meenemen op een solide, gestaag opwaarts pad. Van begin tot eind.
Si c'est dans la rue, c'est qu'il y a une raison. » J'étais mal à l'aise de voir des gens qui étaient si près de moi et qui avaient faim. Cela ne fait que de renforcer la raison pour laquelle je fais ça. Des gens me demandent : « Fin, tu n'as pas peur que l'on te vole tes légumes ? » Et je leur réponds : « Mais pas du tout ! Je n'ai pas peur qu'on me vole des légumes. Ils sont dans la rue pour ça !
Dit staat niet voor niets op straat. Ik schaamde me om mensen te zien die zo dichtbij mij honger hadden. Het sterkte me in wat ik deed. Mensen vroegen me: Fin, ben je niet bang dat mensen je eten gaan stelen? Mensen vroegen me: Fin, ben je niet bang dat mensen je eten gaan stelen? Dan zeg ik: Nee, natuurlijk niet! Daarom staat het op straat.
Quand nou
s les retrouvons et leur demandons ce qui se passe, ils disent quelque chose comme, « je suis tout simplement pas
le genre créatif. » Mais nous savons que ce n'est pas vrai. Si ils suivent le processus à la lettre, si ils le suivent, ils finissent par faire des choses étonnantes et ils se surprennent eux-mêmes en voyant à quel point leurs équipes et eux-mêmes sont vraiment novateurs. Donc
j'ai examiné cette peur du jugement que nou ...[+++]s avons.
Als we ze achternagaan en vragen wat er aan de hand is, zeggen ze iets als: 'Ik ben gewoon niet zo creatief.' Maar wij weten dat dat niet waar is. Als ze het proces blijven volgen, komen er verbazingwekkend dingen uit. Dan staan ze ervan te kijken hoe vindingrijk zij en hun teams eigenlijk zijn. Ik ben onderzoek gaan doen naar onze angst voor beoordeling.
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Date index: 2024-04-29