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Note: les traductions des vidéos ont été réalisées par des volontaires qui ne sont pas tous des traducteurs professionnels, elles pourraient donc contenir des erreurs. Ces textes sont cependant intéressants pour retrouver des expressions du langage parlé par exemple.
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Traduction de «j'ai parlé l'année » (Français → Néerlandais) :
Donc j'ai pensé que je finirais par vous raconter juste quelques exemples à emporter, les grandes leçons que j'ai apprises pendant cette année.
Dus ik dacht af te sluiten door het te hebben over de volgende paar grote lessen die ik heb geleerd tijdens dat jaar.
J'ai été photographe pe
ndant de nombreuses années. En 1978, je travaillais pour le magazine Time, et on m'a donné une mission de trois jours pour photographier des enfants amérasiens - des enfants qui avaient été engendrés par les GI américains dans toute l'Asie du Sud-Est, puis abandonnés. 40.000 enfants dans toute l'Asie. Je n'avais jamais entendu le mot amé
rasiens avant. J'ai passé quelques jours à photographier des enfants dans différents pays, et comme beaucoup de photographes et de nombreux journalistes, j'ai toujours espoir que
...[+++], une fois mes photos publiées elles puissent effectivement avoir un effet sur une situation au lieu de simplement la documenter. Donc, j'étais tellement troublé par ce que j'ai vu, et j'ai été si malheureux de l'article qui a été publié après, que j'ai décidé de prendre six mois de congés. J'avais 28 ans. J'ai décidé de trouver six enfants de différents pays, et d'aller en fait vivre quelque temps avec ces enfants pour essayer de raconter leur histoire un peu mieux que je ne pensais l'avoir fait pour Time Magazine.
Ik ben vele jaren fotograaf geweest. In 1978 werkte ik voor het tijdschrift Time. Ik kreeg een driedaagse opdracht om Ameraziatische kinderen te fotograferen. Kinderen die verwekt waren door Amerikaanse soldaten, overal in Zuidoost-Azië, en dan achtergelaten -- 40.000 kinderen door heel Azië. Ik had het woord 'Ameraziatisch' nog nooit gehoord. Ik fotografeerde enkele dagen kinderen in verschillende landen. Zoals vele fotografen en journalisten hoop ik altijd dat als mijn foto's gepubliceerd worden, ze daadwerkelijk invloed hebben op de situatie, in plaats van slechts te documenteren. Ik werd zo geraakt door wat ik zag, en ik was zo ontevreden met het artikel dat volgde, dat ik besloot om 6 maanden vrijaf te nemen. Ik was 28 jaar. Ik besloot
...[+++] om met 6 kinderen in verschillende landen wat tijd door te brengen om te proberen hun verhaal wat beter te vertellen dan ik dacht voor Time te hebben gedaan.DH : Il est temps d'avoir l'aide de Richard. Oh. Bien, ok. BF : Vous savez, année après année, tous les ans à la conférence, c'est devenu pour nous une tradition de faire quelque chose de dangereux avec Richard. Nous avons toujours fait un numéro avec des fouets. C'est amusant, pendant des années, je l'ai exécuté alors que Daniel tenait les ballons.
DH: Het is tijd voor Richards hulp. Oh, goed, oké. BF: Weet je, door de jaren heen, ieder jaar op de conferentie, is het een traditie voor ons geworden om iets gevaarlijks te doen met Richard. En we hebben altijd al iets gedaan met zwepen in onze act. Het is grappig, jarenlang deed ik dat met Daniel die ballonnen vasthield.
Ces dix dernières années, j'ai commencé à chercher ces endroits où le béton cède face à la forêt, où les pins se transforment en cyprès, et j'ai vu tous ces moustiques et ces reptiles, tous ces désagréments, comme des affirmations que j'avais trouvé la vraie vie sauvage, et je les ai entièrement acceptées. En tant que photographe de conservation obsédé par l'eau noire, il est logique qu'au bout du compte, je finisse dans le marais le plus célèbre de tous : les Everglades. En grandissant ici, j'ai été bercé par ces noms enchanteurs, des endroits comme Loxahatchee et Fakahatchee, Corkscrew, Big Cypress. J'ai commencé ce qui est devenu un p
...[+++]rojet sur cinq ans dans l'espoir de présenter les Everglades sous un nouveau jour, sous un jour plus inspirant. Je savais que ce serait un défi. Il y a un endroit qui fait près du tiers de l'État de la Floride, c'est immense.
Dus de afgelopen tien jaar ben ik op zoek gegaan naar gebieden waar beton plaats maakt voor bossen en de dennen plaats maken voor cipressen. Ik zag al de muggen en reptielen, al deze ongemakken, slechts als bevestiging dat ik de ware wildernis gevonden had, en ik omarmde dat compleet. Als een fotograaf die geobsedeerd is door Blackwater, is het logisch dat ik uiteindelijk belandde in het meest beroemde moeras: de Everglades. Toen ik in Noord-Florida opgroeide hoorde ik altijd die betoverende namen, plaatsen als Loxahatchee en Fakahatchee, Corkscrew, Big Cypress. Ik begon met wat een vijfjarig project werd, om de Everglades in een nieuw licht te zetten, een meer inspirerend licht. Ik wist dat het niet gemakkelijk zou zijn, want het
is een geb ...[+++]ied dat ongeveer een derde van de staat Florida is, het is enorm.Et donc, ce que je faisais à Esper
ance cette première année était tout simplement de me promener dans les rues, et après trois jours j'ai eu mon premier client, et j'ai aidé cet homme qui fumait du poisson dans un garage, c'était un Maori, et je l'ai aidé à vendre au restaurant à Perth, à s'organiser, et puis les pêcheurs sont venu me dire, « C'est vous qui avez aidé le Maori ? Pouvez-vous nous aider ? » Et j’ai aidé ces cinq pêcheurs à travailler ensemble et à faire parvenir ces thons superbes non pas à la conserverie d’Albany à 6
0 centimes le kilo, mais nous avon ...[+++]s trouvé une façon d’emmener le poisson au Japon pour en faire du sushi à 15 dollars le kilo, et les fermiers ont venu me parler, ils m’ont dit, « Hé, vous les avez aidés. Pouvez-vous nous aider ? » En un an, j’avais 27 projets en cours, et le gouvernement est venu me voir pour me dire, « Comment faites-vous ça ? « Comment faites-vous ... ?Et j’ai répondu, « Je fais quelque chose de très, très, très difficile.
In dat eerste jaar in Esperance liep ik gewoon wat rond en binnen drie dagen had ik mijn eerste klant. Hij was een Maori die vis rookte in een garage. Ik hielp hem zijn vis te verkopen aan een restaurant in Perth. Daarna vroegen een paar vissers me: Heb jij die Maori geholpen? Kun jij ons ook helpen? Ik heb deze vijf vissers geholpen om hun mooie tonijn niet te verkopen aan de conservenfabriek
in Albany voor 60 cent per kilo. Wij stuurden die vis naar Japan voor 15 dollar per kilo, om sushi van te maken. Daarna kwamen boeren met mij praten: Je hebt hen geholpen. Kun je ons ook helpen? Binnen een jaar had ik wel 27 projecten, en de overhe
...[+++]id kwam naar me toe, en zei: Hoe doe je dat? Ik zei: Ik doe iets heel, heel, heel moeilijks.E
n fait, ça me rappelle quand, je ne sais p
as, il y a quelques années j'ai donné une conférence dans une école à Palo Alto dans laquelle il y avait une douzaine d'enfants d
e 11 ans. Je devais parler à ces enfants pendant une heure. A 11 ans, ils étaient tous assis en demi-cercle me regardant avec leurs grands yeux, et j'ai commencé, il y avait un grand tableau derrière moi, et j'ai commencé à écrire un 1 suivi de 22 zéro derrière, et j'ai dit « Très bi
...[+++]en, maintenant regardez, c'est le nombre d'étoiles dans l'univers visible, et ce nombre est tellement grand qu'il n'y a même pas de nom ». Et un de ces gamins a levé sa main et a dit, « Et bien, en fait il y en a un. C'est un Sextra-quadra-hexa-quelque chose ou autre». Pas vrai ?
Een paar jaar geleden gaf ik een lezing op een school in Palo Alto. Er waren ongeveer 12 kinderen van 11 jaar die kwamen luisteren. Ik kwam voor een lezing van een uur. Elfjarigen, die in een halve cirkel om mij heen zaten en naar me keken met grote ogen. Ik begon, er stond een whiteboard achter mij. Ik schreef een 1 met 22 nullen erachter en zei: Kijk, dit is het aantal sterren in het zichtbare heelal, en dit getal is zo groot dat er niet eens een naam voor bestaat. Eén van deze kinderen stak zijn hand op en zei: Er is eigenlijk wel een naam voor. Het is sextra-quadra-hexa of zoiets.
Allons-y. Acte 1 : une carte retrouvée. Je n'ai pas grandi à New York. J'ai grandi à l'Ouest, dans les montagnes de la Sierra Nevada, comme vous le voyez ici, dans le Red Rock Canyon. De ces premières années de ma vie, j'ai appris à aimer les paysages. Quand il fut temps pour moi de faire mes études supérieures, j'ai étudié le domaine nouveau de l'écologie des paysages.
Bedrijf I: Een gevonden kaart. Ik ben niet in New York opgegroeid, maar in het westen, in de Sierra Nevada, zoals je hier ziet, in de Red Rock Canyon. Door deze vroege ervaringen als kind leerde ik van landschappen houden. Toen het tijd werd voor mijn promotieonderzoek, koos ik het nieuwe veld van de landschapsecologie.
Donc pendant les années qui ont suivi, j'ai commencé à tester différentes façons de diffuser des événements en direct, pas seulement dans la rue, mais aussi dans des studios ou chez les gens, jusqu'au début 2013, l'année dernière, quand je suis devenu co-fondateur d'un groupe nommé « Mídia Ninja ».
Dus in de jaren die volgden, begon ik andere manieren van livestreamen uit te proberen, niet alleen op straat maar veelal in studio's en vanuit huizen, tot het begin van 2013, vorig jaar, toen ik de mede-oprichter werd van een groep genaamd Mídia NINJA.
Et pour rendre ce point encore plus visuel, j'ai nag
é sous le bateau et fait cette photo du gars pelletant cette prise accessoire dans la mer comme déchet et photographié cette cascade de mort, des animaux comme plusieurs sortes de raies, des soles, des poissons-globe, qui juste une heure auparavant, étaient au fond de l'eau, en vie, et qui sont maintenant des déchets. Je voulais aussi me concentrer sur l'industrie de la pêche au requin parce que, en ce moment sur la planète terre, nous tuons plus de 100 million de requins chaque a
nnée. Mais avant de partir faire ces ...[+++] photos, j'ai dû lutter avec la question de comment faire une photo d'un requin mort qui peut résonner auprès des lecteurs. Vous savez, je pense qu'il y a encore beaucoup de gens qui pensent que le seul bon requin est un requin mort. Mais ce matin j'ai plongé et trouvé ce requin renard qui venait de mourir dans le filet. Et avec ses énormes nageoires pectorales et ses yeux encore très visibles, ça m'est apparu comme une sorte de crucifixion.
En om dit punt beter te verbeelden, zwom ik onder de garnalenboot en maakte deze foto van de man die deze bijvangst in de zee gooide als afval en fotografeerde deze cascade van dood, dieren als gitaarvis, adelaarsrog, bot, kogelvis, die maar een uur eerder, op de bodem van de oceaan waren, levend, maar nu teruggegooid worden als afval. ik wilde
ook focussen op de haaivisindustrie omdat we, op dit moment op de planeet aarde, meer dan 100 miljoen haaien doden elk jaar. Maar voordat ik er op uit ging om dit te fotograferen, worstelde ik er een beetje mee hoe je een foto van een dode haai moet maken die wel goed overkomt bij de lezers. Ik de
...[+++]nk dat er nog steeds veel mensen zijn die denken dat de enige goede haai, een dode haai is. Maar vanochtend toen ik het water inging vond ik deze voshaai die nog maar net was doodgegaan in een kieuwnet. En met zijn grote pectorale vinnen en ogen nog zeer zichtbaar, leek het me net een soort kruisiging, als je het zo mag noemen.J'ai participé à un exorcisme tribal au Sénégal qui comprenait pas mal de sang de bélier et je ne m'y attardera
i pas en ce moment, mais quelques années plus tard je travaillais sur un autre projet, au Rwanda, et il m'est arrivé de décrire l'expérience à quelqu'un, et il m'a dit : « Eh bien, vous savez, ça c'est Afrique de l'Ouest, et ici c'est Afrique de l'Est, et nos rituels sont, en quelque sort, très différents, mais on en a certains qui partagent certains traits avec ce que vous décrivez. » Et j'ai répondu :« Ah bon. » Et il a dit : « Oui, mais on a eu pas mal de soucis avec des intervenants
...[+++]en santé mentale occidentaux, surtout ceux qui sont arrivés juste après le génocide. » Et j'ai demandé : « Quelle sorte de soucis ? » Et il a répondu : « Eh bien, ils faisaient cette chose bizarre. Ils ne faisaient pas sortir les gens sous le soleil, là où on se sent mieux. Ils n'ont pas utilisé les tambours ou la musique, pour animer les gens.
Ik onderging een tribaal exorcisme in Senegal. Daar was een heleboel ramsbloed bij nodig.
Ik zal niet ingaan op de details, maar een paar jaar daarna werkte ik in Rwanda aan een ander project. Ik beschreef die ervaring toevallig aan iemand, en hij zei: Nou, weet je, dat is West-Afrika, en we zijn hier in Oost-Afrika. Onze rituelen verschillen nogal wat, maar we hebben wat rituelen die lijken op wat u net beschreef. Ik : Oh. Hij: Ja, maar we hadden last met westerse geestelijke-gezondheidswerkers, vooral zij die net na de genocide naar hier kwamen. Ik vroeg: Wat voor problemen hadden jullie? Hij zei: Nou, ze deden zo’n bizarre dingen. Ze
...[+++]haalden mensen niet naar buiten in de zon waar ze zich beter zouden voelen. Ze gebruikten geen trommels of muziek om het bloed sneller te laten stromen. datacenter (12): www.wordscope.be (v4.0.br)
j'ai parlé l'année ->
Date index: 2023-12-11