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Note: les traductions des vidéos ont été réalisées par des volontaires qui ne sont pas tous des traducteurs professionnels, elles pourraient donc contenir des erreurs. Ces textes sont cependant intéressants pour retrouver des expressions du langage parlé par exemple.
Vous pouvez aussi visualiser directement ces passionnantes vidéos avec les sous-titres dans la langue de votre choix !
Traduction de «j'ai appris que mon grand » (Français → Néerlandais) :
Il est venu me voir et m'a dit, « Merci pour avoir commencé Movember. » Et j'ai dit, « Merci de faire Movember. » Je l'ai regardé et je lui ai dit, « Je suis plutôt sûr que vous ne pouvez pas vous faire pousser une moustache. » (Rires) Et je lui ai demandé, « Quelle est votre histoire Movember ? » Il
m'a répondu, « J'ai fait pousser la pire moustache qui soit. » (Rires) « Mais je suis rentré chez moi pour le diner de Thanksgiving et assez rapidement la conversation autour de la table a viré sur ce qui était en train de se passer. » (Rires) « Nous avons parlé -- Je leur ai parlé de Movember, et ensuite, mon père s'est approché, et à 26 an
...[+++]s pour la première fois, j'ai eu une conversation avec mon père sur la santé masculine. J'ai eu une conversation avec mon père sur le cancer de la prostate et j'ai appris que mon grand-père avait eu le cancer de la prostate et j'ai pu partager avec mon père qu'il avait deux fois plus de possibilités d'attraper la maladie, il ne le savais pas, et il n'avait pas passé de test de dépistage. » Alors, cet homme passera maintenant un test de dépistage.
Hij zei: Bedankt dat je met Movember bent begonnen. Ik zei: Bedankt dat je Movember doet. Ik keek hem aan, zo van: Jij kan vast geen snor laten staan. (Gelach) Ik zei: Wat is jouw Movemberverhaal? Hij zei: Ik liet de slechtste snor ooit staan. (Gelach) Maar ik ging naar huis voor Thanksgiving en het gesprek aan tafel ging al snel over wat
er verdorie aan de hand was. (Gelach) Ik praatte met hen over Mo
vember. Daarna kwam mijn papa op me af, en op mijn 26ste had ik voor de allereerste keer een gesprek met mijn papa over de gezondheid v
...[+++]an mannen. Het ging over prostaatkanker. Ik vernam dat mijn grootvader prostaatkanker had en ik kon met papa delen dat hij twee keer zoveel kans had op die ziekte, wat hij niet wist, en hij was niet gescreend. Die man laat zich nu screenen op prostaatkanker.Je l'ai appris dans mon travail avec les décideurs de l'arme nucléaire.
Ik heb dit geleerd in mijn werk met beleidsmakers voor nucleaire wapens.
Comme je l'ai appris de mon beau-père, ils ne sont pas le fruit du hasard, spécialement dans une ville comme New York, où les espaces publics doivent d'abord se battre pour exister, et ensuite pour être efficaces, quelqu'un doit donc penser très fort à tous les détails.
Zoals ik van mijn stiefvader heb geleerd, ontstaan ze niet vanzelf. Vooral niet in een stad als New York, waar je openbare ruimte al moet bevechten. En om te zorgen dat ze succesvol zijn, moet iemand over elk detail heel goed nadenken.
Comme on est à TED Active et que j'ai appris par mon analyse que je dois vous offrir quelque chose, je ne vais pas vous infliger la conférence ultime, ni la pire, mais vous donner un outil pour faire la vôtre.
Omdat dit TED Active is en ik geleerd heb van mijn analyse dat ik jullie echt iets moet geven, ik zal jullie niet de ultieme of slechtste TEDTalk opleggen, maar ik geef jullie het gereedschap om er zelf een te maken.
Si vous fouillez les recoins les plus sombres de votre mémoire, vous vous souviendrez peut-être de quelque chose de similaire à ce que j'ai ressenti quand mon grand-père est mort et que j'ai réalisé que ça pouvait m'arriver à moi aussi, la sensation que derrière tout cela, le néant nous guette.
Als je teruggaat naar de donkere hoeken van je geheugen, kan je je misschien voorstellen wat ik voelde toen mijn grootvader stierf en ik besefte dat het mij ook zou kunnen overkomen, het gevoel dat achter dit alles de leegte wacht.
Et je vais vous raconter une histoire, qui est très embarrassante pour moi, mais que je trouve importante. J'ai fait une allocution à Facebook il n'y a pas longtemps devant une centaine d'employés. Et deux heures plus tard, il y avait cette jeune femme qui travaille là assise devant mon petit bureau, et elle voulait me parler. J'ai dit d'accord, et elle s'est assise et nous avons parlé.
Et elle a dit, J'ai appris quelque chose aujourd'hui. J'ai appris que je dois gardé la main levée. j'ai dit, Que voulez-vous dire? elle a dit, Et bien, vous faites cette a
...[+++]llocution, et vous dites que vous allez prendre encore deux questions. Et je levais la main comme beaucoup d'autre gens, et vous avez pris deux questions de plus. Et j'ai baissé la main, et j'ai remarqué que toutes les femmes baissaient la main. Et puis vous avez pris encore deux questions, seulement celles des hommes. Et j'ai pensé en moi-même, ho, si c'est moi -- qui ça intéresse, évidemment -- qui fais cette allocution -- pendant cette allocution, je ne suis même pas capable de remarquer que les mains des hommes sont encore levées, et que les mains des femmes sont encore levées, que valons-nous comme directeurs de nos compagnies et de nos organismes quand il s'agit de voir que les hommes recherchent les opportunités plus que les femmes ne le font? Nous devons faire que les femmes s'asseyent à la table. (Applaudissements) Message numéro deux : faites de votre partenaire un vrai partenaire. J'ai acquis la conviction que nous avons plus progressé dans le monde du travail que nous ne l'avons fait dans nos foyers. Les données le montrent très clairement.
Zodadelijk vertel ik een verhaal dat erg gênant is voor mijzelf, maar ik vind het belangrijk. Niet zo lang geleden gaf ik een toespraak bij Facebook voor ongeveer 100 medewerkers. Een paar uur later was er een jonge vrouw die er
werkt, ze zit voor mijn bureautje en wil met me praten. Ik zeg OK, ze gaat zitten, we praten. Ze zei: Ik heb vandaag iets geleerd. Ik heb
geleerd dat ik mijn hand omhoog moet houden. Ik zei: Wat bedoel je? Ze zei: Wel, je gaf een toespraak en je zei dat je nog twee vragen zou beantwoorden. Ik had net als vele
...[+++]mensen mijn hand opgestoken, en je behandelde 2 vragen. Ik liet mijn hand zakken, en ik zag alle vrouwen hetzelfde doen, en toen beantwoordde je nog meer vragen, alleen van mannen. Ik bedacht voor mezelf: wow, als ik het ben -- die dit belangrijk vind -- die deze toespraak geef -- en ik merk tijdens de toespraak niet eens dat de handen van de mannen nog opgestoken zijn, dat de handen van de vrouwen nog opgestoken zijn, hoe goed zijn we dan als leiders van ons bedrijf en onze organisatie in opmerken dat de mannen meer opportuniteiten nastreven dan vrouwen? We moeten vrouwen een plaats aan de tafel laten innemen. (Applaus) Boodschap nummer twee: maak van je partner een echte partner. Ik ben ervan overtuigd dat we meer vooruit zijn gegaan op de arbeidsmarkt dan thuis. De data tonen dit zeer duidelijk.J'ai commencé à m'inquiéter du bien-être de ma tante, et de la sécurité de mon grand-père. J'ai cherché intensivement une solution pour aider ma famille. Mais je n'en ai pas trouvé. C'est alors, qu'une nuit, il y a deux ans, alors que je surveillais mon grand-père, je l'ai vu se lever de son lit.
Ik maakte me echt ongerust over het welzijn van mijn tante en ook over grootvaders veiligheid. Ik zocht hard naar een oplossing voor ons probleem, maar vond die niet. Tot zo'n twee jaar geleden. Ik moest op mijn grootvader letten en ik zag hem uit bed stappen.
Alors, je me faisais entrer de force dans mon studio de danse, corps, esprit et âme, chaque jour dans mon studio de danse, pour apprendre tout ce que j’ai appris quand j’avais quatre ans, le tout de nouveau, appris de nouveau, travaillé de nouveau, groupé de nouveau.
Dus ik sleepte mezelf naar mijn dansstudio, lichaam, geest en ziel, elke dag de dansstudio in, en al die dingen leren die ik leerde toen ik vier was, helemaal opnieuw, herwerkt, herleerd, hergegroepeerd.
Et le gars m'a dit : Ce n'est
pas possible. Cette grand-mère ne voudra même pas - vous savez, elle ne te laissera jamais rencontrer cette fille
qu'elle élève. J'ai pris une traductrice avec moi, et je suis allé dans ce village trouver la grand-mère, je me suis assis avec elle. Et à mon grand étonnement, elle a accepté de me laisser photographier sa petite-fille. Et je payais de ma poche , alors j'ai demandé à la traductrice si c'était d'accord pour que
je reste pour la semain ...[+++]e. J'avais un sac de couchage. La famille avait une petite remise à côté de la maison, alors j'ai dit: Pourrais-je dormir dans mon sac de couchage le soir? Et j'ai dit à la petite fille, dont le nom était Hyun Sook Lee, que si jamais je faisais quelque chose qui la gênait - elle ne parlait pas un mot d'anglais, même si elle avait l'air très américaine - elle pouvait simplement lever la main et dire: Stop. Et j'arrêterais de prendre des photos. Et puis ma traductrice est partie. J'étais donc là, je ne parlais pas un mot de coréen, et c'était la première nuit que je voyais Hyun Sook. Sa mère était encore en vie. Sa mère ne l'élevait pas, sa grand-mère l'élevait. Et ce qui m'a frappé immédiatement c'était combien ces deux personnes s'aimaient.
De man verzekerde me: Dat gaat je nooit lukken. De oma zal nooit toelaten dat je dit meisje ook maar ziet. Ik nam een tolk mee en
ging naar het dorp, vond de grootmoeder, ging bij haar zitten. Tot mijn verbijstering kreeg ik toestemming van haar om haar kleindochter te fotograferen. Ik betaalde dit zelf, dus ik vroeg aan de tolk of ik een week ter plekke mocht logeren. Ik had een slaapzak. De familie had een klein schuurtje naast het huis, dus ik vroeg: Kan ik daar 's nachts in mijn slaapzak slapen? Ik vertelde het meisje, dat Hyun-Soek Lie heette, dat als ik haar ooit in verlegenheid bracht -- ze sprak geen woord Engels, hoewel ze er Amerikaan
s uitzag - ...[+++]- ze haar hand kon opsteken en zeggen: Stop . Dan zou ik stoppen met het nemen van foto's. Toen vertrok mijn tolk. Daar zat ik dan, ik sprak geen woord Koreaans. Dit is op de avond dat ik Hyun-Soek ontmoette. Haar moeder leefde nog. Haar moeder voedde haar niet op, dat deed haar oma. Wat me onmiddellijk opviel, was hoezeer deze twee mensen van elkaar hielden.A force de parler autant de mon vagin, plusieurs femmes ont commencé à me parler des leurs -- leurs histoires
de leurs corps. En fait, ces histoires m’ont obligé
e à voyager dans le monde, j’ai voyagé dans plus de 60 pays. J’ai entendu des milliers d’histoires. Et je dois vous dire, il y avait toujours ces moment où une femme partageait avec moi cet instant particulier où elle s’était séparée de son corps -- en quitt
ant son foyer. J’ai appris de femmes qui ont é ...[+++]té agressées dans leurs lits, fouettées dans leurs burqas, laissées pour mortes dans des parkings, brûlées à l’acide dans leurs cuisines. Certaines femmes se sont tues et ont disparu.
O
mdat ik zoveel over mijn vagina praatte, begonnen veel vrouwen me over die van hen te vertellen -- hun verhalen over hun lichamen. Die verhalen dwongen mij de wereld over, en ik ben in meer dan 60 landen geweest. Ik heb duizenden verhalen gehoord. En ik moet zeggen, er was altijd zo'n moment waarop vrouwen precies konden uitleggen op welk moment ze niet verenigd waren met hun lichaam -- wanneer ze niet thuis waren. Ik hoorde over vrouwen
die in hun bed zijn aangerand, gegeseld in hun burka's, voor dood zijn achtergelaten in parkeerpl
...[+++]aatsen, met zuur verbrand in hun keukens. Sommige vrouwen werden stil en verdwenen. datacenter (12): www.wordscope.be (v4.0.br)
j'ai appris que mon grand ->
Date index: 2023-04-06