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Note: les traductions des vidéos ont été réalisées par des volontaires qui ne sont pas tous des traducteurs professionnels, elles pourraient donc contenir des erreurs. Ces textes sont cependant intéressants pour retrouver des expressions du langage parlé par exemple.
Vous pouvez aussi visualiser directement ces passionnantes vidéos avec les sous-titres dans la langue de votre choix !
Traduction de «fais c'est explorer cet espace » (Français → Néerlandais) :
Donc tout ce que je fais c'est explorer cet espace du T et y passer à travers avec une action.
Ik verken de ruimte 'T' en stuur die door met een actie.
Le légendaire sculpteur Antony Gormley examine l'espace et la forme humaine. Ses oeuvres explorent l'espace intérieur que nous ressentons dans nos corps - et l'espace extérieur que nous percevons autour de nous, en sachant que nous ne sommes que des points dans l'espace et dans le temps.
De legendarische beeldhouwer Antony Gormley geeft een voorstelling over ruimte en de menselijke vorm. Zijn werk verkent de innerlijke ruimte die we in ons eigen lichaam voelen, en de uiterlijke ruimte die we om ons voelen, in het besef dat we slechts puntjes zijn in ruimte en tijd.
Au lieu d'explorer l'espace extérieur, j'ai voulu explorer les merveilles qui se cachent sous nos pieds.
Ik verschoof mijn aandacht van het buitenaardse naar de wonderen van het binnenaardse.
Ça s'est fait sur une période de deux ou trois ans, et maintenant nous sommes l'organisation numéro un, qui explore l'espace en votre nom à tous.
En dat gebeurde allemaal binnen een paar jaar en nu zijn we de toonaangevende organisatie, en ontdekken we de ruimte uit naam van iedereen.
On dirait de
la science-fiction, mais pour le journaliste Stephen Petranek, c'est un fait : dans moins de 20 ans, les humains viv
ront sur Mars. Dans cette conférence provocante, Stephen Petranek défend la thèse que les humains deviend
ront une espèce qui explore l'espace et décrit à l'aide de détails fascinants comment nous ferons de Mars notre prochain chez-nous. « Les humains survivront qu
...[+++]oi qu'il arrive sur Terre », dit Petranek. « Nous ne serons jamais les derniers de notre espèce. »
Het klinkt als science fiction, maar voor journalist Stephen Petranek leidt het geen twijfel: binnen 20 jaar zullen er mensen leven op Mars. In deze provocerende talk legt Petranek uit dat de mens een ruimtevarende soort zal worden en beschrijft hij in fascinerend detail hoe we van Mars ons volgende thuis zullen maken. Mensen zullen overleven, ongeacht wat er op Aarde gebeurt , zegt Petranek. We zullen nooit de laatste van onze soort zijn.
(
Rires). Peut-être que Google m'engagerait. J'irais zipper vos serveurs et firewalls comme un virus, jusqu'à ce que le World Wide Web soit aussi sage, sauvage et organisé J'irais zipper vos serveurs et firewalls comme un virus, jusqu'à ce que le World Wide Web soit aussi sage, sauvage et organisé qu'un miracle oracle des temps mo
dernes peut l'être, mais, ohhh, tu verras comment je craque ton Mac, ou dépèce ton PC, quand je planerais sur la sphère dieu.net. ou dépèce ton PC, quand je planerais sur la sphère dieu.net. J'imagine que c'es
...[+++]t la vie. La question n'est pas de savoir si tu peux. Mais, qu'est-ce tu fais ? La question n'est pas de savoir si tu peux. Mais, qu'est-ce tu fais ? On peut interférer avec l'interface. On peut faire du « Millionième visiteur » l'hymne du cyber-espace chaque fois qu'on se connecte au bon moment. On peut faire du « Millionième visiteur » l'hymne du cyber-espace chaque fois qu'on se connecte au bon moment. Vous ne prierez pas. Vous n'écrirez pas de psaume. Vous ne psalmodierez pas. Vous ne ferez qu'envoyer un email béni à celui en qui vous croyez à l'adresse : daladali@dalidada.com.
(Gelach) Wellicht zou Google dit willen huren. Ik zou me verspreiden over je servers en firewalls als een virus tot het World Wide Web net zo verstandig, wild en georganiseerd is als een hedendaagse mirakel-slash-orakel kan zijn,
maar, oooeeioeioe, weet je hoe niet-PC en niet fijn jouw sjieke Mac of PC gaat zijn na lancering van hot-shit-hotshot-god.net? 't Is hetzelfde als 't leven. 't Is geen kwestie van 'Kun je?'. Eerder van 'Doe je?'. Wij kunnen interferen met het interface. We kunnen 'You've Got Halleluja
h' 't volkslied van cyberspace maken elk ...[+++]e gelukkige keer dat we ons aanmelden. Je bidt niet. Je componeert geen psalm. Je chant geen 'Ohm'. Wel stuur je maar één gezegend mailtje aan wie je ook denkt @ ... ♫ dadela-dat-dat-dat-daaa-dah ♫ [In The Mood] dot com.Vous voyez, quand j'ai dit au début que c'est à propos de pourquoi, plutôt que de comment? Le pourquoi voulait en fait dire, Quelles conséquence
s y a-t-il quand je fais un pas? Pourquoi est-ce important?
Est-ce important que je sois dans le monde ou pas? Et est-ce important si le genre d'actions que je prends laisse passer un sens des responsabilités? Est-ce que l'art est à propos de cela? Et je dirais que oui. Ce n'est évidement pas sim
plement à propos de décorer le monde et de lui ...[+++]donner une apparence encore meilleure. Ou encore pire, si vous me demandez. C'est manifestement aussi à propos de prise de responsabilité, comme je l'ai fait ici, en jetant du colorant vert dans la rivière à Los Angeles, Stockholm, en Norvège, et à Tokyo, parmi d'autres endroits. Le colorant vert n'est pas écologiquement dangereux, mais il a clairement l'air assez effrayant. Et c'est, dans un sens, dans l'autre aussi, je pense, plutôt beau. Cela montre d'une certaine manière, la turbulence dans ces zones urbaines, dans ces différents endroits du monde. La Green River (rivière verte), comme une sorte d'idée activiste, pas comme une partie d'exposition, avait vraiment pour but de montrer aux gens, dans cette ville, quand ils marchent à côté, qu'un espace a des dimensions. Un espace a un temps.
Begrijp je wat ik zei in het begin: het gaat meer om waarom dan hoe. Die waarom betekent eigenlijk: welke gevolgen heeft het wanneer ik
een stap neem? Wat doet het ertoe? Doet het ertoe of ik op de wereld ben of niet? Maakt het uit of de acties die ik neem, resulteren in een gevoel van verantwoordelijkheid? Gaat kunst daarover? Ik zou ja zeggen. Het gaat duidelijk over... niet alleen over de wereld aankleden en deze nog mooier maken, of nog erger, als je het mij vraagt. Het gaat duidelijk ook over verantwoordelijkheid nemen, zoals hier door groene verf in de rivier te gooien in L.A., Stockholm, Noorwegen en Tokio, onder andere. De verf is niet g
iftig maar ...[+++] het oogt echt nogal eng. Aan de andere kant is ze ook behoorlijk mooi. Op de een of andere manier toont ze de turbulentie in dit soort stadscentra, op deze verschillende plekken op aarde. De 'Groene rivier' als een soort activistisch idee, geen deel van een tentoonstelling. Het ging echt om mensen in deze stad in het voorbijgaan te laten zien dat ruimte dimensies heeft. Een ruimte heeft tijd.Si nous espérons un jour
quitter la Terre et explorer l'univers, nos corps vont devoir être beaucoup plus efficaces pour survivre aux conditi
ons difficiles de l'espace. À l'aide de la biologie synthétique, Lisa Nip espère maîtriser les pouvoirs spéciaux de microbes sur la Terre — tels que la capacité à résister aux radiations — pour rendre les humains plus aptes à l'exploration de l'espace. « Nous approchons d'une époque durant laquelle nous serons capables de décider de notre propre destinée génétique », dit-elle. « Ajouter au corps
...[+++]humain de nouvelles capacités n'est plus une question de faisabilité, mais de temps. »
Als we hopen om ooit de Aarde te verlaten en het heelal te verkennen, zullen onze lichamen een stuk beter moeten zijn om de barre omstandigheden van de ruimte te overleven. Door middel van synthetische biologie hoopt Lisa Nip om de speciale krachten van microben op Aarde te benutten - zoals de mogelijkheid om straling te weerstaan - om de mens meer geschikt te maken voor het verkennen van de ruimte. We naderen een tijd waarin we zullen kunnen beslissen over ons eigen genetische lot , zegt Nip. Het versterken van het menselijk lichaam met nieuwe vaardigheden is niet langer een kwestie van hoe, maar van wanneer.
A
ller dans l'espace est difficile Même si pouvoir voir notre planète depuis l'espace grâce à un moyen simple et peu coûteux serait génial, Pour le moment le seul moyen est de devenir astrona
ute ou milliardaire Mais il existe un concept
qui pourrait rendre cela possible Et qui pourrait définir le point de départ pour l'exploration de l'Univers : L'ascenseur spatial Comment marche-t-il exactement ? Pour comprendr
...[+++]e comment un ascenseur spatial nous amènerait dans l'espace Nous devrons d'abord comprendre ce qu'est une orbite Être en orbite revient fondamentalement à tomber vers quelque chose en étant suffisamment rapide pour le rater. Si vous lancez une balle sur Terre, elle décrit une trajectoire en arc avant de retomber par terre. Dans l'espace, la gravité agit de manière similaire Mais si vous vous déplacez obliquement (de côté) assez vite La courbe de la Terre fait s'éloigner le sol en dessous de vous aussi rapidement que la gravité vous attire vers le sol Donc pour entrer en orbite autour de la Terre Les fusées doivent s'élever verticalement ET de travers rapidement Au contraire un ascenseur spatial exploiterait l'énergie de la rotation de la Terre pour accélérer la cargaison. Imaginez un enfant faisant tourner un jouet au bout d'une corde avec une fourmi sur la main. Alors que la fourmi escalade la corde, celle-ci se déplace de plus en plus vite. Comparé aux fusées, avec un chargement lancé depuis un ascenseur on a seulement besoin de fournir l'énergie pour bouger verticalement. Le mouvement oblique est ensuite fourni gratuitement par la rotation de la Terre ! Mais un ascenseur spatial serait sans aucun doute la structure la plus grande et la plus coûteuse jamais construite par l'humanité. Alors, Est-ce que ça vaudrait le coût ? Tout se résume à une question d'économie. Les fusées consomment d'énorme quantité de carburant, juste pour envoyer des petites livraisons dans l'espace Aux prix actuels, il faut environ 20 000 dollars pour envoyer un seul kilogramme de mar ...
Het is lastig om de ruimte in te komen. Hoewel we allemaal wel zouden willen dat er een gemakkelijke, en betaalbare manier is om naar de ruimte te komen. Op dit moment is dat alleen mogelijk als je een astr
onaut of miljardair bent. Maar er is een concept dat het misschien mogelijk maakt, wat ook als startpunt voor de verkenning van het universum kan dienen. De ruimtelift. Maar, hoe werkt het? Om te begrijpen hoe een ruimtelift ons de ruimte in kan
krijgen, moeten we eerst kijken naar wat een baan is. In een baan zijn betekent: Naar ie
...[+++]ts toe vallen maar snel genoeg gaan om het te missen. Als je een bal op aarde gooit, maakt het een boog door de lucht en raakt daarna de grond. In de ruimte, laat de zwaartekracht je ongeveer op dezelfde manier bewegen Maar als je snel genoeg zijwaarts beweegt zal door de kromming van de aarde, de grond net zo snel onder je weg vallen als de zwaartekracht van de aarde je ernaartoe trekt dus, om in de baan van de aarde te komen moeten raketten snel omhoog en zijwaarts gaan. In tegenstelling gebruikt een ruimte lift de energie van de omwenteling van de aarde om de vracht snel voort te brengen. Stel je een kind voor dat een stuk speelgoed draait aan een touwtje. Met een mier op zijn hand. Als de mier omhoog kruipt langs het touwtje, gaat hij steeds sneller hoe meer hij stijgt. Vergeleken met een raket, hoef je met een ruimtelift alleen maar de energie te leveren om omhoog te gaan. De zijwaartste beweging komt gratis bij de snelle draaiing van de aarde. Maar een ruimtelift zou, zonder twijfel, het grootste en duurste object zijn dat ooit door mensen in gebouwd Dus, is het dat het wel waard? Het komt allemaal neer op de kosten. Raketten verbranden ongelooflijk veel raketbrandstof, alleen maar om een klein beetje vracht de ruimte in te krijgen. Met de huidige prijzen kost het ongeveer 20.000 dollar om één kilo de ruimte in te krijgen Dat is 1.3 miljoen dollar voor een mens 40 miljoen dollar voor je auto Miljarden voor een ruimtestation Deze e ...Nous partageons d'autres types de divertissements -- des stades, des parcs publics, des salles de concerts, des bibliothèques. des universités. Toutes ces choses sont des plateformes de partage mais le partage en fin de compte commence et fini
t avec ce à quoi je fais référence comme la mère de toutes les plateformes de partage. Et quand je pense au maillage et que je pense à ce qui le fait avancer, comment se fait-il que ça se passe maintenant, je pense qu'il y a un certain nombre de vecteurs que je veux vous donner comme contexte. L'un de ces vecteurs est la récession -- le fait que la récession nous ait amenés à repenser notre relation
...[+++] aux choses dans nos vies en fonction de leur valeur -- donc en commençant à aligner la valeur avec le coût véritable. Deuxièmement, l'accroissement de la population et la densité des villes. Plus de gens, des espaces plus petits, moins de choses. Le changement climatique. Nous essayons de réduire le stress dans nos vies personnelles et dans nos communautés et sur la planète. Il y a eu aussi cette méfiance récente vis-à-vis des grands marques, des grandes marques internationales, dans un tas d'industries différentes. Et cela a créé une ouverture. La recherche montre ici, aux Etats-Unis, et au Canada et en Europe de l'Ouest que la plupart d'entre nous sont beaucoup plus ouverts aux compagnies locales, ou à des marques dont nous n'avons peut-être pas entendu parler.
We delen andere soorten van vermaak: sportarena's, openbare parken, concertzalen, bibliotheken, universiteiten. Dit zijn allemaal platforms voor delen, maar delen begint en eindigt uiteindelijk bij wat ik noem 'de moeder van alle deelplatforms'. Als ik over het maaswerk nadenk, waardoor dat gedreven wordt, hoe het kan dat het nu gebeurt, denk ik dat er een aantal drijfveren zijn die ik als achtergrond wil geven. Een ervan is de recessie. De recessie heeft ervoor gezorgd dat we de verhouding tot spullen in ons leven zijn gaan heroverwegen. Dat we de waarde van spullen zijn gaan afstemmen op de werkelijke kosten. Ten tweede, de groei van de bevolking en de dichtheid in steden. Meer mensen, kleinere ruimtes, minder spullen. Klimaatverandering.
...[+++] We proberen de stress te verminderen in ons persoonlijk leven, in onze gemeenschap en op de planeet. Ook is er sinds korte tijd wantrouwen jegens wereldwijde, grote ondernemingen in een aantal verschillende bedrijfstakken. Dat heeft een opening gecreëerd. Onderzoek toont aan dat hier in de V.S., in Canada en in West-Europa de meeste mensen meer open staan voor lokale bedrijven of namen die misschien onbekend zijn. datacenter (12): www.wordscope.be (v4.0.br)
fais c'est explorer cet espace ->
Date index: 2024-09-14