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Note: les traductions des vidéos ont été réalisées par des volontaires qui ne sont pas tous des traducteurs professionnels, elles pourraient donc contenir des erreurs. Ces textes sont cependant intéressants pour retrouver des expressions du langage parlé par exemple.
Vous pouvez aussi visualiser directement ces passionnantes vidéos avec les sous-titres dans la langue de votre choix !
Traduction de «entendre c'était est-ce » (Français → Néerlandais) :
Et sachez que vous êtes malade, que vous n'êtes pas faible, et que c'est une maladie, et non pas une identité, parce que ce n'est que quand vous surmontez votre peur du ridicule, du jugement et de la stigmatisation des autres, que vous arrivez appréhender la dépression à sa juste mesure, elle fait partie intégrante de la vie, une partie intégrante de la vie, et autant que je hais, autant que je hais les endroits obscurs, dans lesquels la dépression m'a conduit à me retrouver. A bien des égards, je suis lui reconnaissant d'avoir connu cela. Parce que oui, ça m'a poussé au fond
du ravin, mais ce n'était que pour mieux apercevoir les sommet
...[+++]s. Oui, ça m'a plongé dans l'obscurité, mais ce n'était que pour mieux apprécier la lumière. En 19 ans, ma douleur, plus que tout autre chose sur cette planète, m'a donné une perspective, et ma blessure, ma blessure m'a contraint à avoir de l’espoir, avoir de l'espoir et avoir foi, foi en moi-même, foi en les autres, foi en un lendemain meilleur, où l'on pourrait changer la donne, où l'on pourrait se faire entendre, s'exprimer et lutter contre l'ignorance, où l'on pourrait se battre contre l'intolérance, et plus que tout, apprendre à s'aimer soi-même, apprendre à s'accepter tel que l'on est, pour ce que l'on est, pas pour ce les gens voudraient que l'on soit.
Besef dat je ziek bent, niet zwak, dat het een probleem is, geen identiteit. Als je de angst, de spot, het oordeel en het stigma van anderen van je afzet, kan je depressie zien als wat ze werkelijk is: gewoon een deel van het leven. gewoon een deel van het leven. En hoezeer ik ze ook haat, hoezeer ik de plaatsen haat, de delen van mijn leven waar de depressie me naartoe sleepte, ik ben er op allerlei manieren dankbaar voor. Want ja, ze duwde me in dalen, maar alleen om me te tonen dat er pieken zijn, ze sleepte me door het donker, maar alleen om me te herinneren aan het licht. Mijn pijn, meer dan om het even wat in de 19 jaar op deze planeet, heeft mij perspectief gegeven, mijn pijn dwong me om te hopen en te geloven in mezelf, in anderen,
...[+++]geloven dat het beter kan worden, dat we dit kunnen veranderen, dat we ertegen kunnen opkomen, ervoor uitkomen en vechten tegen de onwetendheid, tegen de intolerantie. Meer dan eender wat te leren om onszelf lief te hebben, te leren te accepteren wie we zijn, de mensen die we zijn en niet de mensen die de wereld wil dat we zijn.Abed était encore loin de mon esprit, lorsque l'année dernière, je suis retourné en Israël pour écrire sur l´accident, et le livre que j'ai alors écrit, « Une Vie à Moitié » était presque terminé quand j'ai réalisé que je voulais toujours rencontré Abed, et j'ai finalement compris pourquoi : entendre cet homme dire trois mots : « Je suis désolé. » Les gens s'excusent pour moins que ça.
Toch was Abed niet in mijn gedachten toen ik vorig jaar terugkeerde naar Israel om over het ongeluk te schrijven. Het boek wat ik toen schreef was getiteld ‘Half-Life’. Het was bijna klaar toen ik erkende dat ik Abed toch wou ontmoeten. Ik begreep eindelijk waarom: ik wilde de man drie woorden horen zeggen: Het spijt me. Mensen bieden hun excuses aan voor minder.
Entendre la déception dans la voix de quelqu'un était, et reste toujours, notre principale motivation pour continuer à progresser.
En die teleurstelling in het stemgeluid van mensen was, en dat is het nog steeds, onze grootste motivatie om te blijven verbeteren.
Et il y a les écoles nationales, qui sont les meilleures, et il y a les écoles de province. L'école dont je rê
vais à cette epoque était le Lycée du Kenya, une école nationale. J'ai raté la note minimale à un point près. Et j'étais tellement désemparée, je me disais Mon Dieu, qu'est ce que je vais faire maintenant? Et mon pere a dit écoute allons à cette école et parlons à la directrice. C'est juste un poi
nt après tout, peut etre qu'elle te laissera entrer s'il reste des places Donc on est allé à l'école et parce que nous n'étions pas
...[+++]des gens importants, que nous n'avions aucun privilège et parce que mon père n'avait pas le bon nom de famille il s'est fait traité comme un moins que rien. Et je me souviens être assise et entendre la directrice lui dire: vous vous prenez pour qui ? Vous êtes un rigolo pour penser que vous pourriez avoir une place Et dans mon collège, il y avait d'autres filles, elles étaient filles d'hommes politiques et leurs résultats étaient bien moins bons que les miens mais elles étaient rentree au Lycée du Kenya.
We hebben nation
ale scholen, die de beste zijn, en provinciale scholen. Mijn droomschool was toen 'Kenia High School', een nationale school. Ik zakte vanwege één punt. Ik was zo teleurgesteld en dacht: Ik zakte vanwege één punt. Ik was zo teleurgesteld en dacht: Wat ga ik nu doen? Mijn vader zei: Oké, luister. We gaan met de directrice praten. Mijn vader zei: Oké, luister. We gaan met de directrice praten. Het gaat maar over één punt. Misschien laat ze je toe als de plek er nog is. We gingen naar de school. Omdat we niet belangrijk en niet bevoorrecht waren en mijn vader niet de juiste achternaam had, werd hij als vuil behandeld. Ik hoor
...[+++]de de directrice zeggen: Wie denkt u dat u bent? Maakt u een grap of denkt u echt dat wij u die plek geven? Op mijn school zaten andere meisjes, kinderen van politici, die het veel slechter deden dan ik en zij werden toegelaten.Et Mimi était en larmes quand elle a expliqué qu'entendre parler de ces efforts lui donne de l'espoir pour les générations futures, y compris pour sa fille.
En Mimi was in tranen toen ze uitlegde hoe het leren over deze inspanningen haar hoop geeft voor de toekomstige generaties, met inbegrip van haar eigen dochter.
Les deux partis doivent absolument la résoudre, mais aucun des deux ne veut être le premier à le faire. Aucun des partis n'a de raison de la résoudre une seconde avant qu'elle n'arrive. Donc il m'a dit, en Décembre, tu vas voir un tas de négociations féroces, de négociations échouées, des rapports de conférences téléphoniques qui n'aboutissent pas, des gens qui disent que rien du tout ne se passe, et soudain, aux environs de Noël ou du
jour de l'An, on va entendre: « Ok, ils ont tout résolu. » Il m'a dit cela il y a quelques mo
is. Il disait qu'il était sur à 98% ...[+++] qu'ils arriveraient à résoudre le problème. Et aujourd'hui, j'ai reçu un email de lui disant, d'accord, nous sommes sur la bonne voie, mais maintenant je suis sûr à 80% qu'ils arriveront à résoudre le problème. Et du coup, ça m'a fait réfléchir. J'adore étudier ces moments de l'histoire américaine quand il y a ces folies de colère partisane, que l'économie est sur le bord de l'effondrement total.
Beide partijen moeten eruit zien te komen maar geen van beiden wil gezien worden als de eerste die het oplost. Geen van beide partijen heeft er voordeel bij om het één seconde vroeger op te lossen dan nodig. In december ga je boze onderhandelingen zien, onderhandelingen die afbreken, telefoongesprekken die niet goed verlopen, mensen die zeggen dat er helemaal niets gebeurt e
n ergens rond Kerstmis of Nieuwjaar gaan we horen dat ineens alles is opgelost. Dat was een paar maanden geleden. Hij zei dat hij er 98 % zeker van was dat ze het zouden oplossen. en vandaag kreeg ik een e-mail waarin hij zei dat hij nu voor 80 % zeker was dat ze het
...[+++]gingen oplossen. Dat zette me aan het denken. Ik hou van die momenten in de Amerikaanse geschiedenis van hevige partijdiscussies, waarbij de economie op de rand van de totale instorting staat.Au lieu de ça, il y a eu une litanie d'optimisme ahurissant. À partir de 2004, chaque général est arrivé en disant : « J'ai hérité d'une situation lamentable, mais j'ai enfin les ressources et la stratégie adéquates, qui feront de cette année, selon les termes du général Barno en 2004, « l'année décisive ». Eh bien devinez quoi? Ça n'est pas arrivé. Mais ça n'a pas empêché le général Abuzaid de dire qu'il avait la stratégie et les ressources pour livrer, en 2005, « l'année décisive ». Ou encore le général David Richards d'arriver en 2006 et de dire qu'il avait la stratégie et les ressources pour offrir « l'année écrasante ». Ou, en 2007, l'adjoint du Ministre des affaires étrangères norvégien, Espen Eide, de dire qu'il allait apporter « l'a
...[+++]nnée décisive ». Ou, en 2008, le major-général Champoux d'arriver et de dire qu'il allait fournir « l'année décisive ». Ou, en 2009, mon grand ami, le général Stanley McChrystal, de dire qu'il était « en plein dans l'année décisive ». Ou, en 2010, le Ministre des affaires étrangères britannique, David Miliband, de dire que nous allions enfin obtenir « l'année décisive ». Et vous serez ravis d'entendre qu'en 2011, aujourd'hui, Guido Westerwelle, le Ministre des affaires étrangères allemand, nous garantit que nous sommes dans « l'année décisive ». (Applaudissements) Pourquoi laissons-nous tout ceci se produire ? Eh bien la réponse est, bien sûr, que si vous dépensez 125 ou 130 milliards de dollars par an dans un pays, vous vous mettez dans la poche presque tout le monde, même les organisations humanitaires, qui commencent à recevoir d'énormes quantités d'argent des gouvernements américain et européens pour construire des écoles et des cliniques, sont peu disposées à récuser l'idée que l'Afghanistan est une menace existentielle pour la sécurité mondiale. Elles sont inquiètes, en d'autres termes, que si quelqu'un pense que ce n'est pas une telle menace, Oxfam, Save the Children, ne recevront pas l'argent pour construire leurs hôpitaux ...
In plaats daarvan was er een litanie van verbijsterend optimisme. Beginnend in 2004 kwam elke generaal binnen
en zei, Ik heb een ellendige situatie geërfd, maar eindelijk heb ik de juiste middelen en strategie, die zullen zorgen voor , in generaal Barno's woorden in 2004, het beslissende jaar . Raad eens? Dat was het geenszins. Maar dat belette generaal Abuzaid niet te zeggen dat hij de strategie en middelen had om in 2005 te zorgen voor het beslissende jaar . Of generaal David Richards die in 2006 zei dat hij de strategie en de middelen had om te zorgen voor het kanteljaar . Of in 2007, Espen Eide, de Noorse staatssecretaris Buitenlands
...[+++]e Zaken, die zei dat hij zou zorgen voor het beslissende jaar . Of in 2008, generaal-majoor Champoux die binnenkwam en zei dat hij zou zorgen voor het beslissende jaar Of in 2009, mijn grote vriend, generaal Stanley McChrystal, die zei dat hij tot zijn knieën in het beslissende jaar stond. Of in 2010, David Miliband, de Britse minister van Buitenlandse Zaken, die zei dat hij eindelijk zou gaan zorgen voor het beslissende jaar . En jullie zullen blij zijn te horen, nu in 2011, dat Guido Westerwelle, de Duitse minister van Buitenlandse Zaken, ons verzekert dat we aanbeland zijn in het beslissende jaar . (Applaus) Hoe kan het dat we dit allemaal laten gebeuren? Het antwoord is uiteraard dat als je 125 miljard of 130 miljard dollar per jaar uitgeeft in een land, je bijna iedereen erbij betrekt. Zelfs de hulpverleningsorganisaties -- die dan enorme hoeveelheden geld krijgen van de Amerikaanse en Europese overheden om scholen en hospitalen te bouwen -- zijn niet echt bereid om tegen te spreken dat Afghanistan een existentieel gevaar vormt voor de internationale veiligheid. Ze vrezen met andere woorden, dat als mensen geloven dat het niet zo'n probleem is -- Oxfam, Save the children -- geen geld zouden krijgen om hun scholen en hospitalen te bouwen. Ook is het erg moeilijk om een generaal met medailles op zijn borst, tegen te spreken. Het i ...Je sais que c'était important pour vous de m'entendre, moi, votre professeure, celle qui a vu le monde qui vous est interdit, déclarer votre ville comme étant la plus belle.
Ik weet dat het belangrijk voor jullie was te horen dat ik, jullie leraar, degene die de wereld had gezien die voor jullie verboden is, jullie stad als de mooiste zou betitelen.
Et toute l'ingéniosité du système est externe au système lui-même. la matière ne contient pas d'information. Hier, on entendait parler de biologie moléculaire, qui calcule pour construire. C'est un système qui traite de l'information. Nous avons eu des révolutions digitales en communication et calcul numérique, mais la même idée, précisément la même logique, qu'ont développée Shannon et Von Neuman, n'a pas encore éclos dans le monde physique, dans la fabrication. Ainsi, inspirés par cela, des collègues dans ce programmes, le Center for Bits and Atoms au MIT-- qui forment un groupe de personnes, comme moi qui n'ont jamai
s compris la limite entre la science du tangi ...[+++]ble et les sciences informatiques. Je dirais même plus, les sciences informatiques sont la pire chose qui soit arrivée à la fois aux ordinateurs et à la science--- (rire) -- parce que les canons -- les sciences informatiques -- nombres d'entre eux sont géniaux, mais les canons des sciences informatiques a gelé l'évolution des modèles de calcul selon la technologie qui était disponible dans les années 50, mais la nature est un ordinateur bien plus puissant que ça. Vous allez entendre demain Saul Griffith. C'est l'un des premiers élèves a être sorti de ce programme.
Alle intelligentie ligt buiten het systeem: de materialen bevatten geen informatie. Gisteren hoorde je over moleculaire biologie. Die maakt berekeningen om iets te bouwen. Het is een informatieverwerkingssysteem. We hadden revoluties in communicatie en informatica, maar ditzelfde idee, dezelfde wiskunde als Shannon en Von Neumann deden, hebben we nog niet in de fysieke wereld gezien. als Shannon en Von Neumann deden, hebben we nog niet in de fysieke wereld gezien. Dit inspireerd
e collega's van het Center for Bits and Atoms aan MIT, een groep mensen die net als ik nooit de grens tussen natuurkunde en informatica hebben begrepen. Ik zou ze
...[+++]lfs willen zeggen dat 'computerwetenschap' een van de ergste dingen is die zowel computers als wetenschap ooit overkwam. 'computerwetenschap' een van de ergste dingen is die zowel computers als wetenschap ooit overkwam. (Gelach) De canon van de informatica bevroor namelijk prematuur een model van computerwetenschap bevroor namelijk prematuur een model van computerwetenschap dat gebaseerd was op technologie uit 1950. De natuur is een veel krachtiger computer dan dat. Morgen hoor je van Saul Griffith, een van de eerste studenten die dit programma opleverde.On pouvait écouter ça toute la journée pas vrai? (Rires) Ok, voici la version à l'envers, voyez si vous pouvez entendre les messages cachés qui sont supposés être là-dedans. Vous avez compris quoi? (Le public: Satan) Michael Shermer: Satan? Ok, nous avons au moins Satan. Maintenant, je vais conditionner la partie auditive de votre cerveau en vous disant ce que vous êtes censés entendre, et donc, écoutez à nouveau. (Rires) (Applaudissements) Vous ne pouvez pas le rater quand je vous dis ce qu'il y a à entendre.
Sjonge, kan je hier niet de hele dag naar luisteren? (Lachen) OK, hier komt de achterwaartse versie. en luister of je de verborgen boodschappen kan horen die er zouden inzitten. Wat hoorde je? (Publiek: Satan) Michael Shermer: Satan? OK, we hadden tenminste Satan. Nu ga ik het auditief gedeelte van jullie brein prikkelen om te horen wat je had moeten horen, en dan beluisteren we het opnieuw. (Lachen) (Applaus) Je kan het niet missen als ik het je voorkauw.
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entendre c'était est-ce ->
Date index: 2022-04-10