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Note: les traductions des vidéos ont été réalisées par des volontaires qui ne sont pas tous des traducteurs professionnels, elles pourraient donc contenir des erreurs. Ces textes sont cependant intéressants pour retrouver des expressions du langage parlé par exemple.
Vous pouvez aussi visualiser directement ces passionnantes vidéos avec les sous-titres dans la langue de votre choix !
Traduction de «c'était mon père » (Français → Néerlandais) :
C'était mon père au Vietnam.
Dit is mijn vader in Vietnam.
J'ai voulu savoir qui était mon père, qui était le père qu'elle avait connu.
Ik wilde weten wie mijn vader was, wie de vader was die zij had gekend.
Un jour, nous étions en train de marcher, en France. Nous étions aux Houches. Nous étions à la montagne, en 1976. Nous étions à la montagne, et Feynman m'a dit : « Leonardo, » La raison pour laquelle il m'appelait Leonardo est que nous étions en Europe et il voulait mettre en pratique son Français. Il m'a dit : « Leonardo, étais-tu plus proche de ta mère ou de ton père quand tu étais petit ? » Je lui ai dit : « Eh bien, mon véritable héros était mon père.
Op wandel in Frankrijk waren we in La Zouche. In de bergen, in 1976. Feynman zei: Leonardo. Hij noemde me Leonardo omdat we in Europa waren en hij zijn Frans wou oefenen. Hij zei: Leonardo, stond je als kind dichter bij je moeder of je vader? Ik zei: Wel, mijn echte held was mijn vader.
Finalement un jour, je me suis réveillé et j'ai cru avoir eu une attaque cérébrale, car j'étais étendu sur le lit, immobile, je regardais le téléphone, et j'ai pensé : « Il y a quelque chose qui cloche, je devrais appeler quelqu'un. » mais je n'arrivais pas à tendre le bras pour attraper le téléphone et composer un numéro. Puis finalement, au bout de quatre heures passées allongé à le fixer, le téléphone a sonné, j'ai réussi à le décrocher d'une manière o
u d'une autre, et c'était mon père, et j'ai dit : « J'ai de graves problèmes. Il faut qu'on fasse quelque chose. » Le lendemain, j'ai commencé à
...[+++] prendre des médicaments et une thérapie.
Op een dag werd ik wakker en dacht dat ik misschien een beroerte had. Ik lag als verlamd in bed, keek naar de telefoon en dacht: Er is iets mis. Ik moet om hulp bellen. Maar ik kon mijn arm niet uitsteken, de telefoon pakken en bellen. Na vier uur liggen staren, ging de telefoon. Op de een of andere manier lukte ik erin hem op te nemen. Het was mijn vader, en ik zei: Ik zit met een serieus probleem. We moeten iets doen. De volgende dag begon ik met medicatie en therapie.
Et une des personnes qui ont travaillé dessus, au début, était mon père, Freeman -- ici au milieu.
Eén van de mensen die er in het begin aan werkten, was mijn vader, Freeman -- daar in het midden.
Il est venu me voir et m'a dit, « Merci pour avoir commencé Movember. » Et j'ai dit, « Merci de faire Movember. » Je l'ai regardé et je lui ai dit, « Je suis plutôt sûr que vous ne pouvez pas vous faire pousser une moustache. » (Rires) Et je lui ai demandé, « Quelle est votre histoire Movember ? » Il m'a répondu, « J'ai fait pousser la pire moustache qui soit. » (Rires) « Mais je suis rentré chez moi pour le diner de Thanksgiving et assez rapidement la conversation autour de la tabl
e a viré sur ce qui était en train de se passer. » (Rires) « Nous avons parlé -- Je leur ai parlé de Movemb
er, et ensuite, mon ...[+++]père s'est approché, et à 26 ans pour la première fois, j'ai eu une conversation avec mon père sur la santé masculine. J'ai eu une conversation avec mon père sur le cancer de la prostate et j'ai appris que mon grand-père avait eu le cancer de la prostate et j'ai pu partager avec mon père qu'il avait deux fois plus de possibilités d'attraper la maladie, il ne le savais pas, et il n'avait pas passé de test de dépistage. » Alors, cet homme passera maintenant un test de dépistage.
Hij zei: Bedankt dat je met Movember bent begonnen. Ik zei: Bedankt dat je Movember doet. Ik keek hem aan, zo van: Jij kan vast geen snor laten staan. (Gelach) Ik zei: Wat is jouw Movemberverhaal? Hij zei: Ik liet de slechtste snor ooit staan. (Gelach) Maar ik ging naar huis voor Thanksgiving en het gesprek aan tafel ging al snel over wat er verdorie aan de hand was. (Gelach) Ik praatte met hen over Mo
vember. Daarna kwam mijn papa op me af, en op mijn 26ste had ik voor de allereerste keer een gesprek met mijn papa over de gezondheid van mannen. Het ging over prostaatkanker. Ik vernam dat mijn grootvader prostaatkanker had en ik kon met p
...[+++]apa delen dat hij twee keer zoveel kans had op die ziekte, wat hij niet wist, en hij was niet gescreend. Die man laat zich nu screenen op prostaatkanker.Beaucoup de gens qui ont une paralysie cérébrale ne peuvent pas marcher, mais mes parents n'acceptaient pas qu'on leur dise « je ne peux pas ». Le
mantra de mon père était, « Tu peux le faire, oui, tu peux
pouvoir. » (Rires) Donc, si mes trois sœurs aînées passaient la serpillière, je passais la serpillière. Si mes trois sœurs aînées allaient à l'école publique, mes parents portaient plainte contre le système scolaire pour obtenir que j'y aille aussi, et si nous n'avions pas tous des A, on se
...[+++]prenait tous les coups de savate de ma mère. (Rires) Mon père m'a appris à marcher quand j'avais 5 ans en plaçant mes talons sur ses pieds et en marchant, simplement. Une autre tactique qu'il utilisait était d'agiter un billet de un dollar devant moi, et je devais l'attraper.
Veel mensen met hersenverlamming lopen niet, maar mijn ouders geloofden niet in kan niet'. Mijn vaders mantra was: Je kan het, ja, je kan kunnen. (Gelach) Dus als mijn drie oudere zussen dweilden, dweilde ik. Als mijn drie oudere zussen naar de openbare school gingen, klaagden mijn ouders het schoolsysteem aan tot ik ook ging. En als we niet allemaal tienen haalden, voelden we allemaal mijn moeders slof. (Gelach) Mijn vader leerde me lopen toen ik vijf was door mijn hielen op zijn voeten te zetten en gewoon te lopen. Bij een van zijn andere tactieken hield hij een dollarbiljet voor me en liet mij het achtervolgen.
Et il y a les écoles nationales, qui sont les meilleures, et il y a les écoles de province. L'école dont je rê
vais à cette epoque était le Lycée du Kenya, une école nationale. J'ai raté la note minimale à un point près. Et j'étais tellement désemparée, je me disais Mon Dieu, qu'est ce que je vais faire maintenant? Et mon pere a dit écoute allons à cette école et parlons à la directrice. C'est juste un point après tout, peut etre qu'elle te laissera entrer s'il reste des places Donc on est allé à l'école et parce que nous n'étions pas des gens importants, que nous n'avions aucun privilè
ge et parce que mon ...[+++]père n'avait pas le bon nom de famille il s'est fait traité comme un moins que rien. Et je me souviens être assise et entendre la directrice lui dire: vous vous prenez pour qui ? Vous êtes un rigolo pour penser que vous pourriez avoir une place Et dans mon collège, il y avait d'autres filles, elles étaient filles d'hommes politiques et leurs résultats étaient bien moins bons que les miens mais elles étaient rentree au Lycée du Kenya.
We hebben nationale scholen, die de beste zijn, en provinciale scholen. M
ijn droomschool was toen 'Kenia High School', een nationale school. Ik zakte vanwege één punt. Ik was zo teleurgesteld en dacht: Ik zakte vanwege één punt. Ik was zo teleurgesteld en dacht: Wat ga ik nu doen? Mijn vader zei: Oké, luister. We gaan met de directrice praten. Mijn vader zei: Oké, luister. We gaan met de directrice praten. Het gaat maar over één punt. Misschien laat ze je toe als de plek er nog is. We gingen naar de school. Omdat we niet belangrijk en niet bevoorrecht waren en mijn vader niet de juiste achternaam had, werd hij als vuil behandeld. Ik hoor
...[+++]de de directrice zeggen: Wie denkt u dat u bent? Maakt u een grap of denkt u echt dat wij u die plek geven? Op mijn school zaten andere meisjes, kinderen van politici, die het veel slechter deden dan ik en zij werden toegelaten.Quand mon propre père a eu un arrêt cardiaque il y a quelques années, l'un des premiers bénévoles à arriver au secours de mon père était un des premiers bénévoles musulmans de l’Est de Jérusalem qui a été formé pour rejoindre Hatzalah.
Toen mijn eigen vader enkele jaren terug in elkaar zakte door een hartstilstand, was een moslim-vrijwilliger uit Oost-Jerusalem een van de eersten ter plekke om mijn vader te redden. een van de eersten ter plekke om mijn vader te redden. Hij had de eerste toelatingscursus voor Hatzalah gevolgd
Les Caribéens arrivaient avec un plan de 5 ans : travailler, gagner de l'argent, puis rentrer. Mais les 5 ans devinrent 10, puis 15 et avant de réaliser, tu changes le papier-peint et c'est quand tu sais que tu vas rester. Bien que ça reste toujours temporaire, pour nos parents, nous, enfants, savions que le jeu avait pris fin. Je pense qu'ils avaient l'impression qu'ils ne pourraient pas continuer avec les idéaux de la vie qu'ils atte
ndaient. La réalité était autre. Et aussi, c'était la vraie réalité d'essayer de m'éduquer. Ayant commenc
é le processus, mon père ne contin ...[+++]ua pas.
Mensen kwamen uit de Caraïben met een vijfjarenplan: ze gingen werken, geld verdienen en dan terug. Maar vijf jaar werd 10 jaar, en 10 jaar werd 15 jaar. Voordat je het weet, plak je nieuw behang op de muur en op dat moment weet je dat je hier blijft. Onze ouders voelden nog steeds een soort van tijdelijkheid maar wij kinderen wisten dat het menens was. Ik denk dat ze het gevoel hadden dat ze niet verder aan de idealen konden bouwen van het leven dat ze in gedachten hadden. De realiteit was heel anders. En dat gold ook voor die realiteit van mijn opvoeding. Mijn vader begon dat proces, maar maakte het niet af.
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Date index: 2022-03-20