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Note: les traductions des vidéos ont été réalisées par des volontaires qui ne sont pas tous des traducteurs professionnels, elles pourraient donc contenir des erreurs. Ces textes sont cependant intéressants pour retrouver des expressions du langage parlé par exemple.
Vous pouvez aussi visualiser directement ces passionnantes vidéos avec les sous-titres dans la langue de votre choix !
Traduction de «aux filles qu'elles ne voulaient » (Français → Néerlandais) :
Aux pyjama-parties, j'avais des crises d'angoisse en essayant de faire comprendre aux filles qu'elles ne voulaient pas m'embrasser sans me trahir.
Tijdens logeerpartijen had ik paniekaanvallen om meisjes zover te krijgen dat ze me niet zouden kussen zonder mezelf te verraden.
Ces filles se sont regroupées et ont formé un groupe et lancé une campagne pour l'inscription des électeurs. Il s'agit d'un véritable village en milieu ru
ral. Et le thème qu'elles utilisaient était: Mêm
e les jolies filles votent. Elles ont réussi à mobiliser les jeunes femmes. Mais non seulement elles l'ont fait, elles
sont allés trouver ceux qui étaient candida ...[+++]ts pour leur demander, Qu'est ce que vous donnerez aux filles de cette communauté si vous gagnez ? Et l'un des gars qui avait déjà un siège était très - parce le Liberia a une des lois les plus fortes pour le viol, et il était un de ceux qui se battent vraiment au parlement pour renverser cette loi parce qu'il la qualifiait de barbare. Le viol n'est pas barbare, mais la loi, a-t-il dit, était barbare.
Deze meisjes vormden een groep en lanceerden een campagne voor kiezersregistratie. Dit is een plattelandsdorp. Hun lijfspreuk was: Zelfs mooie meisjes stemmen . Ze mobiliseerden jonge vrouwen. Maar niet alleen dat. Ze gingen naar de politici om hen te vragen: Wat gaat u de meisjes van deze gemeenschap geven als u wint? Eén van de mannen die al een zetel hadden, was erg -- Liberia heeft sterke anti-verkrachtingswetten, en hij vocht hard in het parlement om die wet af te schaffen. Hij noemde de wet barbaars. Verkrachting is niet barbaars, maar de wet was barbaars.
La première idée que j'ai eu, était d'aller aux autorités étatiques et fédérales et leur dire: Le voilà! Prenez-le, c'est gratuit. Mais, on m'a immédiatement dit : Notre gouvernement ne fonctionne pas comme ça. (Rire
s) Ok, ok. Alors je peux peut-être créer une organisation à but non lucratif pour faciliter les consultations avec le gouvernement. Cette fois on m'a dit: Pour ce genre de choses, notre gouvernement ne collabore qu'avec le secteur privé. D'accord. Alors je vais partager mon idée avec des sociétés privées qui seront intéressées. Mais, certaines sociétés m'ont vite fait comprendre que mon projet personnel n'était pas c
ommerciali ...[+++]sable car elles ne voulaient pas que leur logo soit estampillés dans les ghettos de Haïti. À ce moment-là, je n'étais pas simplement obsédé. J'étais outré. (Rires) Alors je me suis dit: Ah ouais ? Je vais le faire moi-même alors. (Rires) À ce moment, mes supérieurs m'ont envoyé travailler quelques mois dans notre bureau de Milan, alors je me suis demandé ce que j'allais faire. J'ai alors aménagé mon temps de sommeil en dédiant le décalage horaire de 8 heures à des conférences téléphoniques avec des fournisseurs de matériaux, des fabricants et des clients potentiels.
Mijn eerste idee was om de federale en staatsoverheden op te zoeken en te zeggen: Hier, gratis, voo
r niks. Ik kreeg al snel de reactie: Jongen, zo werkt onze overheid niet! (Gelach) Oké. Dan maar een vzw opstarten om consultancy te geven en dit idee te laten passeren bij de overheid? Nee, want Jongen, onze overheid rekent op de privésector voor dit soort zaken. Misschien kan ik het idee verkopen aan privé-bedrijven, die er ook hun voordeel mee konden doen, maar ik hoorde al snel van enkele bedrijven dat mijn persoonlijke passie niet pas
te bij het merk: ze wilden niet dat ...[+++]hun logo's te zien waren in alle ghetto's van Haïti. Nu was ik niet alleen geobsedeerd. Ik was woest. Dus zei ik tot mezelf: O ja? Let maar op. Ik doe het zelf. (Gelach) Toen moest ik voor mijn dagtaak enkele maanden vanuit het kantoor in Milaan werken. Dus plande ik slaapuren op mijn kalender en besteedde de 8 uren tijdsverschil aan conferentiegesprekken met leveranciers, producenten en potentiële afnemers.Et la r
aison pour laquelle elles voulaient une école pour filles c'est parce que quand une fille est violée sur le chemin de l'école, on jette la faute sur la mère Si elle tombe enceinte avant de se marier, c'est la mère qu'on rend responsable et elle est punie. Elle est battue. Elles ont dit, On veut mettre nos filles dans un lieu sûr. En faisant des progrès, quand je suis allée parler aux pères, bien sûr, vous imaginez ce que les pères ont dit : On veut une école pour garçons. Alors j'ai dit, Eh bien, il y a quelques hommes de mon village qui sont parti
...[+++]s et ils ont eu accès à l'éducation.
De reden waarom ze een school voor meisjes wilden, was omdat wanneer een meisje op weg naar school verkracht werd, de moeder daar de schuld van kreeg. Als ze zwanger was voordat ze trouwde, werd dat de moeder verweten en werd ze ervoor gestraft. Ze kreeg slagen. Ze zeiden: We willen onze meisjes op een veilige plaats brengen. Je kan je voorstellen wat de vaders toen wilden: Je kan je voorstellen wat de vaders toen wilden: een school voor jongens. Ik zei: Enkele mannen uit mijn dorp hebben een opleiding gekregen.
C'est un fait : parler des règles met beaucoup de monde mal à l'aise. Et ce tabou n'est pas sans conséquen
ce : en Inde, trois filles sur dix ne savent même pas ce que sont les menstruations à l'heure de leurs premières règles et les coutumes contraignantes liées aux règles créent chez les jeunes filles des troubles ps
ychologiques. Ayant elle-même grandi avec ce tabou, Aditi Gupta voulait permettre aux filles, aux parents et aux pro
...[+++]fesseurs de parler des règles en toute aisance. Voici comment elle s'y est prise.
Het klopt dat mensen zich ongemakkelijk voelen om over menstruatie te praten. Het taboe dat erop rust heeft grote gevolgen: in India weten drie op de tien meisjes niet eens wat menstrueren is op het moment dat zij voor het eerst ongesteld worden, en brengen beperkende gebruiken tijdens het menstrueren psychologische schade toe aan jonge meisjes. Aditi Gupta, die zelf met het taboe is opgegroeid, vertelt hoe zij een manier ontwikkelde die meisjes, ouders en leraren helpt om zonder schande en schaamte te praten over ongesteldheid.
Je suis le résultat de cette mère et ce père visionnaires. Il y a plusieurs années, lorsque je suis née dans les années 1950 -- les années 1950 et 1960 n'appartenaient pas aux filles en Inde. Elles appartenaient aux garçons. Elles appartenaient aux garçons destinés aux affaires et qui hériteraient de l'affaire de leurs parents. Et les filles se pomponneraient pour se marier. Ma famille, dans ma ville -- et presque dans le pays -- était unique.
Ik ben het product van deze visionaire moeder en vader. Jaren geleden, toen ik in de jaren '50 werd geboren -- de jaren '50 en '60 behoorden in India niet aan de meisjes toe. Ze behoorden aan de jongens toe. Ze waren van jongens die in de zaak stapten die ze erfden van hun ouders. Meisjes werden opgetut om te trouwen. Mijn familie was, in mijn stad -- en in bijna het hele land -- was uniek.
Ce qui est marrant est qu'ils ont rencontré des filles pour savoir ce qu'elles voulaient comme poupées. Vous le voyez, elles ont des mollets et des coudes qui plient pour faire des trucs de super-héros.
En het komieke is, ze spraken met meisjes en vroegen hen wat ze wilden zien in de poppen, en je kan zien dat ze kuiten hebben en ellebogen die bewegen zodat ze superheldendingen kunnen doen.
Gayla Benefield ne faisait que son mét
ier — jusqu'à ce qu'elle découvre un terrible secret sur sa ville natale, qui a permis de déceler que le taux de mortalité dans cette ville était 80 fois plus élevé
que dans n'importe quel autre endroit des États-Unis. Mais lorsqu'elle a essayé de le dire aux personnes de sa communauté, elle
...[+++] a appris une vérité encore plus choquante : les gens ne voulaient pas savoir. Dans un discours qui est en partie un cours d'histoire, et en partie une invitation à agir, Margaret Heffernan montre les dangers de « l'aveuglement volontaire » et fait l'éloge de personnes ordinaires comme Gayla Benefield qui sont prêtes à s'exprimer. (Filmé à TEDxDanubia)
Gayla Benefield deed gewoon haar werk - tot ze een vreselijk geheim ontdekte over haar thuisstad dat impliceerde dat de sterftecijfers er 80 k
eer hoger lagen dan elders in de VS. Maar toen ze mensen erover probeerde te vertellen, vernam ze een nog schok
kender waarheid: ze wilden het niet weten. In een talk die deels geschiedenisles is en deels oproep tot actie toont Margaret Heffernan het gevaar aan van 'bewuste blindheid' en prijst ze gewone mensen zoals Benefield die bereid zijn om hun stem
...[+++]te verheffen. (Gefilmd op TEDxDanubia)N
ous apprenons à nos filles à être parfaites, et à nos garçons à être courageux, dit Reshma Saujani, la fondatrice de Girls Who Code. Saujani a pris la responsabilité d'apprendre aux jeunes
filles à prendre des risque
s et à programmer — deux compétences nécessaires pour faire avancer la société. Pour innover réellement, nous ne pouvons pas laisser de côté
la moitié de notre population, dit-elle. « J'ai b ...[+++]esoin que chacun d'entre vous encourage chaque jeune femme qu'il connaît à être à l'aise avec l'imperfection. »
W
e leren onze dochters perfect te zijn en we leren onze zonen om moedig te zijn, zegt Reshma Saujani,
de oprichtster van Girls Who Code ('Meisjes die programmeren'). Saujani neemt het voortouw om jonge vrouwen te leren risico's te nemen en te leren programmeren - twee vaardigheden die ze nodig hebben om de samenleving vooruit te helpen. Om echt te innoveren kunnen we de helft van onze bevolking niet achterlaten, aldus Saujani. Ik wil
dat iedereen tegen alle jonge vrouwen in zi ...[+++]jn of haar omgeving zegt dat ze ontspannen moeten omgaan met imperfectie.Et c'est important de reconnaitre que les femmes ont toujours besoin d'aide à l'école, que les salaires sont toujours significativement inférieurs, même lorsque cela est c
ontrôlé, et que les filles n'ont pas arrêté de lutter en maths et en sciences pendant des années. Tout cela est vrai. Rien de cela nous dispense de faire attention aux besoins de l'alphabétisation de nos garçons entre trois et 13 ans. Et alors nous devrions le faire. En fait, ce qu'on devrait faire c'est prendre une page de leur programme, parce que les initiatives et programmes qui ont été mis en place pour les femmes en sciences, ingénierie et mathématiques
sont fant ...[+++]astiques. Elles ont été très efficaces pour les filles dans ce genre de situations. Et nous devons penser à la façon qui nous permettrait de faire la même chose pour les garçons en jeune âge. Même chez ceux plus âgés, on se rend compte qu'il y a toujours un problème. Quand on observe les universités, 60 pour cent des licences sont attribuées aux femmes de nos jours, ce qui représente un changement conséquent. Et en fait, l'administration au sein de l'université n'est pas très à l'aise à l'idée de savoir que nous approchons des 70 pour cent de population féminine dans les universités. Cela rend l'administration universitaire très nerveuse, parce que les filles ne veulent pas fréquenter des écoles où il n'y a pas de garçons.
En het is belangrijk dat we erkennen dat vrouwen nog steeds hulp nodig hebben op school, dat salarissen nog steeds een stuk lager zijn, zelfs als ze gecorrigeerd worden naar het soort baan, en dat meisjes al jaren blijven worstelen met wiskunde en wetenschap. Dat klopt allemaal. Niets daarvan weerhoudt ons om aandacht te schenken aan d
e geletterdheid van onze jongens tussen drie en 13 jaar. Dat moeten we dus doen. Wat we in feite zouden moeten doen is een pagina te nemen uit hun draaiboek, want de initiatieven en programma's die opgestart zijn voor vrouwen in wetenschap en techniek en wiskunde zijn fantastisch. Die hebben veel goeds geda
...[+++]an voor meisjes in die situatie. En we moeten nadenken over hoe we dat ook voor jongens voor elkaar krijgen in hun jonge jaren. Zelfs als ze ouder zijn, zien we dat er nog steeds een probleem bestaat. Als we kijken naar de universiteiten gaan 60 procent van de bachelordiploma's nu naar vrouwen , wat een veelzeggende verschuiving is. In feite voelen universiteitsbestuurders zich wat ongemakkelijk bij het idee dat we dichtbij de 70 procent vrouwen op universiteiten komen. Dat maakt universiteitsbestuurders erg zenuwachtig, want meisjes willen niet naar scholen waar geen jongens zijn. datacenter (12): www.wordscope.be (v4.0.br)
aux filles qu'elles ne voulaient ->
Date index: 2021-12-28