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Note: les traductions des vidéos ont été réalisées par des volontaires qui ne sont pas tous des traducteurs professionnels, elles pourraient donc contenir des erreurs. Ces textes sont cependant intéressants pour retrouver des expressions du langage parlé par exemple.
Vous pouvez aussi visualiser directement ces passionnantes vidéos avec les sous-titres dans la langue de votre choix !
Traduction de «aujourd'hui mon pays » (Français → Néerlandais) :
Donc aujourd'hui mon pays a une dette de 15 mille milliards de dollars.
Mijn land heeft 15 biljoen dollar schulden.
Aujourd'hui, cette région est l'épicentre du développement économique de mon pays, où l'habitat naturel et les populations sauvages disparaissent rapidement à cause de différentes menaces, incluant une fois encore l'élevage de bétail, les grandes plantations de cannes à sucre et de soja, le braconnage, les collisions routières, pour n'en citer que certaines.
Vandaag is dit gebied het epicentrum van economische ontwikkeling in mijn land, waar natuurlijke leefgebieden en wilde dierenpopulaties in hoog tempo worden vernietigd door verschillende bedreigingen. Bedreigingen als opnieuw de veehouderij, grote suikerbiet- en sojaplantages, stropers, motorvoertuigen, en ga zo maar door.
Mais ce dont j'étais sûre, c'était de mon innocence. Je n'ai transgressé aucune loi, j'ai gardé mon abaya -- c'est une cape noire que nous mettons en Arabie saoudite avant de quitter notre maison -- et mes compagnes de cellule n'arrêtaient pas de me demander de l'enlever, mais j'étais tellement sûre de mon innocence que je n'arrêtais pas de dire : «
Non, je vais sortir aujourd'hui. » Hors de la prison, le
pays tout entier s'est déchaîné, certains m'attaquaient durement, d'autres me soutenaient
...[+++], et collectaient même des signatures dans une pétition pour l'envoyer au roi et lui demander de me libérer.
Maar ik was zeker van mijn onschuld. Ik had geen wet geschonden, hield mijn abaya aan -- een zwarte mantel die we in Saoedi-Arabië dragen voor we het huis uitgaan -- en mijn medegevangenen bleven me vragen om hem uit te doen. Maar ik was zo zeker van mijn onschuld: Nee, ik ga vandaag naar huis. Buiten de gevangenis was het hele land over zijn toeren. Sommigen vielen me heftig aan, anderen steunden me en verzamelden handtekeningen in een verzoek aan de koning om me vrij te laten.
Mais tout d'abord, laissez-moi vous raconter une histoire, mon histoire, au sujet de ce pays, où vous vous trouvez aujourd'hui.
Maar eerst moet ik jullie mijn verhaal vertellen, en dat van het land waar jullie vandaag zijn.
L'année c'est 1960. Et en bas, le taux de survie infantile, le pourcentage d'enfants survivant à l'enfance jusqu'au début de leur scolarisation. 60 pour cent, 70 pour cent, 80 pour cent, 90, et presque 100 pour cen
t, comme nous avons aujourd'hui dans les pays les plus riches et en bonne santé.
Regardez, c'est le monde dont mon professeur parlait en 1960. Un milliard en occident ici, un taux de survie infantile élevé, des petites familles. Et tout le reste, l'arc en ciel des pays en développeme
...[+++]nt, avec de grandes familles et un faible taux de survie infantile. Que c'est-il passé? Je commence le monde ici. C'est parti.
Het jaar is 1960. En hier beneden is overlevingskansen voor kinderen. Het percentage kinderen die de kindertijd overleven tot ze naar school gaan. 60 procent, 70 procent, 80 procent, 90, en bijna 100 procent, zoals we tegenwoordig hebben in de rijkste en gezondste landen. Kijk, dit is de wereld waar mijn lerares het over had in 1960. Een miljard in de Westerse wereld hier, hoge overlevingskansen, kleine gezinnen. En de rest, de regenboog van de ontwikkelingslanden, met zeer grote gezinnen en hoge kindersterfte. Wat is er veranderd? Ik start de wereld. Hier gaan we.
Alors ce que j'aimerais faire ce matin pendant les minutes à venir c'est procéder à une résurrection linguistique. Et j'espère que vous serez d'accord avec mon hypothèse de base qui est que les mots ont de l'importance, qu'ils modèlent la façon que nous avons de nous comprendre, la façon dont n
ous interprétons le monde et la façon que nous avons d'interagir avec l
es autres. Quand ce pays a connu pour la première fois une réelle diversité dans les années 60, nous avons adopté la tolérance comme la vertu civique centrale qui nous permetterai
t d'approc ...[+++]her cela. Aujourd'hui, le mot tolérance , si vous regardez dans un dictionnaire, évoque le laisser-faire, l'indulgence et l'endurance. Dans le contexte médical d'où il est originaire, il traite de la capacité à tester les limites du développement dans un environnement défavorable.
Dus wat ik vanmorgen voor de komen
de paar minuten wil doen, is een taalkundige herrijzenis voordragen. Ik hoop dat jullie in mijn uitgangspunt kunnen meegaan dat woorden ertoe doen, dat zij meebepalen hoe wij onszelf begrijpen, de wijze waarop we de wereld zien en de manier waarop we anderen behandelen. Toen dit land in de 60er jaren met echte diversiteit te maken kreeg, namen wij tolerantie op als de centrale burgerplicht om hiermee om te gaan. Volgens het woordenboek betekent het woord 'tolerantie': toestaan, tegemoetkomen en verduren. Het woord komt uit de medische wereld. Daar betekent het de
...[+++] grenzen van het gedijen in een vijandige omgeving testen.Le président doit se lever et statuer à la fin du débat sur la réforme du système de santé, Notre ob
jectif au niveau du pays est de déplacer 50 % des soins dispensés dans les institutions, les cliniques, les hôpitaux et les maisons de retraite vers les domiciles, et ce dans les 10 prochaines années. C'est faisable et nous devrions le faire d'un point de vue économique. Nous devrions le faire d'un point de vue moral. Et nous devrions le mettre en place pour la qualité de vie. Mais il n'y pas d'objectif dans cette réforme d
y système de santé. Aujourd'hui c'est ...[+++] juste le bordel. Ainsi et c'est mon dernier message pour vous. Comment fixer un objectif grandiose pour aborder le problème Y2K + 10 qui s'annonce ?
De president moet na het debat over de hervorming van de gezondheidszorg opstaan en zeggen: Ons doel als land is om in 10 jaar tijd 50 procent van de zorg uit instellingen, klinieken, ziekenhuizen en verpleeghuizen, over te brengen naar de woning. Het is haalbaar. Het is onze economische plicht. Het is onze morele plicht. We moeten het doen voor de kwaliteit van het leven. Maar er zit geen doelgerichtheid in de huidige hervorming van de gezondheidszorg. Het is vandaag gewoon een puinhoop. Dit is mijn laatste boodschap aan jullie. Hoe zetten we een campagne op als toen we naar de maan wilden om het nakende Y2K+10-probleem aan te pakken?
Au lieu de ça, il y a eu une litanie d'optimisme ahurissant. À partir de 2004, chaque général est arrivé en disant : « J'ai hérité d'une situation lamentable, mais j'ai enfin les ressources et la stratégie adéquates, qui feront de cette année, selon les termes du général Barno en 2004, « l'année décisive
». Eh bien devinez quoi? Ça n'est pas arrivé. Mais ça n'a pas empêché le général Abuzaid de dire qu'il avait la stratégie et les ressources pour livrer, en 2005, « l'année décisive ». Ou encore le général David Richards d'arriver en 2006 et de dire qu'il avait la stratégie et les ressources pour offrir « l'année écrasante ». Ou, en 2007,
...[+++] l'adjoint du Ministre des affaires étrangères norvégien, Espen Eide, de dire qu'il allait apporter « l'année décisive ». Ou, en 2008, le major-général Champoux d'arriver et de dire qu'il allait fournir « l'année décisive ». Ou, en 2009, mon grand ami, le général Stanley McChrystal, de dire qu'il était « en plein dans l'année décisive ». Ou, en 2010, le Ministre des affaires étrangères britannique, David Miliband, de dire que nous allions enfin obtenir « l'année décisive ». Et vous serez ravis d'entendre qu'en 2011, aujourd'hui, Guido Westerwelle, le Ministre des affaires étrangères allemand, nous garantit que nous sommes dans « l'année décisive ». (Applaudissements) Pourquoi laissons-nous tout ceci se produire ? Eh bien la réponse est, bien sûr, que si vous dépensez 125 ou 130 milliards de dollars par an dans un pays, vous vous mettez dans la poche presque tout le monde, même les organisations humanitaires, qui commencent à recevoir d'énormes quantités d'argent des gouvernements américain et européens pour construire des écoles et des cliniques, sont peu disposées à récuser l'idée que l'Afghanistan est une menace existentielle pour la sécurité mondiale. Elles sont inquiètes, en d'autres termes, que si quelqu'un pense que ce n'est pas une telle menace, Oxfam, Save the Children, ne recevront pas l'argent pour construire leurs hôpitaux ...
I
n plaats daarvan was er een litanie van verbijsterend optimisme. Beginnend in 2004 kwam elke generaal binnen en zei, Ik heb een ellendige situatie geërfd, maar eindelijk heb ik de juiste middelen en strategie, die zullen zorgen voor , in generaal Barno's woorden in 2004, het beslissende jaar . Raad eens? Dat was het geenszins. Maar dat belette generaal Abuzaid niet te zeggen dat hij de strategie en middelen had om in 2005 te zorgen voor het beslissende jaar . Of generaal David Richards die in 2006 zei dat hij de strategie en de middelen had om te zorgen voor het kanteljaar . Of in 2007, Espen Eide, de Noorse staatssecretaris Buitenlandse Zaken, die zei dat
...[+++]hij zou zorgen voor het beslissende jaar . Of in 2008, generaal-majoor Champoux die binnenkwam en zei dat hij zou zorgen voor het beslissende jaar Of in 2009, mijn grote vriend, generaal Stanley McChrystal, die zei dat hij tot zijn knieën in het beslissende jaar stond. Of in 2010, David Miliband, de Britse minister van Buitenlandse Zaken, die zei dat hij eindelijk zou gaan zorgen voor het beslissende jaar . En jullie zullen blij zijn te horen, nu in 2011, dat Guido Westerwelle, de Duitse minister van Buitenlandse Zaken, ons verzekert dat we aanbeland zijn in het beslissende jaar . (Applaus) Hoe kan het dat we dit allemaal laten gebeuren? Het antwoord is uiteraard dat als je 125 miljard of 130 miljard dollar per jaar uitgeeft in een land, je bijna iedereen erbij betrekt. Zelfs de hulpverleningsorganisaties -- die dan enorme hoeveelheden geld krijgen van de Amerikaanse en Europese overheden om scholen en hospitalen te bouwen -- zijn niet echt bereid om tegen te spreken dat Afghanistan een existentieel gevaar vormt voor de internationale veiligheid. Ze vrezen met andere woorden, dat als mensen geloven dat het niet zo'n probleem is -- Oxfam, Save the children -- geen geld zouden krijgen om hun scholen en hospitalen te bouwen. Ook is het erg moeilijk om een generaal met medailles op zijn borst, tegen te spreken. Het i ... datacenter (12): www.wordscope.be (v4.0.br)
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Date index: 2024-05-23