Étant donné qu'en vertu des articles 11 et 12 de la loi OCAM au sens strict, le directeur de l'OCAM ne pouvait même pas évaluer avec les experts internes de cet organe les données soumises à une procédure d'embargo (par exemple, les données des services de renseignement américains ou celles du procureur), il ne disposait pas, loin s'en faut, des relais internes adéquats.
Omdat de OCAD-directeur volgens de OCAD-wet (artikelen 11 en 12) strictu sensu de gegevens onder embargoprocedure (bijvoorbeeld die van de Amerikaanse inlichtingendiensten of van de procureur) zelf niet met de eigen OCAD-deskundigen mocht evalueren, beschikte hij allesbehalve over een adequaat intern klankbord.