L'enquête de 2009 contenait uniquement une analyse limitée des minorités visibles, mais observait néanmoins que les taux de victimisation avec violence étaient plus faibles pour les personnes qui s'identifiaient comme faisant partie d'une minorité visible, 76 par tranche de 1000 personnes, que pour les minorités non visibles, 124 par tranche de 1000 personnes.
The 2009 survey only contained limited analysis on visible minorities, but observed nevertheless that rates of violent victimization were lower for people who identified as a visible minority (76 per 1,000 people) than for non-visible minorities (124 per 1,000 people).