Il se trouve, en effet, que les marchés télévisuels canadiens —l'anglais et le français—sont de taille trop restreinte pour financer la création de tous les types d'émissions de la qualité et dans la quantité que nos auditoires et les contraintes concurrentielles exigent.
The plain fact is that Canadian television markets, English and French, are too small to support the creation of all the kinds of programs, the quality of programs, and the quantity of programs our audiences and competitive realities demand.