Avant l'élection présidentielle qui a eu lieu au Zimbabwe en mars 2002, l'UE aurait pu utiliser une série de possibilités pour contraindre le Président Mugabe au retour à l'État de droit et pour empêcher l'escalade de la violence: pressions diplomatiques, réduction des aides financières, envoi d'observateurs chargés de surveiller le déroulement des élections, menace de sanctions économiques.
Prior to the presidential elections in Zimbabwe in March 2002, the EU had a number of opportunities to induce President Mugabe to restore a state of law and prevent an escalation of violence: diplomatic pressure, a reduction in financial aid, the dispatch of election monitors, the threat of economic sanctions.