En 1988, il avait découvert que l'ensemble de la recherche universitaire canadienne — comprenant non seulement les effets directs qu'il a qualifiés de « pointe de l'iceberg », mais aussi les effets bien plus important sur les facteurs de production ou la productivité totale des facteurs — entraînait une hausse annuelle de 15,5 milliards de dollars du PIB ainsi que la création de 150 000 à 200 000 emplois.
Back in 1988, he found that the total — including not only the direct impact which he described as " the tip of the iceberg," but also its much greater impact on the factors of production or total factor productivity — Canadian university research fuelled about $15.5 billion of GDP increase each year, and 150,000 to 200,000 jobs.