À l’exception des demandes d’ordonnances de protection d’urgence et des demandes d’ordonnance en matière de confidentialité, les tribunaux sont tenus de permettre au conseil d’une Première nation sur la réserve de laquelle se trouvent les terres et constructions en cause « de lui présenter des observations sur le contexte culturel, social et juridique dans lequel s’inscrit la demande et sur l’opportunité de rendre ou non l’ordonnance en cause » (par. 46(2), par. 23(3) et sous-al. 26(3)d)).
With the exception of applications for emergency protection orders and applications for orders relating to confidentiality, courts are required to allow the council of a First Nation on whose reserve the affected lands and structures are located “to make representations with respect to the cultural, social and legal context that pertains to the application and to present its views about whether or not the order should be made” (clause 46(2), clause 23(3) and paragraph 26(3)(d)).