Ensuite, si nous en revenons à notre principe de départ—à savoir qu'un parent qui choisit de ne pas se prévaloir de son droit de visite cause autant de tort à un enfant que celui qui refuse de respecter le droit de visite de l'autre parent—il semble très injuste de présumer de la situation et de vouloir modifier automatiquement le droit de garde en faveur du parent à qui on nie l'accès à son enfant, sans prévoir un recours pour le parent gardien qui doit élever l'enfant tout seul.
Secondly, if we go back to the premise we started with—that a parent who exercises no access, a parent who chooses not to have his or her access, is doing as much harm to a child as a parent who denies access—it seems to be grossly unfair to make presumptions and automatic changes of custody for a parent who is denied access, for whatever reason, and not to have any remedy for the custodial parent who has to raise those children by himself or herself.