Si je soulève cette question, monsieur le président
, c'est parce que l'attitude des Britanniques—cette attitude impérialiste, arrogante, suprémaciste ou supérieure qui imprégnait les gouvernements britanniques de l'époque—se retrouve pour une large part dans le projet de loi à l'étude. Mon ami du Bloc a indiqué q
ue le projet de loi reflète l'attitude du gouvernement vis-à-vis du droit à l'autodétermination des Québécois, ce avec quoi je suis parfaitement d'accord, et l'attitude du gouvernement fédéral au pouvoir en particulier, qui n'
...[+++]est pas disposé à reconnaître ce segment de notre société.