À la suite des aveux du président afghan, Hamid Karzaï, selon lesquels les tortures se poursuivent dans les prisons afghanes, Amnistie internationale nous dit aujourd'hui qu'il y a effectivement un risque, lorsqu'on transfère les prisonniers, qu'ils soient torturés.
On the heels of the admissions by the Afghan president, Hamid Karzai, that there continues to be torture in Afghan prisons, Amnesty International is telling us today that there is indeed a risk that detainees will be tortured when they are transferred.