Dans son article, le National Post attire lui aussi l’attention sur les réserves de M. Keyserlingk, qui s’inquiète de ce que, sous le régime du projet de loi, les fonctionnaires qui subiront des représailles après avoir dénoncé des actes répréhensibles devront prendre des recours devant un conseil de relations de travail plutôt que devant le Commissariat à l’intégrité de la fonction publique : « Cela n’encouragera pas les gens à se faire entendre».
The National Post article also draws attention to Mr. Keyserlingk’s concerns that, under the bill, public servants who face reprisals for speaking out must seek redress through labour boards rather than the Office of the Public Sector Integrity Commissioner. “People will not be encouraged to come forward,” he said.