Or, ne serait-ce qu'entre les trois principales puissances - l'Allemagne, la Grande-Bretagne e
t la France - on ne peut pas, on ne voit pas sur quels points ces intérêts communs et cette dipl
omatie pourraient s'appuyer, ni vis-à-vis de l'Ouest dans les relations avec les États-Unis et s'agissant du rôle de l'OTAN, sur lequel nous ne sommes absolument pas d'accord et pas prêts de l'être, ni vis-à-vis de l'Est - ici se pose l'épineuse question de la Russie et de nos rapports avec l'ensemble des pays de l'Europe centrale - ni vis-à-vis d
u Sud, et ...[+++]peut-être encore moins vis-à-vis du Sud, notamment dans le cadre de la politique méditerranéenne.
If we are only talking about the three main powers, Germany, Great Britain and France, it is impossible to see what points would form the basis of our common interests and diplomatic policy, either on Western Europe’s relationship with the United States or on the role of NATO, subjects on which we are definitely not in agreement nor likely to be, or on the East – and here we have the thorny question of Russia and our relations with the Central European countries in general – or on the South, perhaps significantly less where the South is concerned, particularly in the context of the Mediterranean policy.