Les Nisga'as voudraient que l'on comprenne quelque chose qui a déjà été affirmé par d'autres, à savoir: Comment une personne qui ne possède aucune part de ces biens et qui ne partage ni la langue ni la culture, mais qui vient simplement s'installer là pour travailler en tant qu'agent de police ou qu'infirmière pour une période déterminée, pourrait-elle avoir voix au chapitre lorsqu'il s'agit de décider comment ces biens devraient être distribués, administrés, protégés, utilisés ou vendus?
The point that the Nisga'a make and it has been made by others is simply this: Why would someone who has no share in those assets and someone who does not participate in the language and culture but merely comes to live there to work as a police officer or nurse or whatever for a period of time have a say on how those assets are distributed or managed or protected or used or sold?