Un autre groupe soutient que c'est une question d'emplois,
de possibilités, d'intégration sociale, d'égalité des chances et de scolarisation et que, si nous consacrions à ces questions la moitié de l'énergie collective, tant du côté des Autochtones que du côté non autochtone, que nous consacrons aux revendications territoriales, nous réaliserions des progrès plus concrets, sur le plan humain, pour les Canadiens me
mbres des Premières nations qui veulent améliorer leur sort et celui de leur fami
...[+++]lle.