En mettant en place un cadre pour les échanges de droits d'émission, la Russie sera en mesure de "monnayer" l'excédent de droits d'émission dont elle devrait disposer, étant donné que, durant la première période d'engagement du protocole de Kyoto (2008-2012), ses émissions seront probablement inférieures à l'objectif de stabilisation des émissions qui lui sera assigné au titre du protocole.
By creating a framework for emissions trading Russia will be able to monetarise the surplus of emission rights that it is likely to have given that its emissions in the first commitment period under the Kyoto Protocol (2008-2012) will probably be lower than its emissions stabilisation target under the Protocol.