Si la loi est fondée sur un traité, le droit à l'éducation serait reconnu, à mon avis, et les pouvoirs que détient actuellement le ministère ou le gouvernement du Canada seraient attribués aux peuples qui ont ce droit à l'éducation, leur permettant ainsi de prendre des décisions en matière d'éducation, au profit de leurs propres nations, et, par conséquent, de tous les citoyens canadiens.
As long as the legislation is treaty-based, in my view, that recognizes the treaty right and transfers what is now INAC or Canada's authorities to the people who have the right and allows them to make the decisions as they go forward to educate and benefit their own nations, which benefits then all citizens of this country.