D’où la présence dans le rapport Stubb d’un nouvel assaut, mal argumenté mais exigé avec véhémence, sur les vetos nationaux, l’exigence d’un ministre des affaires étrangères, la demande d’octroyer plus de pouvoirs à la Commission, qui n’est pas élue, et à l’expansionniste Cour de justice et l’augmentation des compétences de l’UE.
Hence, in the Stubb report, the ill-argued but vehemently demanded further assault on national vetoes, the requirement for a minister of foreign affairs, the demand for more powers for the unelected Commission and the expansionist Court of Justice and more competences for the EU.