En deuxième lieu, toute réforme de cette institution archaïque, et j'insiste sur le mot, ne peut se faire de façon unilatérale sans l'accord du Québec et des provinces qui totalisent plus de 50 p. 100 de la population, et si elles sont sept. En troisième lieu, si ce gouvernement conservateur était vraiment sérieux quant à sa volonté d'accroître la légitimité démocratique des institutions, il s'assurerait que le poids du Québec sera maintenu au sein de la Chambre des communes.
Second, any reform of this archaic institution—and I emphasize the word “archaic”—cannot be achieved unilaterally, without the consent of Quebec and of the provinces that represent over 50% of the population, provided there are seven of them.