Lorsque j'ai décidé de me prononcer en faveur du budge
t, j'ai repensé à l'époque où les budgets fédéraux devaient tenir compte des déficits et d'une dette sans cesse croissante, et où les Canadiens devaient faire face à des coupes radicales dans les dépenses, une époque où le fardeau fiscal des contribuables, particulièrement ceux des classes à faibles
et moyens revenus, augmentait à un rythme alarmant, où le taux de chômage national dépassait les 11 p. 100, et où les Canadiens s'inquiétaient pour leur avenir et celui de leurs enfants
...[+++].