D'ailleurs, cela pose un autre problème, parce que si nous n'avons accès qu'à un bassin d'immigration limité et que nous envoyons bon nombre de ces immigrants à l'extérieur du Québec—ce qui semble être votre but—, moins seront envoyés au Québec, où le français serait plus susceptible de demeurer la langue maternelle jusqu'à la deuxième et à la troisième générations.
This raises another problem, which is that if you have a limited pool and many of them go outside Quebec—which is presumably your goal—that means there would be fewer available to go into Quebec, where they would be more likely, in the second and third generation, to continue having French-speaking offspring.