En 2000, au début du projet, rares étaient ceux qui étaient prêts à prendre publiquement la parole au sujet de la dépression et de leur expérience. Le traitement dans les médias était souvent négatif, les obstacles sur les plans de l’assurance et de l’emploi étaient considérables et il n’existait, à l’échelon national, aucun porte-parole ni aucun service de défense pour ceux et celles atteints de cette maladie.
In 2000, when beyondblue started out, few people were willing to speak in public about depression and their experiences, media coverage was often negative, barriers in insurance and employment were considerable and there was no national voice or advocacy service for those whose lives were affected.