Voici ma question : Si les taux d'interchange étaient réduits considérablement, si un plafonnement du taux d'interchange coûtait de 2 à 3 milliards de dollars au secteur du traitement des transactions par cartes de crédit, est-ce que notre système bancaire canadien se contenterait de dire qu'il a perdu 2 ou 3 milliards de dollars et qu'il est prêt à toujours accepter cela? J'en doute beaucoup.
Here is my question: If interchange rates were cut significantly, let us say $2 billion to $3 billion was taken out of the credit card processing world by a cap on interchange, would our banking system in Canada just say, " Oh well; we lost $2 billion or $3 billion" and move on, saying " We're just going to permanently accept that?" I suspect not.