Le retard accumulé au cours de ces 50 dernières années est illustré par l’absence de toute législation pénalisant la traite des enfants, la falsification de documents officiels, les nombreux homicides qui restent impunis, l’obstruction des activités menées par les défenseurs des droits de l’homme, la pauvreté dans laquelle vivent 56 % de la population et par le quasi-refus de permettre aux peuples indigènes de participer à la prise de décision politique.
The backwardness of the past 50 years is exemplified by the absence of any legislation criminalising child trafficking, by the falsification of government documents, the many homicides that go unpunished, the obstruction of human rights activists in their activities, the poverty in which 56% of the population live, and lack of almost any opportunity for the indigenous peoples to take part in political decision making.