On ne peut pas affirmer d'un côté que la libéralisation des échanges, sanctionnée par des règles contraignantes à Genève—au sein du GATT et aujourd'hui de l'OMC—est responsable en partie de la prospérité remarquable dont a bénéficié le monde au cours
de l'après-guerre, ajouter par ailleurs qu'il est démontré que les investissements sont plus importants
aujourd'hui que le commerce en tant que force d'intégration de l'économie mondiale, et ne pas en arriver d'autre part à la conclusion que ce qui est b
on pour le commerce ...[+++]devrait être bon pour les investissements.
One cannot affirm that trade liberalization, embedded in legally bound rules in Geneva—in the GATT and now at the WTO—is responsible in part for the remarkable prosperity of the world in the post-war period, and also affirm an empirical reality that investment today is more important than trade as an integrating force in the global economy, and not correspondingly come to the conclusion that perhaps what works for trade also works for investment.