Un an plus tard, Rosalyn Kunin, de Vancouver, qui était membre de ce comité, a déclaré que les immigrants de la catégorie des affaires étaient «peu instruits, incapables de se débrouiller en anglais ou en français et enclins le plus souvent à être des investisseurs passifs qui ne lançaient pas nécessairement une entreprise».
A year after that, Dr. Rosalyn Kunin of Vancouver, who was a member of that committee, described business immigrants as “poorly educated, unable to function in English or French, who tend to be passive investors and don't necessarily start a business”.