Depuis 2005, les faits montrent clairement que la répression s'est intensifiée en Éthiopie et que l'espace politique s'est réduit comme peau de chagrin. Le parti politique au pouvoir, le TPLF, bloque systématiquement toutes les possibilités de tenue d'élections libres et justes dans ce pays.
As documented by Human Rights Watch, Amnesty International, Genocide Watch, the U.S. State Department's human rights report, and others, the repression in Ogaden, Gambella, Oromo, and other parts of the country is just massive.